Le match ?
- On est heureux d’avoir gagné, de bien commencer notre début de saison. Ça n’a pas été un match facile ; en face de nous il y avait des joueurs de qualité, une bonne équipe.
Le plus important pour nous était de nous concentrer que sur nous-mêmes et je pense qu’on l’a bien fait.
On a eu une première mi-temps difficile, on n’arrivait pas à conserver le ballon. Paris jouait plus haut, nous on a reculé après que Pauleta ait marqué son penalty.
Le fait d’avoir tenu ce score de 1à 1 à la mi-temps, ça nous a permis de jouer plus haut. En deuxième mi-temps, on avait plus le ballon que Paris, on a eu plusieurs occasions qui auraient pu nous permettre de nous mettre à l’abri avant. Mais le plus important c’était les trois points.
Ça a été un match correct ?
- Ça reste un match de foot... même si on sait très bien que les Paris-Marseille sont particuliers par rapport à nos supporteurs et à ceux de Paris.
Pour nous il était très important de faire un bon résultat pour nos supporteurs ; ils étaient près de 2.000, ils nous ont supporté pendant 90 minutes et plus. On les a entendus chanter, ça nous a fait plaisir et on voulait absolument gagner pour eux.
Cette équipe a la gagne ?
- On sait très bien qu’à Marseille il y a des joueurs de qualité, de bons joueurs. On est à l’aise avec le ballon. Il ne suffit pas de porter le maillot de Marseille, de dire "oui j’ai joué à Marseille" et c’est tout.
Ici quand on joue à Marseille, on sait très bien les ambitions qu’il y a au club, c’est l’un des plus grands clubs en France, on a le meilleur public de France.
Quand on joue à Marseille, il faut avoir faim. Après les qualités, le jeu, ça vient tout seul.
Le plus important c’est d’avoir la gnac sur le terrain, se battre pendant 90 minutes, se défoncer. Après ça vient tout seul.
Il faut toujours faire plus, ce n’est jamais facile.
À tous les matchs, il faut se remettre en question, se mettre minables. Il faut avoir mal partout à la fin mais être heureux d’avoir obtenu quelque chose.
C‘est vrai qu’avant les matchs, chaque semaine, on s’encourage beaucoup, on se parle plus, que ça soit de Cédric Carrasso à Mikaël Pagis... On défend tous ensemble et on sait très bien que, dans le match, on aura des occasions.
Les nouvelles décisions des arbitres ?
- Je suis sûr que ça va être plus difficile pour nous les joueurs. Mais comme Albert l’a dit tout à l’heure, si c’est un tirage de maillot, ça ne va pas changer, il y aura penalty.
Je pense que c’est un contact épaule contre épaule, il faut laisser jouer. Il ne faut pas tout siffler. Mais ce n’est pas facile pour les arbitres et on espère que ça va bien se passer avec ces nouvelles règles.
Pour toi qui provoque, ça peut t’aider ?
- Mais j’ai toujours provoqué et ça ne va pas changer.
Si le défenseur fait une faute, il va siffler comme il le faisait, il y a trois mois ou quatre mois. C’est surtout au niveau des tirages dans la surface.
En première mi-temps, ça a été plus difficile pour toi ?
- Honnêtement, j’étais un peu coincé en première mi-temps. Je n’arrivais pas à toucher de ballon, Rozenal me suivait partout où j’étais. C’est vrai que le peu de ballons que j’ai eu, j’ai dû les remettre en une touche. Mais après, en deuxième mi-temps, on a joué plus haut, on avait plus le ballon, on avait plus de liberté, on avait plus d’espaces devant nous et c’était plus facile pour nous.
Tu es parti sur la gauche de toi-même ou c’est une demande du coach ?
- C’est moi. En fait le coach m’a demandé de jouer juste derrière Mamadou Niang, de jouer comme je jouais en équipe de France derrière Henry. C’est ce que j’ai fait et honnêtement c’est bien. C’est un autre poste auquel je peux jouer. Ça se passe super bien.
Dans quel état d’esprit abordez vous le match de jeudi ?
- Il n’y a jamais de petites équipes en UEFA. Les matchs comme ça sont difficiles, ce sont des combats. Cette équipe va venir ici pour défendre à 11. Le match retour aura lieu chez eux donc il faudra faire le maximum chez nous pour essayer de marquer, de gagner sans prendre de but.
C’est très important. On sait faire la part des choses.
Quand il faut rire, on sait rire, mais quand il faut être sérieux, on est assez grand. Le coach et les dirigeants nous parlent assez, ils nous remettent en question.
Ce n’est pas dommage de ne pas profiter de cette victoire ?
- Il n’y a pas de fête. Les supporteurs font la fête, c’est déjà bien, mais pour nous, en tant que joueurs professionnels, comme on joue tous les 3 ou 4 jours... il y a beaucoup de matches, on peut savourer une journée la victoire de Paris ou les autres mais tout de suite on pense au prochain match.
Vous avez envie de souffler ?
- Si le coach doit me faire souffler, ça sera bien pour moi aussi et pour l’équipe. Je pense qu’il y a d’autres joueurs. On verra bien. S'il veut me faire jouer, je jouerai, sinon je serai sur le banc.
Les banderoles ça te booste ?
- Ça motive. Ça donne encore plus envie de gagner.
Tant mieux pour eux ils ont les banderoles mais tant mieux pour nous parce qu’on a gagné.
On espère qu’on reverra encore de belles banderoles comme ça et que ça se passera encore bien pour nous.
Cette victoire a bon goût ?
- Je suis très content pour les supporteurs.
Ils étaient 2.000, on aurait dit qu’ils étaient 40.000, qu’on était à Marseille et pas à Paris !
Ça a fait plaisir de les voir heureux comme ça. Quand on est avec eux à l’extérieur, on sent qu’ils ont envie, qu’ils se battent, ils se sont envoyés quelques mots avec les supporteurs de Paris. Nous sur le terrain on essaye de faire le maximum. C’est important de gagner pour nous et pour nos supporteurs.
Vous pensez au titre aujourd’hui ?
- Comme je le dis, Marseille est un club qui doit jouer la League des Champions tous les ans.
Marseille a connu des bons moments, maintenant on espère finir dans les trois premiers. Si on est champion tant mieux pour nous, mais le plus important c’est de jouer la Ligue des champions la saison prochaine…
Ça vous fait quoi de jouer avec Mamadou Niang ? (Question posée par Niang)
- Je n’ai pas entendu la question. Qui me parle là ?
- Que ressentez vous de jouer avec Mamadou Niang Monsieur Ribéry ?
- Mamadou Niang ? Ha ha ha. Mamadou Niang c’est quelqu’un que j’apprécie beaucoup, comme on dit c’est la famille, c’est mon frérot.
Je suis très content parce que ça se passe super bien pour lui, c’est un très bon attaquant, il nous fait vraiment du bien.
Tant mieux pour lui. Il nous a mis le penalty, il aurait pu avoir plus de pression parce que l’arbitre l’a fait retirer, mais comme c’est un bon joueur, un grand joueur, il est facile. J’espère qu’il va continuer comme ça…
Tu es gentil, parce que lui, dit que tu n’es pas bon...
Mais ce n’est pas grave… C’est un menteur. Tu ne sais pas que, dans sa chambre, il a des posters de moi, je dédicace. Avant de s’endormir il m’embrasse et me dit bonne nuit…
Après la victoire contre l’Italie et ce match, vous avez passé un cap ?
- Le plus important, c’est que je continue toujours à travailler et être sérieux, à rester simple dans la vie de tous les jours. Je n’ai pas changé, je ne me prends pas la tête.
Je savoure tous les jours ce qui m’arrive, j’espère que ça va continuer pour moi. Je vis de bons moments, la victoire contre l’Italie c’est pour la qualification pour l’Euro, la victoire au Parc... on sait que c’est important. C’est une bonne semaine.
Tu es le leader ?
- Je ne suis pas le leader, on est deux ou trois, on essaye de pousser l’équipe vers le haut. On essaye de prendre un peu tout le monde, les plus jeunes ou les plus anciens et honnêtement il y a un très bon groupe. On est là, on sait pourquoi on est là et tout le monde va sur le même chemin. Je prends plus la parole que l’année dernière, c’est ce que me demande le coach. Maintenant, je suis international et on peut dire que dans cette équipe, les joueurs les plus importants peuvent prendre la parole.
Vous avez envie d’aller chercher Lyon, d’aller cherche un titre ?
- Pour l’instant on accroche Lyon et c’est bien. On ne va pas se prendre la tête avec les équipes qui sont devant ou derrière nous. On ne se concentre que sur nous-mêmes.
Il y a un match tous les week-ends, il faut prendre un maximum de points. C’est le plus important.
On a fait ce qu’il fallait, il faut continuer. La saison est encore très, très longue et ça ne va pas être facile. On a gagné à Paris, on a un match jeudi et on reçoit Bordeaux dimanche, ça ne va pas être facile.
Trois matches par semaine, ça risque d’être difficile physiquement ?
- Je sais. On va essayer de gérer ça du mieux possible pour l’équipe. Le coach, qui a été joueur, a assez d’expérience sur ça. Quand il faudra me faire souffler, il me fera souffler. Je sais très bien que je ne serai pas toujours à 100% Physiquement dans une saison, j’aurai moins de jus, moins de peps par moments, mais je ferai le maximum.
Tant que ça se passe bien, je fonce. Je prends de plus en plus confiance en moi, je suis plus à l’aise. Maintenant on peut dire que je suis important dans cette équipe, le regard des gens a changé. Mais pour moi pas trop de choses ont changé…
(Niang revient…)
Je vous avais dit qu’il me rêvait…
- On est heureux d’avoir gagné, de bien commencer notre début de saison. Ça n’a pas été un match facile ; en face de nous il y avait des joueurs de qualité, une bonne équipe.
Le plus important pour nous était de nous concentrer que sur nous-mêmes et je pense qu’on l’a bien fait.
On a eu une première mi-temps difficile, on n’arrivait pas à conserver le ballon. Paris jouait plus haut, nous on a reculé après que Pauleta ait marqué son penalty.
Le fait d’avoir tenu ce score de 1à 1 à la mi-temps, ça nous a permis de jouer plus haut. En deuxième mi-temps, on avait plus le ballon que Paris, on a eu plusieurs occasions qui auraient pu nous permettre de nous mettre à l’abri avant. Mais le plus important c’était les trois points.
Ça a été un match correct ?
- Ça reste un match de foot... même si on sait très bien que les Paris-Marseille sont particuliers par rapport à nos supporteurs et à ceux de Paris.
Pour nous il était très important de faire un bon résultat pour nos supporteurs ; ils étaient près de 2.000, ils nous ont supporté pendant 90 minutes et plus. On les a entendus chanter, ça nous a fait plaisir et on voulait absolument gagner pour eux.
Il ne suffit pas de dire "oui j'ai joué à Marseille" et c'est tout. Quand on joue à l'OM, il faut avoir faim. Il faut se mettre minable à tous les matches, avoir mal partout".
Cette équipe a la gagne ?
- On sait très bien qu’à Marseille il y a des joueurs de qualité, de bons joueurs. On est à l’aise avec le ballon. Il ne suffit pas de porter le maillot de Marseille, de dire "oui j’ai joué à Marseille" et c’est tout.
Ici quand on joue à Marseille, on sait très bien les ambitions qu’il y a au club, c’est l’un des plus grands clubs en France, on a le meilleur public de France.
Quand on joue à Marseille, il faut avoir faim. Après les qualités, le jeu, ça vient tout seul.
Le plus important c’est d’avoir la gnac sur le terrain, se battre pendant 90 minutes, se défoncer. Après ça vient tout seul.
Il faut toujours faire plus, ce n’est jamais facile.
À tous les matchs, il faut se remettre en question, se mettre minables. Il faut avoir mal partout à la fin mais être heureux d’avoir obtenu quelque chose.
C‘est vrai qu’avant les matchs, chaque semaine, on s’encourage beaucoup, on se parle plus, que ça soit de Cédric Carrasso à Mikaël Pagis... On défend tous ensemble et on sait très bien que, dans le match, on aura des occasions.
Les nouvelles décisions des arbitres ?
- Je suis sûr que ça va être plus difficile pour nous les joueurs. Mais comme Albert l’a dit tout à l’heure, si c’est un tirage de maillot, ça ne va pas changer, il y aura penalty.
Je pense que c’est un contact épaule contre épaule, il faut laisser jouer. Il ne faut pas tout siffler. Mais ce n’est pas facile pour les arbitres et on espère que ça va bien se passer avec ces nouvelles règles.
Pour toi qui provoque, ça peut t’aider ?
- Mais j’ai toujours provoqué et ça ne va pas changer.
Si le défenseur fait une faute, il va siffler comme il le faisait, il y a trois mois ou quatre mois. C’est surtout au niveau des tirages dans la surface.
En première mi-temps, ça a été plus difficile pour toi ?
- Honnêtement, j’étais un peu coincé en première mi-temps. Je n’arrivais pas à toucher de ballon, Rozenal me suivait partout où j’étais. C’est vrai que le peu de ballons que j’ai eu, j’ai dû les remettre en une touche. Mais après, en deuxième mi-temps, on a joué plus haut, on avait plus le ballon, on avait plus de liberté, on avait plus d’espaces devant nous et c’était plus facile pour nous.
Tu es parti sur la gauche de toi-même ou c’est une demande du coach ?
- C’est moi. En fait le coach m’a demandé de jouer juste derrière Mamadou Niang, de jouer comme je jouais en équipe de France derrière Henry. C’est ce que j’ai fait et honnêtement c’est bien. C’est un autre poste auquel je peux jouer. Ça se passe super bien.
Dans quel état d’esprit abordez vous le match de jeudi ?
- Il n’y a jamais de petites équipes en UEFA. Les matchs comme ça sont difficiles, ce sont des combats. Cette équipe va venir ici pour défendre à 11. Le match retour aura lieu chez eux donc il faudra faire le maximum chez nous pour essayer de marquer, de gagner sans prendre de but.
C’est très important. On sait faire la part des choses.
Quand il faut rire, on sait rire, mais quand il faut être sérieux, on est assez grand. Le coach et les dirigeants nous parlent assez, ils nous remettent en question.
"Si le coach doit me faire souffler, ça sera bien pour moi et pour l’équipe"
Ce n’est pas dommage de ne pas profiter de cette victoire ?
- Il n’y a pas de fête. Les supporteurs font la fête, c’est déjà bien, mais pour nous, en tant que joueurs professionnels, comme on joue tous les 3 ou 4 jours... il y a beaucoup de matches, on peut savourer une journée la victoire de Paris ou les autres mais tout de suite on pense au prochain match.
Vous avez envie de souffler ?
- Si le coach doit me faire souffler, ça sera bien pour moi aussi et pour l’équipe. Je pense qu’il y a d’autres joueurs. On verra bien. S'il veut me faire jouer, je jouerai, sinon je serai sur le banc.
Les banderoles ça te booste ?
- Ça motive. Ça donne encore plus envie de gagner.
Tant mieux pour eux ils ont les banderoles mais tant mieux pour nous parce qu’on a gagné.
On espère qu’on reverra encore de belles banderoles comme ça et que ça se passera encore bien pour nous.
Cette victoire a bon goût ?
- Je suis très content pour les supporteurs.
Ils étaient 2.000, on aurait dit qu’ils étaient 40.000, qu’on était à Marseille et pas à Paris !
Ça a fait plaisir de les voir heureux comme ça. Quand on est avec eux à l’extérieur, on sent qu’ils ont envie, qu’ils se battent, ils se sont envoyés quelques mots avec les supporteurs de Paris. Nous sur le terrain on essaye de faire le maximum. C’est important de gagner pour nous et pour nos supporteurs.
Vous pensez au titre aujourd’hui ?
- Comme je le dis, Marseille est un club qui doit jouer la League des Champions tous les ans.
Marseille a connu des bons moments, maintenant on espère finir dans les trois premiers. Si on est champion tant mieux pour nous, mais le plus important c’est de jouer la Ligue des champions la saison prochaine…
Ça vous fait quoi de jouer avec Mamadou Niang ? (Question posée par Niang)
- Je n’ai pas entendu la question. Qui me parle là ?
- Que ressentez vous de jouer avec Mamadou Niang Monsieur Ribéry ?
- Mamadou Niang ? Ha ha ha. Mamadou Niang c’est quelqu’un que j’apprécie beaucoup, comme on dit c’est la famille, c’est mon frérot.
Je suis très content parce que ça se passe super bien pour lui, c’est un très bon attaquant, il nous fait vraiment du bien.
Tant mieux pour lui. Il nous a mis le penalty, il aurait pu avoir plus de pression parce que l’arbitre l’a fait retirer, mais comme c’est un bon joueur, un grand joueur, il est facile. J’espère qu’il va continuer comme ça…
Tu es gentil, parce que lui, dit que tu n’es pas bon...
Mais ce n’est pas grave… C’est un menteur. Tu ne sais pas que, dans sa chambre, il a des posters de moi, je dédicace. Avant de s’endormir il m’embrasse et me dit bonne nuit…
"Le regard des gens a changé"
Après la victoire contre l’Italie et ce match, vous avez passé un cap ?
- Le plus important, c’est que je continue toujours à travailler et être sérieux, à rester simple dans la vie de tous les jours. Je n’ai pas changé, je ne me prends pas la tête.
Je savoure tous les jours ce qui m’arrive, j’espère que ça va continuer pour moi. Je vis de bons moments, la victoire contre l’Italie c’est pour la qualification pour l’Euro, la victoire au Parc... on sait que c’est important. C’est une bonne semaine.
Tu es le leader ?
- Je ne suis pas le leader, on est deux ou trois, on essaye de pousser l’équipe vers le haut. On essaye de prendre un peu tout le monde, les plus jeunes ou les plus anciens et honnêtement il y a un très bon groupe. On est là, on sait pourquoi on est là et tout le monde va sur le même chemin. Je prends plus la parole que l’année dernière, c’est ce que me demande le coach. Maintenant, je suis international et on peut dire que dans cette équipe, les joueurs les plus importants peuvent prendre la parole.
Vous avez envie d’aller chercher Lyon, d’aller cherche un titre ?
- Pour l’instant on accroche Lyon et c’est bien. On ne va pas se prendre la tête avec les équipes qui sont devant ou derrière nous. On ne se concentre que sur nous-mêmes.
Il y a un match tous les week-ends, il faut prendre un maximum de points. C’est le plus important.
On a fait ce qu’il fallait, il faut continuer. La saison est encore très, très longue et ça ne va pas être facile. On a gagné à Paris, on a un match jeudi et on reçoit Bordeaux dimanche, ça ne va pas être facile.
Trois matches par semaine, ça risque d’être difficile physiquement ?
- Je sais. On va essayer de gérer ça du mieux possible pour l’équipe. Le coach, qui a été joueur, a assez d’expérience sur ça. Quand il faudra me faire souffler, il me fera souffler. Je sais très bien que je ne serai pas toujours à 100% Physiquement dans une saison, j’aurai moins de jus, moins de peps par moments, mais je ferai le maximum.
Tant que ça se passe bien, je fonce. Je prends de plus en plus confiance en moi, je suis plus à l’aise. Maintenant on peut dire que je suis important dans cette équipe, le regard des gens a changé. Mais pour moi pas trop de choses ont changé…
(Niang revient…)
Je vous avais dit qu’il me rêvait…
Le top des taupes !