02-09-2005, 15:42
(Modification du message : 02-09-2005, 16:07 par capocannoniere.)
Une fois de plus, nos dirigeants ont oeuvré pour maintenir dans la continuité, la cohésion d'un groupe performant. Dans cette optique, les émissaires olympiens ont arpenté, comme à l'accoutumé les continents pour dénicher la "perle".
Le bilan de cette campagne de recrutement est très positif.:helpsmili
Pour se démarquer des autres équipes de L1, l'OM s'est doté d'un groupe, constitué d'éléments à plumes ou à poils, au lieu de sélectionner des joueurs de ballon plus classiques.:choque:
Mandatés par les ronds de cuirs de l'Olympique, d'éminents ornitologues, Alain Bougrain-Dubourg, Bozzo le clown et Achile Zavatta JR., avaient des prérogatives très claires. Ils se devaient donc de repérer "tout ce qui vole haut et court vite"; les autres n'ayant pas leur place à l'Om.
De ce postulat, l'équipe de recruteurs a tiré des conclusions qui semblent aujourd'hui légèrement attives.
En effet, Bougrain-Dubourg ayant eu un entretien avec "l'ane nigo", et "Pape" le gnou, il a clairement établi qu'il viserait les volatiles de grande envergure.
Il a tout d'abord prospecté en mer sur divers chalutiers pour trouver un albatros ou un goéland susceptible d'endosser la tunique olympienne.
Il s'est avéré qu'Alain avait le mal de mer, et qu'à chaque entretien avec un bel oiseau, il souillait le plumage de la bete des antipasti dégustés le midi.
Rationnel et cartésien, Alain décida de chercher sa future recrue sur la terre ferme, mais en ciblant toujours le meme type de zozios a grandes ailes.
Quelle meilleure destination que l'Amérique du Sud pour découvrir la future vedette. Tout d'abord intéressé par un joli vautour des terres arides du Mexique à qui il promit monts et merveilles, Alain comprit que le volatile n'était pas fiable, et qu'il le boufferait dès qu'il aurait le dos tourné.
Pris par le temps, à cause de la migration de corbeaux du moi de juillet qu'il se refusait de rater, Bougrain s'est finalement rabattu sur un banal condor à qui on vouait un réel culte dans son pays le Pérou.
Momentanément en Ukraine ou il était en intérim pour la saison dans une usine de métallurgie à Donetsk, le condor accepta finalement l'Offre de Bougrain qui s'élevait à 3 kilos de cacahuètes par jour.
Fin usurpateur, le condor n’était en réalité qu’un banal perdreau, égaré dans des contrées hostiles. Déguisé en un majestueux oiseau mythique, le perdreau espérait s’attirer la sympathie d’un nouveau contremaître. Le faussaire est parvenu à ses fins en trompant Bougrain-Dubourg. La supercherie n’a pas tenu longtemps à Marseille grace à la perspicacité légendaire des dirigeants olympiens. Pour cette mégarde, Bougrain sera remercié. C’est l’ane nigo qui lui a dit «merci alain », comme il l’avait fait à l’époque quand Perrin lui offrit son poste par compassion.
De leur coté, Bozo et Zavatta, recruteurs à l'Olympique depuis le milieu des 90's, et n'agissant que de concert, regardaient du coté de l'Afrique ou ils avaient découvert des phénomènes depuis qu’ils avaient intégrer l’élite des dirigeants francais du ballon rond à l'om.:lpouletda
En application des consignes de leurs supérieurs (intellectuellement inférieurs), Bozo et le talent d'Achille se mirent en quête de chasser un animal féroce et de tenter de le dompter, de l'apprivoiser pour le faire jouer au ballon.
Dans la savane nigériane, ils firent la rencontre d'un zèbre à qui ils exposèrent leur situation. Interloqué, le zebre ne comprit pas ce que ce faisaient ces deux charlots en Afrique sans un bout de viande dans leur besace pour amadouer le fauve. C'était la faute de leur Bouchet, ce con de Robert-Louis Typhus n'avait pas le moindre quartier de barbac a leur refourguer pour berner le félin. Le zebre doté d'un QI de 147 leur expliqua que leur méthode de chasse n'était pas adaptée à l'Afrique.
« Pas de viande, pas de tigre », assura-t-il.
Moyennant un demi-litre de vinasse, le zèbre accepta de leur filer l'adresse du cousin du frère d’un pote d’un collegue de travail, un tigrou qui bossait dans un zoo à sochaux.
Apparemment, l’animal avait un numéro très plaisant, le public était friand de ces accelarations, et en plus, il n’était pas nécessaire de lui filer un buffle en offrande, car il viendrait gratos. Il faut dire que Wilson le tigrou ne s’était pas acclimaté au froid sibérien de Sochaux et qu’il était prêt a chasser n’importe quelle antilope à la condition de le faire au soleil.
Les 2 célèbres hommes au nez rouge tenaient leur premier transfert de l’été .
Désireux de retrouver leur chapiteau respectif, Bozo se souvint pourtant des paroles d’un ami de RLT (T comme Typhus pour ceux qui n’auraient pas suivi). Louis Acarien, fin technicien et connaisseur du ballon (il a fait boxe en deuxième langue) lui avait confié son désir de faire collaborer deux joueurs véloces et rapides. « Tu sais Bozo, un joueur qui court vite c’est bien, mais deux c’est mieux ».
Ces sages paroles résonnaient dans l’esprit de Bozo qui remémora donc à Zavatta que leur tache était inachevée.
Achille et Bozo proche de Strasbourg, prirent contact avec l’attraction locale, le jaguar Mamadou.
Mamadou était un petit jaguar super-sonique, tellement vif que lorsqu’il arrivait à hauteur de sa proie, il était incapable de la saisir car il la dépassait forcément. Bozo en découvrant son talent pensait faire l’affaire de l’été.
Achile voyant son numéro, rétorqua naïvement à Bozo : « tu crois qu’il sera capable de planter des pralines devant les buts, il court vite mais il choppe jamais ce qu’il poursuit », et Bozo de lui répondre « t’en fais pas, il court vite, et en plus il court vite »
( tout en se rappelant l’Acarien).
Mais Mamadou le jaguar coutait bien plus que Wilson le tigrou. Ne sachant comment conclure l’affaire, les deux clowns demandèrent conseil à Pape le sage gnou. Celui-ci fit une démonstration clairvoyante à l’aide d’une équation à 60000 inconnus. Achetez-le au prix fort, on vendra ces pitres que sont Edouardo la hyène et Benoit le petit fennec.
Le contrat signé, Bozo et Achille pouvait retourner à leur jonglerie et autres tours de magie.
Mais, l’âne nigo en contact avec la SPA d’Istanbul a fait parlé son instinct légendaire.
Le protecteur des animaux turcs venait de récupérer un jeune coyote, errant dans les bas fonds de Constantinople après que son employeur, Hassan Pinder ( le cousin Turc du célèbre cirque francais) l’ait spolié de tous ses bien et ait omis de le rémunérer.
Flairant le bon coup avec son gros nez d’ane, nigo envoya Jeannot le Morse dans le détroit du Bosphore. Bien que sauvage, Frankie le coyote n’effrayait pas le morse, car ce dernier l’avait eu sous ses ordres dans un numéro comique à Metz ou les prestations de Frankie laissaient présager un potentiel et une agressivité sans égal.
A leurs retrouvailles, Frankie en guise de bienvenue tacla le morse au genou avec ses dents éguisées. Le morse connaissant Frankie, ne lui en tint pas rigueur.
Le morse fut atterré par l’état physique du coyote. Nourri au chich kebab et au doner kebab, frankie n’était plus que l’ombre de lui-meme. Ces sauvages de turcs l’avaient enfermé dans une cage de 78cm², et le laceraient avec des dagues héritées de l’empire ottoman. Frankie le coyote n’était pas un joli garcon à l’origine, mais maintenant il faisait meme peur aux pachydermes.
Le gnou et l’ane ont au moins eu cette satisfaction de sauver un jeune animal sauvage en péril.
Passons sur les transferts connexes que sont ceux de Dédé Luis le rat, Cana la fouine et les autres (ca commence déjà à etre long à lire non ?)
Tous ces quadrupèdes et autres volatiles se sont donc retrouvés à Marseille.
Frankie est resté attaché un long moi à un platane car il voulait becter tout les spécimens de l’arche de Noé qu’il avait sous les yeux.
Les félins eux cavalaient dans tous les sens, ce qui avait le don d’énerver le coyote.
Aux entrainements, le gnou, l’ane, l’Acarien et Typhus étaient enchantés de l’association de ces talents à poils et à plumes.
« Je m’interroge », s’exclama Nigo. Surpris par cette reflexion l’élite Olympienne le questionna. « qu’est-ce ? »
Pourquoi aucune équipe francaise n’a pensé à substituer les hommes par des animaux se demandait-il.
Il avait raison. Le jeu n’était modifié en rien, l’OM pratiquait toujours le même schéma stéréotypé, les performances étaient toujours aussi médiocres et tout ca pour le meme prix.
:vodevill
Le Vel se transformait dès lors tous les week-end en un gigantesque chapiteau à ciel ouvert ou les protagonistes produisaient le meilleur et le pire.
Les numéros humoristiques étaient les mieux maitrisés et l’association de toutes ces races en voie de disparition rendait ce spectacle unique.
A tel point qu’ Arlette Gruss a lancé une OPA sauvage sur l’Olympique de Marseille pour recupérer ses structures ainsi que ses meilleurs éléments.
On reve de voir s’envoler le condor d’un trapeze pour essayer d’atterir sur la piste aux étoiles sans se faire bouffer par le coyote.
Le bilan de cette campagne de recrutement est très positif.:helpsmili
Pour se démarquer des autres équipes de L1, l'OM s'est doté d'un groupe, constitué d'éléments à plumes ou à poils, au lieu de sélectionner des joueurs de ballon plus classiques.:choque:
Mandatés par les ronds de cuirs de l'Olympique, d'éminents ornitologues, Alain Bougrain-Dubourg, Bozzo le clown et Achile Zavatta JR., avaient des prérogatives très claires. Ils se devaient donc de repérer "tout ce qui vole haut et court vite"; les autres n'ayant pas leur place à l'Om.
De ce postulat, l'équipe de recruteurs a tiré des conclusions qui semblent aujourd'hui légèrement attives.
En effet, Bougrain-Dubourg ayant eu un entretien avec "l'ane nigo", et "Pape" le gnou, il a clairement établi qu'il viserait les volatiles de grande envergure.
Il a tout d'abord prospecté en mer sur divers chalutiers pour trouver un albatros ou un goéland susceptible d'endosser la tunique olympienne.
Il s'est avéré qu'Alain avait le mal de mer, et qu'à chaque entretien avec un bel oiseau, il souillait le plumage de la bete des antipasti dégustés le midi.
Rationnel et cartésien, Alain décida de chercher sa future recrue sur la terre ferme, mais en ciblant toujours le meme type de zozios a grandes ailes.
Quelle meilleure destination que l'Amérique du Sud pour découvrir la future vedette. Tout d'abord intéressé par un joli vautour des terres arides du Mexique à qui il promit monts et merveilles, Alain comprit que le volatile n'était pas fiable, et qu'il le boufferait dès qu'il aurait le dos tourné.
Pris par le temps, à cause de la migration de corbeaux du moi de juillet qu'il se refusait de rater, Bougrain s'est finalement rabattu sur un banal condor à qui on vouait un réel culte dans son pays le Pérou.
Momentanément en Ukraine ou il était en intérim pour la saison dans une usine de métallurgie à Donetsk, le condor accepta finalement l'Offre de Bougrain qui s'élevait à 3 kilos de cacahuètes par jour.
Fin usurpateur, le condor n’était en réalité qu’un banal perdreau, égaré dans des contrées hostiles. Déguisé en un majestueux oiseau mythique, le perdreau espérait s’attirer la sympathie d’un nouveau contremaître. Le faussaire est parvenu à ses fins en trompant Bougrain-Dubourg. La supercherie n’a pas tenu longtemps à Marseille grace à la perspicacité légendaire des dirigeants olympiens. Pour cette mégarde, Bougrain sera remercié. C’est l’ane nigo qui lui a dit «merci alain », comme il l’avait fait à l’époque quand Perrin lui offrit son poste par compassion.
De leur coté, Bozo et Zavatta, recruteurs à l'Olympique depuis le milieu des 90's, et n'agissant que de concert, regardaient du coté de l'Afrique ou ils avaient découvert des phénomènes depuis qu’ils avaient intégrer l’élite des dirigeants francais du ballon rond à l'om.:lpouletda
En application des consignes de leurs supérieurs (intellectuellement inférieurs), Bozo et le talent d'Achille se mirent en quête de chasser un animal féroce et de tenter de le dompter, de l'apprivoiser pour le faire jouer au ballon.
Dans la savane nigériane, ils firent la rencontre d'un zèbre à qui ils exposèrent leur situation. Interloqué, le zebre ne comprit pas ce que ce faisaient ces deux charlots en Afrique sans un bout de viande dans leur besace pour amadouer le fauve. C'était la faute de leur Bouchet, ce con de Robert-Louis Typhus n'avait pas le moindre quartier de barbac a leur refourguer pour berner le félin. Le zebre doté d'un QI de 147 leur expliqua que leur méthode de chasse n'était pas adaptée à l'Afrique.
« Pas de viande, pas de tigre », assura-t-il.
Moyennant un demi-litre de vinasse, le zèbre accepta de leur filer l'adresse du cousin du frère d’un pote d’un collegue de travail, un tigrou qui bossait dans un zoo à sochaux.
Apparemment, l’animal avait un numéro très plaisant, le public était friand de ces accelarations, et en plus, il n’était pas nécessaire de lui filer un buffle en offrande, car il viendrait gratos. Il faut dire que Wilson le tigrou ne s’était pas acclimaté au froid sibérien de Sochaux et qu’il était prêt a chasser n’importe quelle antilope à la condition de le faire au soleil.
Les 2 célèbres hommes au nez rouge tenaient leur premier transfert de l’été .
Désireux de retrouver leur chapiteau respectif, Bozo se souvint pourtant des paroles d’un ami de RLT (T comme Typhus pour ceux qui n’auraient pas suivi). Louis Acarien, fin technicien et connaisseur du ballon (il a fait boxe en deuxième langue) lui avait confié son désir de faire collaborer deux joueurs véloces et rapides. « Tu sais Bozo, un joueur qui court vite c’est bien, mais deux c’est mieux ».
Ces sages paroles résonnaient dans l’esprit de Bozo qui remémora donc à Zavatta que leur tache était inachevée.
Achille et Bozo proche de Strasbourg, prirent contact avec l’attraction locale, le jaguar Mamadou.
Mamadou était un petit jaguar super-sonique, tellement vif que lorsqu’il arrivait à hauteur de sa proie, il était incapable de la saisir car il la dépassait forcément. Bozo en découvrant son talent pensait faire l’affaire de l’été.
Achile voyant son numéro, rétorqua naïvement à Bozo : « tu crois qu’il sera capable de planter des pralines devant les buts, il court vite mais il choppe jamais ce qu’il poursuit », et Bozo de lui répondre « t’en fais pas, il court vite, et en plus il court vite »
( tout en se rappelant l’Acarien).
Mais Mamadou le jaguar coutait bien plus que Wilson le tigrou. Ne sachant comment conclure l’affaire, les deux clowns demandèrent conseil à Pape le sage gnou. Celui-ci fit une démonstration clairvoyante à l’aide d’une équation à 60000 inconnus. Achetez-le au prix fort, on vendra ces pitres que sont Edouardo la hyène et Benoit le petit fennec.
Le contrat signé, Bozo et Achille pouvait retourner à leur jonglerie et autres tours de magie.
Mais, l’âne nigo en contact avec la SPA d’Istanbul a fait parlé son instinct légendaire.
Le protecteur des animaux turcs venait de récupérer un jeune coyote, errant dans les bas fonds de Constantinople après que son employeur, Hassan Pinder ( le cousin Turc du célèbre cirque francais) l’ait spolié de tous ses bien et ait omis de le rémunérer.
Flairant le bon coup avec son gros nez d’ane, nigo envoya Jeannot le Morse dans le détroit du Bosphore. Bien que sauvage, Frankie le coyote n’effrayait pas le morse, car ce dernier l’avait eu sous ses ordres dans un numéro comique à Metz ou les prestations de Frankie laissaient présager un potentiel et une agressivité sans égal.
A leurs retrouvailles, Frankie en guise de bienvenue tacla le morse au genou avec ses dents éguisées. Le morse connaissant Frankie, ne lui en tint pas rigueur.
Le morse fut atterré par l’état physique du coyote. Nourri au chich kebab et au doner kebab, frankie n’était plus que l’ombre de lui-meme. Ces sauvages de turcs l’avaient enfermé dans une cage de 78cm², et le laceraient avec des dagues héritées de l’empire ottoman. Frankie le coyote n’était pas un joli garcon à l’origine, mais maintenant il faisait meme peur aux pachydermes.
Le gnou et l’ane ont au moins eu cette satisfaction de sauver un jeune animal sauvage en péril.
Passons sur les transferts connexes que sont ceux de Dédé Luis le rat, Cana la fouine et les autres (ca commence déjà à etre long à lire non ?)
Tous ces quadrupèdes et autres volatiles se sont donc retrouvés à Marseille.
Frankie est resté attaché un long moi à un platane car il voulait becter tout les spécimens de l’arche de Noé qu’il avait sous les yeux.
Les félins eux cavalaient dans tous les sens, ce qui avait le don d’énerver le coyote.
Aux entrainements, le gnou, l’ane, l’Acarien et Typhus étaient enchantés de l’association de ces talents à poils et à plumes.
« Je m’interroge », s’exclama Nigo. Surpris par cette reflexion l’élite Olympienne le questionna. « qu’est-ce ? »
Pourquoi aucune équipe francaise n’a pensé à substituer les hommes par des animaux se demandait-il.
Il avait raison. Le jeu n’était modifié en rien, l’OM pratiquait toujours le même schéma stéréotypé, les performances étaient toujours aussi médiocres et tout ca pour le meme prix.
:vodevill
Le Vel se transformait dès lors tous les week-end en un gigantesque chapiteau à ciel ouvert ou les protagonistes produisaient le meilleur et le pire.
Les numéros humoristiques étaient les mieux maitrisés et l’association de toutes ces races en voie de disparition rendait ce spectacle unique.
A tel point qu’ Arlette Gruss a lancé une OPA sauvage sur l’Olympique de Marseille pour recupérer ses structures ainsi que ses meilleurs éléments.
On reve de voir s’envoler le condor d’un trapeze pour essayer d’atterir sur la piste aux étoiles sans se faire bouffer par le coyote.
MARSIGLIA CAPUT MUNDI
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