07-02-2006, 15:24
OM-Toulouse : les anales de la ville rose.
Fanny, nue sous sa nuisette de satin rose, attendait impatiemment la venue de Lolo, son ami garagiste qui devait venir réparer le trou de serrure de son oste-in dans laquelle une clef, était malencontreusement restée coincée.
« Il devait sans doute manquer un peu de lubrifiant dans le trou » lui avait expliqué Lolo.
Une perle de sueur, vestige récurent dune nuit bien trop agitée sécoulait paisiblement entre ses deux roteiros. Ils étaient fiers et droits comme deux anciens combattants rescapés dune salve meurtrière, essayant pour quelques instants encore de sauver leur équilibre précaire en prenant appui lun sur lautre. Pour combien de temps?
Fanny nétait plus une enfant. Elle le savait depuis trop longtemps déjà. Marseillaise exilée à Toulouse, sa nouvelle ville de cur (et quel cur !) Fanfan, comme lappelait Lolo, à limage de sa chère ville rose qui lavait adoptée, avait tout connu de la grandeur et du déclin. Du faste des nuits chaudes du capitole, où elle avait cru trouver un beau dix pour ses soirées spéciales « Thé et fessée », au trou béant laissé par le passage des pervers de léprouvette de chez AZF, tout ceci navait plus guère de secret pour elle.
On sonnait. Fanny fit un bon. Elle se retrouva droite sur deux magnifiques cuisses dont le galbe nétait pas sans rappeler les formes ovoïdes des ballons du stade toulousains. Ne manquait plus que la fermeté dune main sure et conquérante pour venir placer la balle dans len-but.
Cétait Lolo. Il était là, dehors, une main appuyée sur lencadrement de la porte, lautre traînant du côté de la sonnette quil venait de titiller. La supportrice olympienne quétait Fanny avait la nette impression de lavoir toujours connu. Lorsquils se sont rencontrés, à Marseille, lui était déjà tellement si prompt à se rendre serviable, tantôt pour un coup de main, tantôt pour un coup au fond des filets, tantôt pour un coup.
Alors quil éprouvait le besoin de retourner au pays, de monter un garage et de revoir lessaim des siens et les seins des siennes, elle avait décidé de le suivre. Non pas quelle se sentait particulièrement attachée à lui, car Fanny avait tout pour réussir sa carrière chez Téfal, mais il sagissait là dune simple histoire de garagiste crevante de banalité: un piston et une culasse prévus pour coulisser de concert, ça ne se sépare pas.
José, le chef datelier du garage Lada de Marseille dans lequel bossait Lolo avait pourtant bien essayé de sy employer : récupérer le cur de la supportrice olympienne et surtout tout ce quil y avait autour, naurait pas été pour lui déplaire. Il espérait pouvoir se rapprocher un peu plus de Fanny en éloignant Lolo et en exigeant sa mutation. Cela ne fit que les rapprocher encore un peu plus. Fanfan suivit Lolo à Toulouse.
Lolo était là, raide comme un chichi au milieu du salon, et comme toujours, son regard témoignait dune grande hésitation. Il nétait pas de cette race dhomme fiers et sûrs deux, capable de deblaterer tout un argumentaire de vendeur de foire pour faire succomber les femmes. Non, lui était plutôt du genre discret, capable de se faire oublier pendant près dune heure et demie avant de créer la surprise en envoyant une bonne grosse frappe au fond des cuisses, faisant mouche à coup sur.
« Alors, tas un soucis avec ton trou de serrure ? »
Lolo neut pas le temps de finir sa phrase que Fanfan lavait déjà envoyé valdinguer dans les creux abyssaux du canapé. Il était coincé là, tel une mouche dans une toile d'araignée et navait plus quà succomber à tous les desideratas de Fanny s'il ne voulait pas se faire croquer. Cest elle qui tenait la corde du string ce soir. Lolympienne avait bien lintention de faire le jeu, de ne laisser aucun espace à Lolo. Elle avait réussi à faire venir le Toulousain chez elle, elle comptait bien lui faire découvrir la ville en rose.
« Qui ne saute pas nest pas Marseillaaaaiiiiiis !!!»
Se mit-elle alors à hurler. Lolo saccompli de son devoir en laissant la Marseillaise prendre le dessus, et, afin de respecter la consigne chantée, accomplir ce quelle hurlait alors dans les oreilles de Lolo pas de doute, elle était bien Marseillaise.
Ce soir, il avait décidé de tenter une grosse frappe, elle avait décidé ne pas relacher la pression sur le porteur des ballons. Elle gagnerait, à coup sur, cétait écrit dans les anales.
Fanny, nue sous sa nuisette de satin rose, attendait impatiemment la venue de Lolo, son ami garagiste qui devait venir réparer le trou de serrure de son oste-in dans laquelle une clef, était malencontreusement restée coincée.
« Il devait sans doute manquer un peu de lubrifiant dans le trou » lui avait expliqué Lolo.
Une perle de sueur, vestige récurent dune nuit bien trop agitée sécoulait paisiblement entre ses deux roteiros. Ils étaient fiers et droits comme deux anciens combattants rescapés dune salve meurtrière, essayant pour quelques instants encore de sauver leur équilibre précaire en prenant appui lun sur lautre. Pour combien de temps?
Fanny nétait plus une enfant. Elle le savait depuis trop longtemps déjà. Marseillaise exilée à Toulouse, sa nouvelle ville de cur (et quel cur !) Fanfan, comme lappelait Lolo, à limage de sa chère ville rose qui lavait adoptée, avait tout connu de la grandeur et du déclin. Du faste des nuits chaudes du capitole, où elle avait cru trouver un beau dix pour ses soirées spéciales « Thé et fessée », au trou béant laissé par le passage des pervers de léprouvette de chez AZF, tout ceci navait plus guère de secret pour elle.
On sonnait. Fanny fit un bon. Elle se retrouva droite sur deux magnifiques cuisses dont le galbe nétait pas sans rappeler les formes ovoïdes des ballons du stade toulousains. Ne manquait plus que la fermeté dune main sure et conquérante pour venir placer la balle dans len-but.
Cétait Lolo. Il était là, dehors, une main appuyée sur lencadrement de la porte, lautre traînant du côté de la sonnette quil venait de titiller. La supportrice olympienne quétait Fanny avait la nette impression de lavoir toujours connu. Lorsquils se sont rencontrés, à Marseille, lui était déjà tellement si prompt à se rendre serviable, tantôt pour un coup de main, tantôt pour un coup au fond des filets, tantôt pour un coup.
Alors quil éprouvait le besoin de retourner au pays, de monter un garage et de revoir lessaim des siens et les seins des siennes, elle avait décidé de le suivre. Non pas quelle se sentait particulièrement attachée à lui, car Fanny avait tout pour réussir sa carrière chez Téfal, mais il sagissait là dune simple histoire de garagiste crevante de banalité: un piston et une culasse prévus pour coulisser de concert, ça ne se sépare pas.
José, le chef datelier du garage Lada de Marseille dans lequel bossait Lolo avait pourtant bien essayé de sy employer : récupérer le cur de la supportrice olympienne et surtout tout ce quil y avait autour, naurait pas été pour lui déplaire. Il espérait pouvoir se rapprocher un peu plus de Fanny en éloignant Lolo et en exigeant sa mutation. Cela ne fit que les rapprocher encore un peu plus. Fanfan suivit Lolo à Toulouse.
Lolo était là, raide comme un chichi au milieu du salon, et comme toujours, son regard témoignait dune grande hésitation. Il nétait pas de cette race dhomme fiers et sûrs deux, capable de deblaterer tout un argumentaire de vendeur de foire pour faire succomber les femmes. Non, lui était plutôt du genre discret, capable de se faire oublier pendant près dune heure et demie avant de créer la surprise en envoyant une bonne grosse frappe au fond des cuisses, faisant mouche à coup sur.
« Alors, tas un soucis avec ton trou de serrure ? »
Lolo neut pas le temps de finir sa phrase que Fanfan lavait déjà envoyé valdinguer dans les creux abyssaux du canapé. Il était coincé là, tel une mouche dans une toile d'araignée et navait plus quà succomber à tous les desideratas de Fanny s'il ne voulait pas se faire croquer. Cest elle qui tenait la corde du string ce soir. Lolympienne avait bien lintention de faire le jeu, de ne laisser aucun espace à Lolo. Elle avait réussi à faire venir le Toulousain chez elle, elle comptait bien lui faire découvrir la ville en rose.
« Qui ne saute pas nest pas Marseillaaaaiiiiiis !!!»
Se mit-elle alors à hurler. Lolo saccompli de son devoir en laissant la Marseillaise prendre le dessus, et, afin de respecter la consigne chantée, accomplir ce quelle hurlait alors dans les oreilles de Lolo pas de doute, elle était bien Marseillaise.
Ce soir, il avait décidé de tenter une grosse frappe, elle avait décidé ne pas relacher la pression sur le porteur des ballons. Elle gagnerait, à coup sur, cétait écrit dans les anales.