03-02-2006, 11:35
Albibac a écrit :Sauf à se séparer d'un joueur ayant le même salaire. La diificulté étant de maintenir une masse salariale stable, quelque soit le nombre de joueurs qui en bénéficie.
10 joueurs moyens à 80.000 euros/mois coûtent autant que 5 cadors à 160.000, non ? :blondblush1:
Evidemment oui, pour ton exemple de 10 moyens et 5 cadors.
Quant à ta proposition initiale: je ne comprends pas trop ce que tu veux dire...:hum:
En conséquence de ce que j'ai expliqué, on peut prendre pour exemple le cas squilacci : beaucoup disait que 7 M (prix évoqué dans la presse) c'était trop cher.
Sur 4 ans, cette indemnité revient à un coût de 146 000 / mois, soit grosso modo un salaire brut de 100 000 avec les charges patronales liées.
Soit le salaire de Meité.
Ma conclusion est que l'investissement en indemnité de transfert n'est pas forcément pénalisant financièrement, si cela évite de prendre tour à tour 2 autres joueurs moyens afin d'essayer de stabiliser un poste.
Par exemple on se retrouve avec 5 DC (Déhu, César, AL, Meité, Civelli) et des joueurs polyvalents pouvant occuper ce poste en cas de coups durs (Beye, Cana) : résultats, Benatia qui a parait-il un bon potentiel risque de moisir avant d'avoir eu sa chance.
Il faut arbitrer sur les risques mais personnellement je suis plus enclin à avoir 11 vrais bons joueurs, 4 moyens et des jeunes plutôt qu'un groupe 5 bons joueurs et 17 moyens.
Après il y a toujours les risques de blessures, on est d'accord. Lyon a eu la chance d'être épargné lors de sa montée en puissance quand son groupe était de qualité mais restreint.
Enfin, que la charge soit de la masse salariale ou de la "dotation aux amortissements des indemnités de transfert", cela revient au même quant aux résultats d'exploitation. Il faut vraiment avoir une approche "globale".