18-09-2005, 21:56
Inspiré du topic « séries en folie »
Il y a urgence : il faut désormais à notre OM engranger le maximum de points et de confiance. La bonne série qui a débuté en terre comtoise et continué contre les aubois se doit d’être prolongée dans la Ville Rose.
Pour rester dans la continuité, il faudrait que nous aidions les toulousains, déjà bien mal en point, à rester six pieds sous terre, mais pour y arriver il ne faudra pas jouer les têtes brûlées et concentration garder.
La défense était devenu le point faible des hommes en blanc, mais ils semblent avoir trouvé une certaine harmonie depuis qu’ils se font la vie à cinq, mais ce qui pourrait passer pour de la frilosité pour certains est certainement plus un choix de raison, tant nos lignes arrières ressemblaient à l’agence tous risques plus qu’à la sécurité sociale depuis quelques mois maintenant. Alors pour pallier à ces faiblesses et éviter de jouer un remake de « sept dans la maison », on fit appel à César, empereur des défenses, espérons qu’il soit l’homme qui tombe à pic.
Avec cette solidité retrouvée, il est plus aisé de se concentrer sur l’offensive, et retrouver une efficacité portée disparue si l’on excepte les matches d’Intertoto. Les pointes de cette année sont à la traîne, Mendoza, alias le Condor, fournit des prestations que même les enquêteurs de X-files ne sauraient expliquer. Hormis le duo Bamogo…, pardon je voulais dire Niang – Gimenez, qui semble développer un semblant de complémentarité, on n’a pas grand-chose dans les cales, si ce n’est du Koke en stock, mais ça ne pèse pas lourd. Seul notre Scarface semble vraiment tirer son épingle du jeu régulièrement, et se révèle comme une de nos valeurs sûres, animateur, provocateur, détonateur, il possède dans son jeu tous les artifices des grands milieux offensifs.
Les toulousains aussi ont leur série, noire pour l’heure. Malgré un recrutement estival aux allures hollywoodiennes, la mayonnaise ne prend pas. Les experts du recrutement ont embauché maintes perles, et même débauché un olympien, notre Zorro local signant un bail à long terme sur les bords de la Garonne. Et pourtant, de défaites en désillusions, nos chers amis toulousains ne voient pas le bout du tunnel, prisonniers d’une spirale négative infernale.
Ainsi, de mal en pis, un effectif que l’on donnait parmi les favoris pour les accessits de fin de saison se traîne en queue de classement, comme quoi il est peu aisé de trouver une quelconque formule magique qui permette de gagner à coup sûr, et c’est là la glorieuse incertitude du sport.
Ce mercredi, deux équipes aux trajectoires opposées vont s’affronter, l’une pour ne pas sombrer un peu plus, l’autre pour enfin donner une vraie confirmation aux espoirs placées en elle. Souhaitons aux olympiens de continuer leur belle série, et donc aux toulousains de poursuivre la leur aussi, du moins pour l’instant. Car si l’OM a acquis une réputation ces derniers mois, c’est bien d’être le club contre qui les équipes mal en point se relancent… Méfiance donc, seuls la rigueur et le sérieux, et une touche de génie, pourront venir à bout du piège qui nous tend les bras.
Wiss
Il y a urgence : il faut désormais à notre OM engranger le maximum de points et de confiance. La bonne série qui a débuté en terre comtoise et continué contre les aubois se doit d’être prolongée dans la Ville Rose.
Pour rester dans la continuité, il faudrait que nous aidions les toulousains, déjà bien mal en point, à rester six pieds sous terre, mais pour y arriver il ne faudra pas jouer les têtes brûlées et concentration garder.
La défense était devenu le point faible des hommes en blanc, mais ils semblent avoir trouvé une certaine harmonie depuis qu’ils se font la vie à cinq, mais ce qui pourrait passer pour de la frilosité pour certains est certainement plus un choix de raison, tant nos lignes arrières ressemblaient à l’agence tous risques plus qu’à la sécurité sociale depuis quelques mois maintenant. Alors pour pallier à ces faiblesses et éviter de jouer un remake de « sept dans la maison », on fit appel à César, empereur des défenses, espérons qu’il soit l’homme qui tombe à pic.
Avec cette solidité retrouvée, il est plus aisé de se concentrer sur l’offensive, et retrouver une efficacité portée disparue si l’on excepte les matches d’Intertoto. Les pointes de cette année sont à la traîne, Mendoza, alias le Condor, fournit des prestations que même les enquêteurs de X-files ne sauraient expliquer. Hormis le duo Bamogo…, pardon je voulais dire Niang – Gimenez, qui semble développer un semblant de complémentarité, on n’a pas grand-chose dans les cales, si ce n’est du Koke en stock, mais ça ne pèse pas lourd. Seul notre Scarface semble vraiment tirer son épingle du jeu régulièrement, et se révèle comme une de nos valeurs sûres, animateur, provocateur, détonateur, il possède dans son jeu tous les artifices des grands milieux offensifs.
Les toulousains aussi ont leur série, noire pour l’heure. Malgré un recrutement estival aux allures hollywoodiennes, la mayonnaise ne prend pas. Les experts du recrutement ont embauché maintes perles, et même débauché un olympien, notre Zorro local signant un bail à long terme sur les bords de la Garonne. Et pourtant, de défaites en désillusions, nos chers amis toulousains ne voient pas le bout du tunnel, prisonniers d’une spirale négative infernale.
Ainsi, de mal en pis, un effectif que l’on donnait parmi les favoris pour les accessits de fin de saison se traîne en queue de classement, comme quoi il est peu aisé de trouver une quelconque formule magique qui permette de gagner à coup sûr, et c’est là la glorieuse incertitude du sport.
Ce mercredi, deux équipes aux trajectoires opposées vont s’affronter, l’une pour ne pas sombrer un peu plus, l’autre pour enfin donner une vraie confirmation aux espoirs placées en elle. Souhaitons aux olympiens de continuer leur belle série, et donc aux toulousains de poursuivre la leur aussi, du moins pour l’instant. Car si l’OM a acquis une réputation ces derniers mois, c’est bien d’être le club contre qui les équipes mal en point se relancent… Méfiance donc, seuls la rigueur et le sérieux, et une touche de génie, pourront venir à bout du piège qui nous tend les bras.
Wiss