Chaque année, à pareille époque, se produit un épiphénomène qui interpelle les plus avertis d'entre nous.
Ce processus récurrent qu'il nous est donné d'apprécier, pour notre plus grand plaisir, se nomme le mercato olympien...
Dramaturgie de circonstance où les héros n'ont pas forcément l'étoffe, mais pour sûr, la cage affole vu qu'on ne sait pas trop où l’oeuf va être pondu !!!
Telle une troupe se préparant pour le festival off et pas trop in de la cité du Pape, on sent bien que le spectacle va être jubilatoire, savant mélange de précieux ridicules et d'avare...
Sans vouloir jouer le malade imaginaire foudroyé par une crise de pessimisme aiguë, je constate néanmoins que le fantôme de l’opéra rôde toujours dans les travées du Vel.
Il est question de retour du messie noir, icône savamment utilisée par le grand gana rldien relayé par le non moins charismatique maître de cérémonie, notre prêcheur sur gages de bonne parole, Josélito, qui entretient le mythe et l’irréalité…
Parce qu’il en faudrait des substances illicites et euphorisantes pour croire en ces paradis artificiels que l’on essaie de nous refourguer, j’y vois plus des parodies artificielles distillées au compte-gouttes histoire de nous mettre l’eau à la bouche, mais chausser le naturel il revient au galop !!!
Soyons désinvoltes disait la chanson, ou alors patients, accordons leur 100 jours de réflexion.
Dans la cour des noeuds Pape, chacun sait que seules les meilleures représentations n’ont droit de cité. C’est toujours plus tard dans le spectacle qu’on s’empresse d’espérer le droit de cécité, tant on n’en croit pas nos yeux aux vues de la médiocrité de la mise en scène.
Les copains d’abord donc.
Josélito, Juan et Henri constituent désormais la nouvelle trilogie marseillaise, libre à vous de définir qui est Marius, qui est César, quant à Fanny on l’est toujours en fin de saison, alors !!!
Au programme, cure de jouvenceaux pour l’abbé qui sourit, on dégraisse l’effectif sur ordre de sa majesté, le bourreau de belle thune s’active en tronchant l’esthète, fini les brêles aux abois dormants et le jeu du ballon pris'aux'niais.
On donne dans le grandiloquent, une sorte d’hygiène de l’assassin qui rectifie les contrats indésirables, sept morts sur ordonnance, voire plus au final, voilà le prologue qu’on nous propose pour l’instant.
Un levé de rideau accompagné des trois coups du brigadier Landou toujours en embuscade pour alpaguer le régisseur général.
Faut la jouer fine de clair, la quête de la perle rare est à oublier, le trésor des temps pliés englouti comme l’Atlantide.
On a donc fait sonner le glas pour les coqs en stock qu’on estimait de basse cour et pour lesquels, aucun recours n’était envisageable ni même envisagé …
Circulez y’a plus rien à voir, le nouvel OMo lave encore plus blanc que blanc.
A défaut de conte de fées, on donne dans le compte de faits en attendant les comptes défaits puisqu’on nous soutient qu’y’a plus de beurre dans les épinards et que la baisse de notre pouvoir d’achat n’a jamais été aussi significative.
On est open à toutes propositions, et c’est bien connu, tous les chemins mènent à Oruma.
Ca tombe bien, il est libre comme l’air et rêve d’OM un max.
L’avaleur n’attend pas le nombre des années, Bianchéri l’a bien compris, c’est dans les vieux potos qu’on fait les meilleures chausses.
On n’a pas de pétrole mais paraîtrait qu’on a plein d’idées, des fixes je présume, celles qui te font devenir chèvre et prendre le midnight express pour le Topkapri.
Faut se méfier de l’empire où tout ment, palais mais pas joli joli non plus, Ribery a mis les adjas en joint, l’herbe est plus verte ailleurs et à Marseille en particulier selon lui et transe football.
Pinaise, si on est tintin à Istanbul, on aura bien mérité le sceptre des tocards, c'est Byzance quoi !!!
Dans cet épisode du prisonnier, ce n’est pas le chiffre six qu’on évoque mais bien dix si la chère rasade de champagne fraîchement sabré pour fêter la signature de Francky qui goes to Boliwood se révèle être hâtive puisque entachée de vices qui déforment…la réalité, sa réalité m’a alité, comme quoi ça ne sert à rien de rêver d’un autre monde…
Alors vas-y Francky, mets de l’huile parce que ci-joint la culasse, dame, ça sera loin d’être bon bon bon dixit un agent très très espécial de la FricFa, M. Jean Kulowski anciennement proctologue d’Escalettes.
Il faut bien reconnaître un mérite à notre caste dirigeante, c’est de savoir se fourrer dans des situations qui vont pimenter notre morne quotidien.
Y’a pas que le soleil et la chaleur qui ensuquent, y’a aussi les histoires d’amour qui finissent pas toujours bien en général dès qu’il s’agit de l’Olympique, alors prions Creutzfeldt et Jakob pour que l’OM ait pris le taureau par les cornes, et éviter ainsi de se faire rouler dans la farine animale oeuf corse, sinon on va se rejouer un bien tristounet remake de "la vache folle et le prisonnier"…
A noter aussi que Monsieur Jean est un adepte du yin et du Niang, sauf que la recherche de la complémentarité est relativement chère, la star bourgeoise vaut 8 M¤ selon le manager alsacien, Keller de rien essaie de toucher le gros lot non pas au grattage mais plutôt au sous-tirage de devises.
Du tac o tac de haut vol, la transaction devrait se faire sur des bases moindres mais néanmoins élevées, faut dire qu’on a pris la fâcheuse habitude de surpayer nos biquettes, alors le petit commerçant en profite lorsqu’un joueur moyen devient la priorité de l’entraîneur et du dirlo sportif.
A questions pour un champion, l’OM semble avoir pris un sacré retard par rapport à ses concurrents historiques directs, mais cet état de fait ne semble pas effrayer outre mesure nos pieds nickelés qui se disent sereins…tant que c’est pas cuits cuits parce qu’à force d’ouvrir la cage aux zozos, même de passage et de mauvais augure, on risque de tomber sur un os plus que sur une ossature.
Toto ce héros approche, après le vide grenier du mois de juin, il ne reste qu’une équipe amputée pour jouer les premiers tours de cette prestigieuse compétition.
Sueurs froides en plein mois de Juillet, parce que même la nuit de noce risque de tourner à un acte manqué synonyme de véritable descente aux enfers.
Je n’ose même pas imaginer quelle saveur aurait une élimination au troisième tour de la croupe à toto face à une bien modeste formation belge, fume aurait dit Raymond qui en matière de Belge et de coupe s’y connaissait assurément.
Allez, par ici l'entrée des artistes et que la fête commence…
Ce processus récurrent qu'il nous est donné d'apprécier, pour notre plus grand plaisir, se nomme le mercato olympien...
Dramaturgie de circonstance où les héros n'ont pas forcément l'étoffe, mais pour sûr, la cage affole vu qu'on ne sait pas trop où l’oeuf va être pondu !!!
Telle une troupe se préparant pour le festival off et pas trop in de la cité du Pape, on sent bien que le spectacle va être jubilatoire, savant mélange de précieux ridicules et d'avare...
Sans vouloir jouer le malade imaginaire foudroyé par une crise de pessimisme aiguë, je constate néanmoins que le fantôme de l’opéra rôde toujours dans les travées du Vel.
Il est question de retour du messie noir, icône savamment utilisée par le grand gana rldien relayé par le non moins charismatique maître de cérémonie, notre prêcheur sur gages de bonne parole, Josélito, qui entretient le mythe et l’irréalité…
Parce qu’il en faudrait des substances illicites et euphorisantes pour croire en ces paradis artificiels que l’on essaie de nous refourguer, j’y vois plus des parodies artificielles distillées au compte-gouttes histoire de nous mettre l’eau à la bouche, mais chausser le naturel il revient au galop !!!
Soyons désinvoltes disait la chanson, ou alors patients, accordons leur 100 jours de réflexion.
Dans la cour des noeuds Pape, chacun sait que seules les meilleures représentations n’ont droit de cité. C’est toujours plus tard dans le spectacle qu’on s’empresse d’espérer le droit de cécité, tant on n’en croit pas nos yeux aux vues de la médiocrité de la mise en scène.
Les copains d’abord donc.
Josélito, Juan et Henri constituent désormais la nouvelle trilogie marseillaise, libre à vous de définir qui est Marius, qui est César, quant à Fanny on l’est toujours en fin de saison, alors !!!
Au programme, cure de jouvenceaux pour l’abbé qui sourit, on dégraisse l’effectif sur ordre de sa majesté, le bourreau de belle thune s’active en tronchant l’esthète, fini les brêles aux abois dormants et le jeu du ballon pris'aux'niais.
On donne dans le grandiloquent, une sorte d’hygiène de l’assassin qui rectifie les contrats indésirables, sept morts sur ordonnance, voire plus au final, voilà le prologue qu’on nous propose pour l’instant.
Un levé de rideau accompagné des trois coups du brigadier Landou toujours en embuscade pour alpaguer le régisseur général.
Faut la jouer fine de clair, la quête de la perle rare est à oublier, le trésor des temps pliés englouti comme l’Atlantide.
On a donc fait sonner le glas pour les coqs en stock qu’on estimait de basse cour et pour lesquels, aucun recours n’était envisageable ni même envisagé …
Circulez y’a plus rien à voir, le nouvel OMo lave encore plus blanc que blanc.
A défaut de conte de fées, on donne dans le compte de faits en attendant les comptes défaits puisqu’on nous soutient qu’y’a plus de beurre dans les épinards et que la baisse de notre pouvoir d’achat n’a jamais été aussi significative.
On est open à toutes propositions, et c’est bien connu, tous les chemins mènent à Oruma.
Ca tombe bien, il est libre comme l’air et rêve d’OM un max.
L’avaleur n’attend pas le nombre des années, Bianchéri l’a bien compris, c’est dans les vieux potos qu’on fait les meilleures chausses.
On n’a pas de pétrole mais paraîtrait qu’on a plein d’idées, des fixes je présume, celles qui te font devenir chèvre et prendre le midnight express pour le Topkapri.
Faut se méfier de l’empire où tout ment, palais mais pas joli joli non plus, Ribery a mis les adjas en joint, l’herbe est plus verte ailleurs et à Marseille en particulier selon lui et transe football.
Pinaise, si on est tintin à Istanbul, on aura bien mérité le sceptre des tocards, c'est Byzance quoi !!!
Dans cet épisode du prisonnier, ce n’est pas le chiffre six qu’on évoque mais bien dix si la chère rasade de champagne fraîchement sabré pour fêter la signature de Francky qui goes to Boliwood se révèle être hâtive puisque entachée de vices qui déforment…la réalité, sa réalité m’a alité, comme quoi ça ne sert à rien de rêver d’un autre monde…
Alors vas-y Francky, mets de l’huile parce que ci-joint la culasse, dame, ça sera loin d’être bon bon bon dixit un agent très très espécial de la FricFa, M. Jean Kulowski anciennement proctologue d’Escalettes.
Il faut bien reconnaître un mérite à notre caste dirigeante, c’est de savoir se fourrer dans des situations qui vont pimenter notre morne quotidien.
Y’a pas que le soleil et la chaleur qui ensuquent, y’a aussi les histoires d’amour qui finissent pas toujours bien en général dès qu’il s’agit de l’Olympique, alors prions Creutzfeldt et Jakob pour que l’OM ait pris le taureau par les cornes, et éviter ainsi de se faire rouler dans la farine animale oeuf corse, sinon on va se rejouer un bien tristounet remake de "la vache folle et le prisonnier"…
A noter aussi que Monsieur Jean est un adepte du yin et du Niang, sauf que la recherche de la complémentarité est relativement chère, la star bourgeoise vaut 8 M¤ selon le manager alsacien, Keller de rien essaie de toucher le gros lot non pas au grattage mais plutôt au sous-tirage de devises.
Du tac o tac de haut vol, la transaction devrait se faire sur des bases moindres mais néanmoins élevées, faut dire qu’on a pris la fâcheuse habitude de surpayer nos biquettes, alors le petit commerçant en profite lorsqu’un joueur moyen devient la priorité de l’entraîneur et du dirlo sportif.
A questions pour un champion, l’OM semble avoir pris un sacré retard par rapport à ses concurrents historiques directs, mais cet état de fait ne semble pas effrayer outre mesure nos pieds nickelés qui se disent sereins…tant que c’est pas cuits cuits parce qu’à force d’ouvrir la cage aux zozos, même de passage et de mauvais augure, on risque de tomber sur un os plus que sur une ossature.
Toto ce héros approche, après le vide grenier du mois de juin, il ne reste qu’une équipe amputée pour jouer les premiers tours de cette prestigieuse compétition.
Sueurs froides en plein mois de Juillet, parce que même la nuit de noce risque de tourner à un acte manqué synonyme de véritable descente aux enfers.
Je n’ose même pas imaginer quelle saveur aurait une élimination au troisième tour de la croupe à toto face à une bien modeste formation belge, fume aurait dit Raymond qui en matière de Belge et de coupe s’y connaissait assurément.
Allez, par ici l'entrée des artistes et que la fête commence…