03-02-2006, 19:08
Les Olympiens sur le pied de guerre pour affronter Troyes (17è) au stade de l'Aube, lors de la 25ème journée de Ligue 1.
Un choc au sommier, pour des spectateurs victimes de la mouche tsé-tsé qui sévit depuis la reprise, partout où l'OM passe. M'enfin de là à prendre lamouche et vociférer au micro-cosmos, au nom de tout un peuple de l'herbe... Revenons à nos brebis, ne nous égarons point. L'ESTAC se présente comme un adversaire largement à notre portée de crampons. Mon royaume pour un cheval, les borgnes sont rois en ces cités...
L'ESTAC ne fait pas de chichis
Jeannot nous prédit un énième match difficile, contre une équipe "solide". 23 matchs, 21 buts inscrits et 29 encaissés depuis le début de saison. C'est vrai que le goal-average de -8 force le respect. Autant le dire tout de suite : il n'y pas de quoi craindre, à priori, une déconvenue.
C'est aussi ce que l'on pensait tout bas avant de se rendre au Mans ou Ajaccio.
Piqûre du Velodrome ou morsure de l'Aube, à quoi bon choisir...
C'est vrai que Troyes ne semble plus aussi sexy que du temps de son Fabio Capello local.
Plus de félin Boutal, envolé l'aérien Celestini. Le chéri de ces dames Djukic ne fait plus partie de la maison. D'Henry à Troyes y a pas.
Juste de prometteurs joueurs tels le gardien Ronan le Crom, l'attaquant Sébastien Grax, les milieux Benjamin Nivet -ni connu- et Blaise Matuidi.
Troyes entretient l'amour du risque en recrutant l'ex-parisien Branko Boskovic. L'entraîneur Jean-Marc Furlan n'a pas le "mojo" d'un Alain Perrin, mais lui présente l'avantage d'afficher une circonférence crânienne compatible avec la loi de l'apesanteur.
Et à être réaliste, on se demande lequel des deux clubs la victoire relancerait le mieux.
A signaler : Troyes n'a pas diputé de match pour la 24ème journée de L1, à Nantes. Les hommes de Furlan présenteront un visage sans doute plus frais que nos Olympiens.
Laurent Bataille de Troyes ou Pascal Fontaine de jouvence ?
L'OM panse ses maux avant d'aligner les noms : si César et Delfim seront rétablis, Nasri est bel et bien blessé. Un sacré problème se pose au milieu de terrain alors qu'Oruma s'enCANnaille en Egypte.
Lamouchi tentera d'enchaîner les matches comme il enchaîne les passes à l'adversaire. Barthez et Carrasso se concurrencent jusqu'à l'infirmerie. Souhaitons que l'on ne pousse pas la faute de goût au point d'aligner la quenelle au pays de l'andouillette.
Gimenez était au bout du rouleau. Heureusement, Sopalin Pagis est là ! Le blanchisseur de l'argent teint vient nous donner une bose dose de réalisme. Le trio de pointe se voit découvrir en Pagis un point G bien plus facile à trouver. Un viagra à moulés.
Si le système semble déjà bien huilé dans l'intimité du Vel', on a toutes les raisons d'essayer à Troyes... histoire de briser la routine.
Encore faudrait-il que cette fameuse bataille ait bien lieu d'être... Avec des températures annoncées entre moins trois et un degré ce dimanche, le déroulement de la rencontre n'est pas assuré. Jeannot a toutes les raisons de sortir sa doudoune eskimo matelassée. S'il veut un bonnet, la Bonnêtterie locale lui proposera moults modèles pour un prix défiant toute concurrence.
Sans rêver d'un football champagne, on se contentera de leur rentrer dans le ratafia dans le respect de la tradition. Sous peine de se retrouver coincés pour de bon dans le bouchon lyonnais.
La victoire pour faire coulisser l'andouillette. Qui a dit que c'était un plaisir solitaire ?
Un choc au sommier, pour des spectateurs victimes de la mouche tsé-tsé qui sévit depuis la reprise, partout où l'OM passe. M'enfin de là à prendre lamouche et vociférer au micro-cosmos, au nom de tout un peuple de l'herbe... Revenons à nos brebis, ne nous égarons point. L'ESTAC se présente comme un adversaire largement à notre portée de crampons. Mon royaume pour un cheval, les borgnes sont rois en ces cités...
L'ESTAC ne fait pas de chichis
Jeannot nous prédit un énième match difficile, contre une équipe "solide". 23 matchs, 21 buts inscrits et 29 encaissés depuis le début de saison. C'est vrai que le goal-average de -8 force le respect. Autant le dire tout de suite : il n'y pas de quoi craindre, à priori, une déconvenue.
C'est aussi ce que l'on pensait tout bas avant de se rendre au Mans ou Ajaccio.
Piqûre du Velodrome ou morsure de l'Aube, à quoi bon choisir...
C'est vrai que Troyes ne semble plus aussi sexy que du temps de son Fabio Capello local.
Plus de félin Boutal, envolé l'aérien Celestini. Le chéri de ces dames Djukic ne fait plus partie de la maison. D'Henry à Troyes y a pas.
Juste de prometteurs joueurs tels le gardien Ronan le Crom, l'attaquant Sébastien Grax, les milieux Benjamin Nivet -ni connu- et Blaise Matuidi.
Troyes entretient l'amour du risque en recrutant l'ex-parisien Branko Boskovic. L'entraîneur Jean-Marc Furlan n'a pas le "mojo" d'un Alain Perrin, mais lui présente l'avantage d'afficher une circonférence crânienne compatible avec la loi de l'apesanteur.
Et à être réaliste, on se demande lequel des deux clubs la victoire relancerait le mieux.
A signaler : Troyes n'a pas diputé de match pour la 24ème journée de L1, à Nantes. Les hommes de Furlan présenteront un visage sans doute plus frais que nos Olympiens.
Laurent Bataille de Troyes ou Pascal Fontaine de jouvence ?
L'OM panse ses maux avant d'aligner les noms : si César et Delfim seront rétablis, Nasri est bel et bien blessé. Un sacré problème se pose au milieu de terrain alors qu'Oruma s'enCANnaille en Egypte.
Lamouchi tentera d'enchaîner les matches comme il enchaîne les passes à l'adversaire. Barthez et Carrasso se concurrencent jusqu'à l'infirmerie. Souhaitons que l'on ne pousse pas la faute de goût au point d'aligner la quenelle au pays de l'andouillette.
Gimenez était au bout du rouleau. Heureusement, Sopalin Pagis est là ! Le blanchisseur de l'argent teint vient nous donner une bose dose de réalisme. Le trio de pointe se voit découvrir en Pagis un point G bien plus facile à trouver. Un viagra à moulés.
Si le système semble déjà bien huilé dans l'intimité du Vel', on a toutes les raisons d'essayer à Troyes... histoire de briser la routine.
Encore faudrait-il que cette fameuse bataille ait bien lieu d'être... Avec des températures annoncées entre moins trois et un degré ce dimanche, le déroulement de la rencontre n'est pas assuré. Jeannot a toutes les raisons de sortir sa doudoune eskimo matelassée. S'il veut un bonnet, la Bonnêtterie locale lui proposera moults modèles pour un prix défiant toute concurrence.
Sans rêver d'un football champagne, on se contentera de leur rentrer dans le ratafia dans le respect de la tradition. Sous peine de se retrouver coincés pour de bon dans le bouchon lyonnais.
La victoire pour faire coulisser l'andouillette. Qui a dit que c'était un plaisir solitaire ?
Solide comme un wok !