30-10-2006, 00:26
Comptes & légendeS
Albert est méchant. Qu'il est doux de ne rien faire. Le maillot olympien et le deuxième lavage Hasek. Après la volée de bois Vert. Pîte-stop pour les en biais. Quand l'OL joue les vierges effarouchées. Pourquoi l'heure d'été est un fléau.
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du Vieux-Port de MarS'
Vive la défaitE
Albert est méchant. Qu'il est doux de ne rien faire. Le maillot olympien et le deuxième lavage Hasek. Après la volée de bois Vert. Pîte-stop pour les en biais. Quand l'OL joue les vierges effarouchées. Pourquoi l'heure d'été est un fléau.
Lundi 23
Le bon jour d'AlberT
Malgré la triste murge de la veille, les Olympiens ne se réveillent pas avec la désagéable impression d'avoir une chignole plantée dans le front. S'il est des défaites utiles, ce sera bien celle-là, philosophe le coach. Et il a raison, Albert. Le bon sens, toujours le bon sens... Emon, Emon, petit patapon, trouve-là l'occasion d'une juste mise au point. Il excuse Carrasso et accuse : Taïwo, les valises de cartons... L'homme qui ne dévisse plus ne semble plus indéboulonnable non-plus. La concurrence avec Cantareil est une fleur de l'automne. Et le plantureux Taïwo, à l'hiver, se taille ?
Le bon jour d'AlberT
Malgré la triste murge de la veille, les Olympiens ne se réveillent pas avec la désagéable impression d'avoir une chignole plantée dans le front. S'il est des défaites utiles, ce sera bien celle-là, philosophe le coach. Et il a raison, Albert. Le bon sens, toujours le bon sens... Emon, Emon, petit patapon, trouve-là l'occasion d'une juste mise au point. Il excuse Carrasso et accuse : Taïwo, les valises de cartons... L'homme qui ne dévisse plus ne semble plus indéboulonnable non-plus. La concurrence avec Cantareil est une fleur de l'automne. Et le plantureux Taïwo, à l'hiver, se taille ?
Mardi 24
Le coude envoiE
Qu'il est doux de ne rien faire, écrasé par le flegme qui colore d'habitude mon métabolisme estival. C'est le petit confort des sans-emploi, un manière de se sentir Américain. Quand les uns triment à la machine à café en causant avec des jeunes cadres dynamiques mais chiants, Espigoulinha me prépare des caïpirinha pour le goûter. Je pose mon cul dans mon fauteuil en teck, la Heineken ruisselante de fraîcheur, observant les volûtes de mon pétard au soleil. Je l'entends chanter, entre deux coups de pilon sur le citron vert. Maintenant, je connais les paroles de la Lambada. Et je ne suis plus amoureux de Roberta. Nul doute, mon projet professionnel est en berne, mais ma rate s'affine. Mon voisin hallucine de me voir en peignoir de bain à 16h00. Je fais un boucan du diable. Ma guitare larsène, posée contre l'ampli. J'ai l'impression de prendre l'apéro chez Thurston Moore, des Sonic Youth. Mon chat taré n'arrête pas de miauler à tous les gens qui passent. C'est la maison du n'importe quoi. Et je m'y sens bien.
Le coude envoiE
Qu'il est doux de ne rien faire, écrasé par le flegme qui colore d'habitude mon métabolisme estival. C'est le petit confort des sans-emploi, un manière de se sentir Américain. Quand les uns triment à la machine à café en causant avec des jeunes cadres dynamiques mais chiants, Espigoulinha me prépare des caïpirinha pour le goûter. Je pose mon cul dans mon fauteuil en teck, la Heineken ruisselante de fraîcheur, observant les volûtes de mon pétard au soleil. Je l'entends chanter, entre deux coups de pilon sur le citron vert. Maintenant, je connais les paroles de la Lambada. Et je ne suis plus amoureux de Roberta. Nul doute, mon projet professionnel est en berne, mais ma rate s'affine. Mon voisin hallucine de me voir en peignoir de bain à 16h00. Je fais un boucan du diable. Ma guitare larsène, posée contre l'ampli. J'ai l'impression de prendre l'apéro chez Thurston Moore, des Sonic Youth. Mon chat taré n'arrête pas de miauler à tous les gens qui passent. C'est la maison du n'importe quoi. Et je m'y sens bien.
Mercredi 25
2ème lavage HaseK
L'OM se fait moucher à nouveau. Deuxième 1-4 d'affilée avec expulsion à la clé. L'OM est battu dans tous les compartiments du jeu. La veste est passée et repassée. Avec un tel pressing, il aurait pu nous en planter 5, Hasek. (J'ai honte). Les sots ragent. La défaite donne raison aux grincheux qui lavent plus blanc que Blanc. la caution Marseillaise se cache dans les vestiaires, en ressort, y retourne. Ivan Hasek fait parler la poudre et tire Verts du nez des défenseurs marseillais. Le "onze" pendouille sous leurs narines. Que la route du rhûme semble bien longue encore. La match face à Lyon a montré que l'OM n'était pas vraiment un candidat au titre. Celui face à Sainté nous fait sérieusement douter de notre capacité à être les meilleurs derrière Lyon. Le dernier arbre qui cachait le Forez a été abattu.
2ème lavage HaseK
L'OM se fait moucher à nouveau. Deuxième 1-4 d'affilée avec expulsion à la clé. L'OM est battu dans tous les compartiments du jeu. La veste est passée et repassée. Avec un tel pressing, il aurait pu nous en planter 5, Hasek. (J'ai honte). Les sots ragent. La défaite donne raison aux grincheux qui lavent plus blanc que Blanc. la caution Marseillaise se cache dans les vestiaires, en ressort, y retourne. Ivan Hasek fait parler la poudre et tire Verts du nez des défenseurs marseillais. Le "onze" pendouille sous leurs narines. Que la route du rhûme semble bien longue encore. La match face à Lyon a montré que l'OM n'était pas vraiment un candidat au titre. Celui face à Sainté nous fait sérieusement douter de notre capacité à être les meilleurs derrière Lyon. Le dernier arbre qui cachait le Forez a été abattu.
Jeudi 26
Mise oveR
Après la raclée face à Sainté, les Olympiens partent se mettre au Vert. Emon garde les pieds sur terre et entend ainsi leur en retirer les épines. Le Pape parle de « ressort cassé » mais il faut dire qu'il n'a pas mal joué avec. Taïwo prend ses deux matches de suspension, Oruma le sien. La simulation d'Hilton est sanctionnée aussi. Mais mauvaise nouvelle, Zubar sera privé du déplacement à Lille mais pourra jouer... pour accueillir Nancy.
Mise oveR
Après la raclée face à Sainté, les Olympiens partent se mettre au Vert. Emon garde les pieds sur terre et entend ainsi leur en retirer les épines. Le Pape parle de « ressort cassé » mais il faut dire qu'il n'a pas mal joué avec. Taïwo prend ses deux matches de suspension, Oruma le sien. La simulation d'Hilton est sanctionnée aussi. Mais mauvaise nouvelle, Zubar sera privé du déplacement à Lille mais pourra jouer... pour accueillir Nancy.
Vendredi 27
[SIZE=7]Bâton de GuignoL[/SIZE]
[SIZE=7]Bâton de GuignoL[/SIZE]
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[b]L'OL continue son cinéma, via ses communiqués ridicules. Non-contents de s'immiscer dans la vie des autres clubs et de créer eux-même les polémiques qui feront parler d'eux, les Lyonnais s'étonnent de communiqué en communiqué. On en veut à Lyon. Les arbitres leur en veulent. Même que l'expulsion de Diatta a été compensée par l'arrêt d'un pénalty en leur faveur. On aura tout lu. Ils donne le bas thon pour se faire battre. Après l'octroi par la Ligue du droit de choisir le jour de suspension de leurs joueurs, les Lyonnais disposent d'un nouveau droit : celui de s'étonner. Ah ui, mais quand tu poses le pied sur Lamine, faut pas s'étonner par la suite de laver un gnafron...[/b]
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Samedi 28
Pêche en Oc! troublE
Le plaisir de la pêche s'apprécie praticulièrement hors-saison, quand l'été se lasse de succéder à l'automne. Le Brusc et le petit port de la Coudoulière se réveillent ,doucement. Il est 8h00 et les vieux pêchent le muge au pain, prodigant leurs conseils aux jeunes intrépides que nous sommes. Il y aussi un chien au cul frisé. Il ne ressemble à rien. Mais il est là et nous regarde embarquer sur le bateau de monsieur Oc!. Aussitôt dans la baie, les cannes sont jetées avec leur rapala. Avant l'heure, ce n'est plus leurre. Et après leurre, c'est trop tard. Peu de pîtées dans cette eau chaude et caffie de méduses. Mais le plaisir est au rendez-vous. J'énerve Oc! avec mon appareil-photo. Je mange des quiches lorraines et un sundy en me la coulant douce. Oc! accroche une méduse, son ami un maquereau. Vers midi, nousfaisons un pîte-stop. L'Ile des Embiez possède ce calme intrinsèque à toute idée du paradis. Nous buvons quelques mauresques dans le grand bar de l'Ile où trône une photo de Charles Pasqua. Et nous repartons à la traine en abandonnant l'idée d'attraper quelque chose. Car le principal était de se retrouver là, par 28 degrés. Oc! prépare ensuite deux sérioles et un aitre poisson au grill, dont les braises avait été rougies au séchoir à cheveux. J'essaye la Gibson d'Oc! pendant qu'il cuît du riz et sert le jaune. Le pauvre n'en peut plus car je ne décroche pas. Je gagne la table où nous attendaient ces déclicieux poissons grillés. un peu honteux de m'être oublié. Avant d'enchaîner quelques partie de PES6 avec des buts de toute beauté. Je repars un peu fracassé de sommeil mais content.
Le plaisir de la pêche s'apprécie praticulièrement hors-saison, quand l'été se lasse de succéder à l'automne. Le Brusc et le petit port de la Coudoulière se réveillent ,doucement. Il est 8h00 et les vieux pêchent le muge au pain, prodigant leurs conseils aux jeunes intrépides que nous sommes. Il y aussi un chien au cul frisé. Il ne ressemble à rien. Mais il est là et nous regarde embarquer sur le bateau de monsieur Oc!. Aussitôt dans la baie, les cannes sont jetées avec leur rapala. Avant l'heure, ce n'est plus leurre. Et après leurre, c'est trop tard. Peu de pîtées dans cette eau chaude et caffie de méduses. Mais le plaisir est au rendez-vous. J'énerve Oc! avec mon appareil-photo. Je mange des quiches lorraines et un sundy en me la coulant douce. Oc! accroche une méduse, son ami un maquereau. Vers midi, nousfaisons un pîte-stop. L'Ile des Embiez possède ce calme intrinsèque à toute idée du paradis. Nous buvons quelques mauresques dans le grand bar de l'Ile où trône une photo de Charles Pasqua. Et nous repartons à la traine en abandonnant l'idée d'attraper quelque chose. Car le principal était de se retrouver là, par 28 degrés. Oc! prépare ensuite deux sérioles et un aitre poisson au grill, dont les braises avait été rougies au séchoir à cheveux. J'essaye la Gibson d'Oc! pendant qu'il cuît du riz et sert le jaune. Le pauvre n'en peut plus car je ne décroche pas. Je gagne la table où nous attendaient ces déclicieux poissons grillés. un peu honteux de m'être oublié. Avant d'enchaîner quelques partie de PES6 avec des buts de toute beauté. Je repars un peu fracassé de sommeil mais content.
Dimanche 29
Calage horairE
C'est décidé : je reste à l'heure d'été. Cette décision a été prise à la mort d'Alain Gillot-Pétré. Et je m'y tiens car je déteste les changements d'heure. On passe toute une année à espérer l'heure d'été, la seule à offrir une juste répartiton entre la lumière et la l'bscurité,ainsi que l'apéro avant la nuit. L'heure d'hiver me déprime avec ses couchers de soleil à quatre heures et demie et les lumières diaphanes des voitures qui annoncent un retranchement prématuré au foyer. La lumière dès 6 heures du matin est une torture inhumaine. La journée de travail s'incruste dans la nuit. Or dans l'obscurité, les règles s'oublient. Loin de la lumière du monde, on se sent moins coupable de perdre ses heures. Et qu'on m'enlève cela, je ne le pardonne pas.
Calage horairE
C'est décidé : je reste à l'heure d'été. Cette décision a été prise à la mort d'Alain Gillot-Pétré. Et je m'y tiens car je déteste les changements d'heure. On passe toute une année à espérer l'heure d'été, la seule à offrir une juste répartiton entre la lumière et la l'bscurité,ainsi que l'apéro avant la nuit. L'heure d'hiver me déprime avec ses couchers de soleil à quatre heures et demie et les lumières diaphanes des voitures qui annoncent un retranchement prématuré au foyer. La lumière dès 6 heures du matin est une torture inhumaine. La journée de travail s'incruste dans la nuit. Or dans l'obscurité, les règles s'oublient. Loin de la lumière du monde, on se sent moins coupable de perdre ses heures. Et qu'on m'enlève cela, je ne le pardonne pas.
Solide comme un wok !