26-08-2005, 04:59
Cana et Gimenez sont bel et bien olympiens. José et moi nous en réjouissons complètement. C’est deux garçons que nous souhaitions enrôler. Il s’agit de Lorik Cana.
Cana ou Sana avec un C au début ?
Je dis Cana mais on peut dire Sana avec un c. Son papa m’a gentiment permis de l’appeler Cana, je l’ai connu dès que la famille est venue en France.
Finalement le père veut qu’on dise Cana. C’est un garçon aux caractéristiques connues de vous tous. Il a le profil que nous recherchions, un milieu défensif, on a pour habitude souvent d’entendre les garçon qui viennent ici dire, c’est le club de mes rêves, le club où je souhaitais venir, mais là en l’occurrence, c’est réellement la vérité. Lorik me parlait toujours de Marseille. C’est tout à fait vrai. José peut témoigner. C’est un garçon qui nous a rappelé qu’il aurait refusé tout autre club que Marseille. Nous nous réjouissons de cet état d’esprit.
Christian, dès le premier jour que l’approche a été faite, il a tout de suite manifesté un réel plaisir de venir nous rejoindre. Nous l’en remercions. Il lui a fallu consentir quelques sacrifices avec son club pour venir. Il n’a pas joué le match hier parce qu’il savait que nous nous étions qualifiés la veille en coupe de l’UEFA. De part et d’autre la volonté est manifeste de venir à Marseille pour renforcer l’équipe.
Lorik est là pour combien ?
Il a signé un contrat de 4 ans. Pour le montent on dit nous que c’est trois millions et laissons dire les parisiens que c’est 4. Christian il est là pour deux ans avec une option et on a payé autour d’un million. Là au moins il n’y a pas débat.
Tu veux encore un attaquant ?
José va répondre mais sans anticiper je peux dire que nous réfléchissons à l’enrôlement d’un joueur qui pourrait venir renforcer le secteur défensif. José va en parler.
Cissé ?
Cissé, Cissé, Cissé… je n’ai pas changé d’optique pour ce qu’il le concerne. C’est un dossier complexe, très difficile. Ce n’est pas une démarche que nous avons entreprise en disant nous allons tout faire pour prendre Cissé. Vous connaissez le contexte. Cissé a manifesté le désir de quitter Liverpool si Owen revenait pour occuper le poste d’avant centre qui est le sien. Il y a eu d’une part et d‘autre une association d’idée qui voulait que si Cissé quittait le club, il viendrait à Marseille. La balle était donc en rebond, nous l’avons saisie. Nous avons discuté avec le jouer et les dirigeants. Nous sommes dans une situation d‘attente avec beaucoup de réalisme dans notre esprit. Nous savons que ce n’est pas une chose qui se fait dans un claquement de doigt ou un battement de cil, mais cependant nous restons éveillés sur ce dossier. Si l’occasion faisait le larron, nous serions heureux d’être là.
Vous auriez les moyens ?
Ce que j’ai dit résume la situation. En disant que c’est un dossier complexe il faut tenir compte de toutes les dimensions multiples d’un tel dossier. Aussi bien par la faisabilité de la chose. Si demain Owen ne revenait pas à Liverpool peut être que ça peut changer la donne mais ça suppose aussi que nous puissions transcender le volet financier qui n’est pas le moindre. C‘est pas tout. Le problème Cissé est un problème global. Je préfère ne pas faire saliver les supporteurs. Nous nous sommes suffisamment battus pour essayer de présenter l’équipe la plus représentative possible. Nous nous interdisons de semer le rêve ou de le nourrir inutilement. Nous sommes d’un grand réalisme sur ce dossier. Nous savons que ce n’est pas facile, nous ne sommes pas en train de dire au public marseillais « Très bientôt vous allez avoir Cissé devant vous », nous disons il y a peut-être une occasion qui peut naître si elle naissais nous ferons tous pour améliorer le rendement de notre équipe par une présence aussi importante. Mais que les choses soient très claires, nous ne sommes pas des marchands de rêves nous jouons la réalité et le réalisme.
RLD a mis la main à la poche pour Cana ?
Je lis la presse. Ce matin, j’ai pu lire que l’erreur que le Président parisien a commise c’est d’avoir dit que l’OM n’avait pas les moyens et que ça a eu pour effet de raidir la position de l’actionnaire principal qui a sorti le chéquier pour que nous puissions faire venir Lorik Cana. Ce n’est qu’une spéculation. Je suis très bien placé pour le dire. En nous intéressant à ce joueur nous avions déjà nos idées très arrêtées sur le dossier, nous n’avons pas entendu une éventuellement maladresse de son président.
Peut importe de dire à RLD, voyez on dit que nous sommes des pauvres, il faut que vous nous sortiez de ça, c’est pas comme ça que les choses se sont passées. Nous avons eu avec l’actionnaire principal une rencontre que je qualifierais de tout à fait normale, de conventionnelle voir d’amicale au cours de laquelle nous avons pu faire des échanges sur l’ensemble des choses. Il y avait José, l’entraîneur, Louis Acariès et moi-même.
On a fait un échange à grand train. Tout cela a nourri le débat de manière significative mais on n’a pas demandé à l’actionnaire de sortir son chéquier. Nous avons senti ce jour là qu’il était derrière nous, que nous avions son soutien total et qu’il se réjouissait de notre travail en profondeur. Le reste c’est le secret des délibération entre gens qui n’ont pas à étaler tout ce qu’ils se disent mais il n’y a rien d‘autre à tirer de cette rencontre là.
Cana ou Sana avec un C au début ?
Je dis Cana mais on peut dire Sana avec un c. Son papa m’a gentiment permis de l’appeler Cana, je l’ai connu dès que la famille est venue en France.
Finalement le père veut qu’on dise Cana. C’est un garçon aux caractéristiques connues de vous tous. Il a le profil que nous recherchions, un milieu défensif, on a pour habitude souvent d’entendre les garçon qui viennent ici dire, c’est le club de mes rêves, le club où je souhaitais venir, mais là en l’occurrence, c’est réellement la vérité. Lorik me parlait toujours de Marseille. C’est tout à fait vrai. José peut témoigner. C’est un garçon qui nous a rappelé qu’il aurait refusé tout autre club que Marseille. Nous nous réjouissons de cet état d’esprit.
Christian, dès le premier jour que l’approche a été faite, il a tout de suite manifesté un réel plaisir de venir nous rejoindre. Nous l’en remercions. Il lui a fallu consentir quelques sacrifices avec son club pour venir. Il n’a pas joué le match hier parce qu’il savait que nous nous étions qualifiés la veille en coupe de l’UEFA. De part et d’autre la volonté est manifeste de venir à Marseille pour renforcer l’équipe.
Lorik est là pour combien ?
Il a signé un contrat de 4 ans. Pour le montent on dit nous que c’est trois millions et laissons dire les parisiens que c’est 4. Christian il est là pour deux ans avec une option et on a payé autour d’un million. Là au moins il n’y a pas débat.
Tu veux encore un attaquant ?
José va répondre mais sans anticiper je peux dire que nous réfléchissons à l’enrôlement d’un joueur qui pourrait venir renforcer le secteur défensif. José va en parler.
Cissé ?
Cissé, Cissé, Cissé… je n’ai pas changé d’optique pour ce qu’il le concerne. C’est un dossier complexe, très difficile. Ce n’est pas une démarche que nous avons entreprise en disant nous allons tout faire pour prendre Cissé. Vous connaissez le contexte. Cissé a manifesté le désir de quitter Liverpool si Owen revenait pour occuper le poste d’avant centre qui est le sien. Il y a eu d’une part et d‘autre une association d’idée qui voulait que si Cissé quittait le club, il viendrait à Marseille. La balle était donc en rebond, nous l’avons saisie. Nous avons discuté avec le jouer et les dirigeants. Nous sommes dans une situation d‘attente avec beaucoup de réalisme dans notre esprit. Nous savons que ce n’est pas une chose qui se fait dans un claquement de doigt ou un battement de cil, mais cependant nous restons éveillés sur ce dossier. Si l’occasion faisait le larron, nous serions heureux d’être là.
Vous auriez les moyens ?
Ce que j’ai dit résume la situation. En disant que c’est un dossier complexe il faut tenir compte de toutes les dimensions multiples d’un tel dossier. Aussi bien par la faisabilité de la chose. Si demain Owen ne revenait pas à Liverpool peut être que ça peut changer la donne mais ça suppose aussi que nous puissions transcender le volet financier qui n’est pas le moindre. C‘est pas tout. Le problème Cissé est un problème global. Je préfère ne pas faire saliver les supporteurs. Nous nous sommes suffisamment battus pour essayer de présenter l’équipe la plus représentative possible. Nous nous interdisons de semer le rêve ou de le nourrir inutilement. Nous sommes d’un grand réalisme sur ce dossier. Nous savons que ce n’est pas facile, nous ne sommes pas en train de dire au public marseillais « Très bientôt vous allez avoir Cissé devant vous », nous disons il y a peut-être une occasion qui peut naître si elle naissais nous ferons tous pour améliorer le rendement de notre équipe par une présence aussi importante. Mais que les choses soient très claires, nous ne sommes pas des marchands de rêves nous jouons la réalité et le réalisme.
RLD a mis la main à la poche pour Cana ?
Je lis la presse. Ce matin, j’ai pu lire que l’erreur que le Président parisien a commise c’est d’avoir dit que l’OM n’avait pas les moyens et que ça a eu pour effet de raidir la position de l’actionnaire principal qui a sorti le chéquier pour que nous puissions faire venir Lorik Cana. Ce n’est qu’une spéculation. Je suis très bien placé pour le dire. En nous intéressant à ce joueur nous avions déjà nos idées très arrêtées sur le dossier, nous n’avons pas entendu une éventuellement maladresse de son président.
Peut importe de dire à RLD, voyez on dit que nous sommes des pauvres, il faut que vous nous sortiez de ça, c’est pas comme ça que les choses se sont passées. Nous avons eu avec l’actionnaire principal une rencontre que je qualifierais de tout à fait normale, de conventionnelle voir d’amicale au cours de laquelle nous avons pu faire des échanges sur l’ensemble des choses. Il y avait José, l’entraîneur, Louis Acariès et moi-même.
On a fait un échange à grand train. Tout cela a nourri le débat de manière significative mais on n’a pas demandé à l’actionnaire de sortir son chéquier. Nous avons senti ce jour là qu’il était derrière nous, que nous avions son soutien total et qu’il se réjouissait de notre travail en profondeur. Le reste c’est le secret des délibération entre gens qui n’ont pas à étaler tout ce qu’ils se disent mais il n’y a rien d‘autre à tirer de cette rencontre là.
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