Oruma : "Le vrai visage de l’OM on l’a vu contre Metz."
30-09-2005, 16:10
Vous dites que le plus important c’est la qualification ?
Exactement.
Moi je crois que pour nous il n’y a pas de match facile ici. Les équipes restent à 11 derrière. Les matchs comme ça c’est difficile à jouer.
Mais les supporteurs et la presse disent « ils ne sont pas bons » vous l’acceptez ça ?
Tu sais, tout le monde est obligé de critiquer parce que les gens viennent voir le spectacle, ils veulent des buts, des choses. Des matchs comme ça, nous on est crispé parce qu’on ne veut pas prendre de buts, et les gens ne peuvent pas comprendre ça parce qu’ils ne sont pas sur le terrain. C’est nous qui sommes sur le terrain. Quand on ne marque pas dans les premières 20 minutes, une demie heure, l’équipe adverse prend confiance, ça personne ne le voit. Nous on est obligé de faire attention de ne pas prendre un but, de marquer ce but qui va libérer des espaces et nous rendre les choses faciles.
Hier, malheureusement ce n’est pas arrivé. Ils ont bien tenu la baraque. On n’avait rien pour nous, là malheureusement. Je comprends que les gens critiquent. Ils ont le droit parce qu’ils ont payé leur place, ils ont le droit de dire ce qu’ils pensent. Nous devons accepter. C’est le métier et nous devons essayer de faire mieux pour essayer de faire plaisir à ce public qui est toujours là.
On va bientôt voir le vrai visage de l’OM ?
Le vrai visage est déjà là.
Contre Metz on a pris un but, on n’a jamais paniqué et on a gagné. Il faut être patient, jouer calmement et essayer de faire du mieux possible. Le vrai visage de l’OM on l’a vu contre Metz. Il faut avoir de la patience sur le terrain. Toutes les équipes défendent à Marseille et nous on doit bien jouer. Même contre ceux qui sont moins forts il faut rester prudent. On ne peut pas dire on va leur monter dessus, les écraser tout de suite parce qu’ils sont plus faibles. On est obligé d’être attentif. Le public siffle, c’est normal. On l’entend, mais on essaye de faire de notre mieux.
Cette qualification met en confiance ?
Mais bien sûr.
Regarde j’ai un large sourire. Tout le monde est confiant. Si on avait perdu je n’aurais pas le sourire, je ferais la gueule c’est sûr. On a gagné aux penalties, c’est bien. On est allé chercher cette victoire jusqu’au bout. C’est bien pour le match contre Nice.
Ca va être chaud dimanche ?
Les matchs comme ça il n’y a pas d’excuses.
Nous, dans notre situation on doit aller chercher des points. C’est un combat, on le sait, mais à Nice ou ailleurs il n’y a pas de match facile pour l’OM. C’est important d’aller faire quelque chose là bas. On ne sait pas ce qui va se passer, mais lorsqu’on entre sur le terrain, il faut avoir envie de ramener quelque chose à la maison.
Le retour de Ribéry est un plus ?
Bien, sûr.
On a besoin de tout le monde dans l’effectif. Lui est bien en ce moment, l’ équipe a besoin de lui, de tout le monde. Avec son aide, l’ équipe peut aller de l’avant.
Tu préfères jouer dans l’axe ?
Bien sûr, mais quand le coach me fait jouer quelque part, ça veut dire qu’il a confiance en moi. Moi je suis prêt à jouer n‘importe où. Il n’y a pas de poste de fixe pour un joueur. Tu dois essayer de trouver des solutions. Si ce n’est pas moi, c’est un autre. Le football se joue à 11. On est une équipe. Tu peux faire ce que tu veux, mais si tu a 10 joueurs devant toi c’est plus dur. Si en face tu as une équipe qui joue au ballon, c’est plus facile. Si elle reste derrière, il y a toujours quelqu’un pour te contrer. Hier c’était comme ça.
Exactement.
Moi je crois que pour nous il n’y a pas de match facile ici. Les équipes restent à 11 derrière. Les matchs comme ça c’est difficile à jouer.
Mais les supporteurs et la presse disent « ils ne sont pas bons » vous l’acceptez ça ?
Tu sais, tout le monde est obligé de critiquer parce que les gens viennent voir le spectacle, ils veulent des buts, des choses. Des matchs comme ça, nous on est crispé parce qu’on ne veut pas prendre de buts, et les gens ne peuvent pas comprendre ça parce qu’ils ne sont pas sur le terrain. C’est nous qui sommes sur le terrain. Quand on ne marque pas dans les premières 20 minutes, une demie heure, l’équipe adverse prend confiance, ça personne ne le voit. Nous on est obligé de faire attention de ne pas prendre un but, de marquer ce but qui va libérer des espaces et nous rendre les choses faciles.
Hier, malheureusement ce n’est pas arrivé. Ils ont bien tenu la baraque. On n’avait rien pour nous, là malheureusement. Je comprends que les gens critiquent. Ils ont le droit parce qu’ils ont payé leur place, ils ont le droit de dire ce qu’ils pensent. Nous devons accepter. C’est le métier et nous devons essayer de faire mieux pour essayer de faire plaisir à ce public qui est toujours là.
On va bientôt voir le vrai visage de l’OM ?
Le vrai visage est déjà là.
Contre Metz on a pris un but, on n’a jamais paniqué et on a gagné. Il faut être patient, jouer calmement et essayer de faire du mieux possible. Le vrai visage de l’OM on l’a vu contre Metz. Il faut avoir de la patience sur le terrain. Toutes les équipes défendent à Marseille et nous on doit bien jouer. Même contre ceux qui sont moins forts il faut rester prudent. On ne peut pas dire on va leur monter dessus, les écraser tout de suite parce qu’ils sont plus faibles. On est obligé d’être attentif. Le public siffle, c’est normal. On l’entend, mais on essaye de faire de notre mieux.
Cette qualification met en confiance ?
Mais bien sûr.
Regarde j’ai un large sourire. Tout le monde est confiant. Si on avait perdu je n’aurais pas le sourire, je ferais la gueule c’est sûr. On a gagné aux penalties, c’est bien. On est allé chercher cette victoire jusqu’au bout. C’est bien pour le match contre Nice.
Ca va être chaud dimanche ?
Les matchs comme ça il n’y a pas d’excuses.
Nous, dans notre situation on doit aller chercher des points. C’est un combat, on le sait, mais à Nice ou ailleurs il n’y a pas de match facile pour l’OM. C’est important d’aller faire quelque chose là bas. On ne sait pas ce qui va se passer, mais lorsqu’on entre sur le terrain, il faut avoir envie de ramener quelque chose à la maison.
Le retour de Ribéry est un plus ?
Bien, sûr.
On a besoin de tout le monde dans l’effectif. Lui est bien en ce moment, l’ équipe a besoin de lui, de tout le monde. Avec son aide, l’ équipe peut aller de l’avant.
Tu préfères jouer dans l’axe ?
Bien sûr, mais quand le coach me fait jouer quelque part, ça veut dire qu’il a confiance en moi. Moi je suis prêt à jouer n‘importe où. Il n’y a pas de poste de fixe pour un joueur. Tu dois essayer de trouver des solutions. Si ce n’est pas moi, c’est un autre. Le football se joue à 11. On est une équipe. Tu peux faire ce que tu veux, mais si tu a 10 joueurs devant toi c’est plus dur. Si en face tu as une équipe qui joue au ballon, c’est plus facile. Si elle reste derrière, il y a toujours quelqu’un pour te contrer. Hier c’était comme ça.
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"Je me suis bien occupé de ton cas, hein Zizù !" 
Je veux bien admettre que les Belges ont joué regoupés. Mais en aucun cas ça explique toutes ces occasions ratées ou ces interminables séquences où l'on gardait le ballon pour reculer.
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