sale soirée : après Lolo Batlles, c'est Protis qui nous quitte
reviens nous voir de temps en temps, le fond de tes messages était bien bon, et les réactions que tu as provoquées m'ont bien fait marrer
bazon62 a écrit :Arf j'avais pas vu, je viens de les poster dans les lamentations...
arf, je viens de voir ! Pas bien grave...ça remontera le moral des troupes...
Je suis triste d'avoir perdu Battles...et Protis,...une touche originale, une vision différente et décalée, un humour corosif...c'est dommage.
Solon a écrit :[QUOTE=Protis] Trop tard. Hier RLD(il) était pété et en transe sur la pelouse, c’était l’occase idéal (idéale) pour lui extorquer le chèque. Ce matin(,) il a du (dû) se lever avec une sévère gueule de bois et quand sa famille l’a appelé pour lui dire qu’il avait été ridicule sur la pelouse, (pas besoin de virgule avec et) et que la (le) majordome lui a montré l’Equipe avec sa gueule de supporters (supporteur) de bas, il est parti faire son golf, le Financial Times sous le bras en jurant qu’on l’y reprendrait plus.
QUOTE]
Tu as déjà fait le coup sur un autre Topic, ici c'est 100% optimiste -
Malgrè tout je vais te répondre parce que tes interventions me paraissent vraiment limites et sentent le ressentiment à plein nez. D'une part, je me joins à ceux qui râlent contre RLD, uniquement, quand ça va mal à l'OM : mais il faut que cela commence par un "aide toi et le ciel t'aidera" et je souhaite que RLD ait réellement cette envie.
Pour en revenir à ta prose je la trouve nauséabonde :
1°) "Il était pété et en transe sur la pelouse" ==> remarque qui souligne un préjugé petit bourgeois ou mesquin en voyant un milliardaire sauter et marquer sa joie avec le populo. Le fait d'interpréter ce geste chez une personne qui apparaissait jusqu'alors guindée et distante, appellerait plutôt de l'étonnement, de la sympathie et cela a dû surprendre beaucoup de supporteurs (basiques).
Comment interpréter la remarque de Protis ? Vraisemblablement, il projette l'image psychologique qu'il a du père laquelle est restée enfantine dans son esprit : voir une personne à la fois détestée et enviée danser comme un e personne vulgaire ! Ce préjugé peut être également produit si Protis a une vie professionnelle frustrée, par exemple s'il est subordonné à des personnes qu'il envie à la fois et déteste. On retrouve cette projection psychologique de frustré dans deux autres passages :
imaginer que RLD puisse se faire houspiller par sa famille comme on pourrait le voir dans une série de TF1 et avec l'intrusion du majordome qui dispenserait vérité et morale au travers de la Une du Journal l'Equipe. Confondre la Bible ave le journal l'équipe est une autre forme de confusion à la fois des genres et un manque total de discernement d'un auteur qui s'imagine plus malin qu'il n'est.
2°) L'évocation du lever : images d'Epinal qui signent l'impuissance intellectuelle de son auteur pour réfléchir et argumenter. Une sorte d'automatisme prend le relais et englue malheureusement les propos de Protis dans un inconscient cafardeux et cafouilleux.
Le lever de RLD dans sa famille, sait-on comment il vit seulement ? En famille, dans un pavillon de banlieu, un F4 ? Il prend son café dans la cuisine et attendrait le front honteurx les remarques de ridicule de quelle famille ? Quel image peut se cacher sous celle de RLD, celle d'un roi ou d'un courtisan ? Seuls les courtisans peuvent craindre le ridicule, non le Roi ! Ce passage renforce l'esprit de baissesse et de ressentiment en faisant un amalgame possible entre ce que Protis peut réellement subir dans sa famille avec autre chose, la vie d'un autre qu'il ne peut comprendre ou envisager que sous une forme pervertie.
3°) Le passage sur "le Financial Times sous le bras" (en général l'allusion de sous le bras renvoie à autre chose n'est-ce pas ?) ==> aux relents de la petitesse et de l'étroitesse d'esprit d'une personne jugeant quelque chose qui le dépasse surgit une frustration sexuelle (l'évocation de l'argent et du sexe étant bien connue chez les psychologue). Soyons un peu raisonnable, faisons travailler la tête au lieu de travailler du chapeau, ce sont les petits rentiers qui lisent la presse financière et non ceux qui agissent directement en bourse.
Bref, je comprends et j'ai de la compassion quand je lis des topiques ultra mécontants, désespérés, voulant tout et rien, avec des mots de rages contre RLD, mais jamais leurs mots ne sont ridicules pour le fameux supporteur de base.
Par contre, quand on essaie d'instrumentaliser sa propre rancune et frustration contre l'OM, je trouve cela insupportable.
Hier RLD, pendant quelques minutes, peut être qu'il s'est plongé dans l'âme d'un supporteur de base ça, et alors ! cela ne rabaisse ni RLD pas plus que cela ne réhausse le supporteur de base, c'est l'OM ! Et la magie c'est quand les envies des uns et des autres vont dans le même sens.
Cette magie touche tous les coeurs sans différencier le fait qu'on soit milliardiaire ou rmiste, en tant qu'optimiste j'espère que l'émotion de RLD était sincère (pourquoi pas !) afin qu'elle optimise à son tour son action à l'OM.
Tombé là dessus par (mauvais) hasard.
Ce qui suit, je le signe: "Trop tard. Hier RLD(il) était pété et en transe sur la pelouse, c’était l’occase idéal (idéale) pour lui extorquer le chèque. Ce matin(,) il a du (dû) se lever avec une sévère gueule de bois et quand sa famille l’a appelé pour lui dire qu’il avait été ridicule sur la pelouse, (pas besoin de virgule avec et) et que la (le) majordome lui a montré l’Equipe avec sa gueule de supporters (supporteur) de bas, il est parti faire son golf, le Financial Times sous le bras en jurant qu’on l’y reprendrait plus." Attaquer l'auteur de ces lignes d'un verbiage psy est pour moi totalement nauséabond, il y a là dedans des relents inqualifiables. La fumerie est pour moi un endroit où l'on peut débattre sereinement, sans le risque d'attaques personnelles. Ce n'est pas le cas ici. La prose de Solon est totalement condamnable et je m'étonne qu'elle ne le soit pas ici.
Boeuf Mode: adios protis, j'aimais bien tes alternatives... mais je devais être seul ou parfois même accompagné... Décidément, la fumerie n'est plus ce qu'elle était...
Je ne sais pas si elle n'est plus ce qu'elle était. Mais après avoir lu la prose de Solon, je redescends brutalement de mon nuage. Lecture seule pour moi pour l'instant. L'OM dernier, je vais m'en remettre, mais lire un truc pareil, ça va me prendre un moment.
Bon il en faut trop pour t'impressionner pourtant elle est vraiment pas mal cette contrepétrie
Tiens au fait j'ai trouvé un nouveau patient pour toi. Mais c'est comme Avec Armstrong je donne un numéro d'échantillon mais pas le nom. Donc numéro: 149495.
A propos de la plongée plébienne de Dreyfus
"Je retourne ma veste, je vois un signe encourageant!
Tu te rends compte, un mec avec une si belle carte bancaire, être obligé de se fringuer de la sorte, marcher sur une pelouse qui n' est pas un green de golf, et boire du champagne dans une coupe en plastique qui vient sûrement d' Auchan .....
Il fait des efforts méritoires !"
T'en penses quoi au niveau de sa psyché, de son vécu et de sa classe sociale de ce patient ?
Moi je parie pour un fils de notaire de province pas très bien dans ses baskets parce qu'il est amoureux de la fille du boucher un buveur invétéré
Solon a écrit :[QUOTE=Protis] Trop tard. Hier RLD(il) était pété et en transe sur la pelouse, c’était l’occase idéal (idéale) pour lui extorquer le chèque. Ce matin(,) il a du (dû) se lever avec une sévère gueule de bois et quand sa famille l’a appelé pour lui dire qu’il avait été ridicule sur la pelouse, (pas besoin de virgule avec et) et que la (le) majordome lui a montré l’Equipe avec sa gueule de supporters (supporteur) de bas, il est parti faire son golf, le Financial Times sous le bras en jurant qu’on l’y reprendrait plus.
QUOTE]
Tu as déjà fait le coup sur un autre Topic, ici c'est 100% optimiste -
Malgrè tout je vais te répondre parce que tes interventions me paraissent vraiment limites et sentent le ressentiment à plein nez. D'une part, je me joins à ceux qui râlent contre RLD, uniquement, quand ça va mal à l'OM : mais il faut que cela commence par un "aide toi et le ciel t'aidera" et je souhaite que RLD ait réellement cette envie.
Pour en revenir à ta prose je la trouve nauséabonde :
1°) "Il était pété et en transe sur la pelouse" ==> remarque qui souligne un préjugé petit bourgeois ou mesquin en voyant un milliardaire sauter et marquer sa joie avec le populo. Le fait d'interpréter ce geste chez une personne qui apparaissait jusqu'alors guindée et distante, appellerait plutôt de l'étonnement, de la sympathie et cela a dû surprendre beaucoup de supporteurs (basiques).
Comment interpréter la remarque de Protis ? Vraisemblablement, il projette l'image psychologique qu'il a du père laquelle est restée enfantine dans son esprit : voir une personne à la fois détestée et enviée danser comme un e personne vulgaire ! Ce préjugé peut être également produit si Protis a une vie professionnelle frustrée, par exemple s'il est subordonné à des personnes qu'il envie à la fois et déteste. On retrouve cette projection psychologique de frustré dans deux autres passages :
imaginer que RLD puisse se faire houspiller par sa famille comme on pourrait le voir dans une série de TF1 et avec l'intrusion du majordome qui dispenserait vérité et morale au travers de la Une du Journal l'Equipe. Confondre la Bible ave le journal l'équipe est une autre forme de confusion à la fois des genres et un manque total de discernement d'un auteur qui s'imagine plus malin qu'il n'est.
2°) L'évocation du lever : images d'Epinal qui signent l'impuissance intellectuelle de son auteur pour réfléchir et argumenter. Une sorte d'automatisme prend le relais et englue malheureusement les propos de Protis dans un inconscient cafardeux et cafouilleux.
Le lever de RLD dans sa famille, sait-on comment il vit seulement ? En famille, dans un pavillon de banlieu, un F4 ? Il prend son café dans la cuisine et attendrait le front honteurx les remarques de ridicule de quelle famille ? Quel image peut se cacher sous celle de RLD, celle d'un roi ou d'un courtisan ? Seuls les courtisans peuvent craindre le ridicule, non le Roi ! Ce passage renforce l'esprit de baissesse et de ressentiment en faisant un amalgame possible entre ce que Protis peut réellement subir dans sa famille avec autre chose, la vie d'un autre qu'il ne peut comprendre ou envisager que sous une forme pervertie.
3°) Le passage sur "le Financial Times sous le bras" (en général l'allusion de sous le bras renvoie à autre chose n'est-ce pas ?) ==> aux relents de la petitesse et de l'étroitesse d'esprit d'une personne jugeant quelque chose qui le dépasse surgit une frustration sexuelle (l'évocation de l'argent et du sexe étant bien connue chez les psychologue). Soyons un peu raisonnable, faisons travailler la tête au lieu de travailler du chapeau, ce sont les petits rentiers qui lisent la presse financière et non ceux qui agissent directement en bourse.
Bref, je comprends et j'ai de la compassion quand je lis des topiques ultra mécontants, désespérés, voulant tout et rien, avec des mots de rages contre RLD, mais jamais leurs mots ne sont ridicules pour le fameux supporteur de base.
Par contre, quand on essaie d'instrumentaliser sa propre rancune et frustration contre l'OM, je trouve cela insupportable.
Hier RLD, pendant quelques minutes, peut être qu'il s'est plongé dans l'âme d'un supporteur de base ça, et alors ! cela ne rabaisse ni RLD pas plus que cela ne réhausse le supporteur de base, c'est l'OM ! Et la magie c'est quand les envies des uns et des autres vont dans le même sens.
Cette magie touche tous les coeurs sans différencier le fait qu'on soit milliardiaire ou rmiste, en tant qu'optimiste j'espère que l'émotion de RLD était sincère (pourquoi pas !) afin qu'elle optimise à son tour son action à l'OM.
Désolé mon ami, le vernis psy que tu donnes à ta prose révèle chez toi une carence qui doit remonter à ta prime enfance: l'humour!
Va falloir sérieusement envisager une solide introspection.
beepees a écrit :
Désolé mon ami, le vernis psy que tu donnes à ta prose révèle chez toi une carence qui doit remonter à ta prime enfance: l'humour!
Va falloir sérieusement envisager une solide introspection.
Tombé là dessus par (mauvais) hasard.
Ce qui suit, je le signe: "Trop tard. Hier RLD(il) était pété et en transe sur la pelouse, c’était l’occase idéal (idéale) pour lui extorquer le chèque. Ce matin(,) il a du (dû) se lever avec une sévère gueule de bois et quand sa famille l’a appelé pour lui dire qu’il avait été ridicule sur la pelouse, (pas besoin de virgule avec et) et que la (le) majordome lui a montré l’Equipe avec sa gueule de supporters (supporteur) de bas, il est parti faire son golf, le Financial Times sous le bras en jurant qu’on l’y reprendrait plus."
Attaquer l'auteur de ces lignes d'un verbiage psy est pour moi totalement nauséabond, il y a là dedans des relents inqualifiables. La fumerie est pour moi un endroit où l'on peut débattre sereinement, sans le risque d'attaques personnelles. Ce n'est pas le cas ici. La prose de Solon est totalement condamnable et je m'étonne qu'elle ne le soit pas ici.
Boeuf Mode: adios protis, j'aimais bien tes alternatives... mais je devais être seul ou parfois même accompagné... Décidément, la fumerie n'est plus ce qu'elle était...
Je ne sais pas si elle n'est plus ce qu'elle était. Mais après avoir lu la prose de Solon, je redescends brutalement de mon nuage. Lecture seule pour moi pour l'instant. L'OM dernier, je vais m'en remettre, mais lire un truc pareil, ça va me prendre un moment.
Clair c'est bien dommage d'en arriver là mais je comprends la répulsion... Sur l'attitude, il me semblait avoir été clair. Faut-il censurer, that is the quessssssion dont je n'ai pas la réponse...
En tout cas il y a bien plus de raison d'être optimiste cette saison que lors des années passées.
1-Le recrutement est réussi avec un Niang qui se créé des occasions, marque des buts (5 en 11 matchs); Oruma et même Lamouchi qui progresse donnent de la consistence au milieu de terrain. Si Rothen joue en EDF alors Ribery n'en est plus très loin. Gimenez qui a rodé pendant tout le match dans la zone des 18m est clairement le profil d'attaquant chasseur qui manquait à l'équipe.
2- On gagne des matchs à gros enjeux comme celui de la corogne ce qui n'est pas arrivé depuis des lustres.
3- On recommence à voir du jeu ce qui n'est plus arrivé depuis 98-99. (L'année Drogba il y avait un extraterrestre et un troupeau de fatigués).
4-Les supporters ont ressorti le "et voilà ce que c'est, et voilà ce que c'est et voilà ce que c'est que d'être Mar sei llais"
5-on tient avec Carasso un parfait successeur de Barthez dès lors où ce dernier prendra sa retraite.
Il ne reste plus que les arbitres pour nous empêcher de réussir notre saison!!!
Tombé là dessus par (mauvais) hasard.
Ce qui suit, je le signe: "Trop tard. Hier RLD(il) était pété et en transe sur la pelouse, c’était l’occase idéal (idéale) pour lui extorquer le chèque. Ce matin(,) il a du (dû) se lever avec une sévère gueule de bois et quand sa famille l’a appelé pour lui dire qu’il avait été ridicule sur la pelouse, (pas besoin de virgule avec et) et que la (le) majordome lui a montré l’Equipe avec sa gueule de supporters (supporteur) de bas, il est parti faire son golf, le Financial Times sous le bras en jurant qu’on l’y reprendrait plus."
Attaquer l'auteur de ces lignes d'un verbiage psy est pour moi totalement nauséabond, il y a là dedans des relents inqualifiables. La fumerie est pour moi un endroit où l'on peut débattre sereinement, sans le risque d'attaques personnelles. Ce n'est pas le cas ici. La prose de Solon est totalement condamnable et je m'étonne qu'elle ne le soit pas ici.
Boeuf Mode: adios protis, j'aimais bien tes alternatives... mais je devais être seul ou parfois même accompagné... Décidément, la fumerie n'est plus ce qu'elle était...
Je ne sais pas si elle n'est plus ce qu'elle était. Mais après avoir lu la prose de Solon, je redescends brutalement de mon nuage. Lecture seule pour moi pour l'instant. L'OM dernier, je vais m'en remettre, mais lire un truc pareil, ça va me prendre un moment.
Verbiage psy, sans doute ; comme l’est également le verbiage journalistique quand il s’englue dans les conjectures. De ma part, ce n’était pas une attaque ad hominem contre l’auteur mais une manière de reprendre le texte de quelqu’un que je considère comme très fin et très provo (et que j’apprécie par ailleurs !)
Douanier, il me semble que ta remarque peut te donner bonne conscience, d’un côté tu condamnes les attaques personnelles et en même temps tu en appelles à la censure ; je crois que les psy appellent cela une injonction paradoxale !
Attaquer l'auteur de ces lignes d'un verbiage psy est pour moi totalement nauséabond, il y a là dedans des relents inqualifiables. La fumerie est pour moi un endroit où l'on peut débattre sereinement, sans le risque d'attaques personnelles. Ce n'est pas le cas ici. La prose de Solon est totalement condamnable et je m'étonne qu'elle ne le soit pas ici.
Verbiage psy, sans doute ; comme l’est également le verbiage journalistique quand il s’englue dans les conjectures. De ma part, ce n’était pas une attaque ad hominem contre l’auteur mais une manière de reprendre le texte de quelqu’un que je considère comme très fin et très provo (et que j’apprécie par ailleurs !)
Douanier, il me semble que ta remarque peut te donner bonne conscience, d’un côté tu condamnes les attaques personnelles et en même temps tu en appelles à la censure ; je crois que les psy appellent cela une injonction paradoxale !
Je n'ai pas appelé à la censure, j'ai dit dans un premier temps que face à ces écrits je préférais rester en lecture seule. J'ai dit que tes écrits étaient condamnables. Ce n'est pas de la censure. Si je suis en désaccord, si j'estime que des écrits ne me conviennent pas, je m'en vais, c'est tout.
Tu fais maintenant un pas de côté en expliquant que ce n'était pas un attaque ad hominem mais un exercice de style, une interprétation des écrits de Protis. Tu me dis maintenant que c'était du deuxième degré, ce que j'ai du mal à croire. Moi je pense que tu l'as écrit au premier degré.
J'ai dit que je restais en lecture seule, je n'ai donc pas résisté longtemps. Mais cela me laisse un drôle de goût.
6 kg de moules
400 gr d’oignons
400 gr de céleris émincés
poivre et sel
1 verre de vin blanc sec
1 bouteille de Maredsous avec une teneur en alcool de 6%
beurre manié
2 dl de crème fraîche
Préparation
Faites suer oignons et céleris émincés, salez, poivrez, mouillez d' un verre de vin blanc sec, d'un verre d’eau et de la moitié d’une bouteille de Maredsous. Versez par-dessus six kilos de moules nettoyées et lavées et faites cuire à feu vif en remuant souvent.
Après cuisson, versez le jus des moules dans une autre casserole, ajoutez le reste de la bière et faites bouillir le tout, liez au beurre manié (beurre avec farine) et avec 2 dl de crème fraîche, faire épaissir et nappez les moules.
Quand l'humour dépasse le treizième dégré, j'avoue avoir tendance à prendre ça pour une piquette voire un breuvage rance... Desolé, Solon, je n'ai point perçu sur ce coup-là l'ombre d'un humour caché... :(