26-05-2005, 22:24
W :ball: ss
La boucle est bouclée, merci Wiss
et merci à tous les autres éditorialistes
que j'ai un peu squatté dans leurs topics...
à tous . . .
S imple lettre d’adieu, que je t’écris, ce soir :
I l pleut sous mes paupières, mon amour, au revoir…
T u as bercé mon âme et fait vibrer ma ville,
U n mot entraînant l’autre… Salut, ainsi soit-il !
V ingt-six siècles, ici, cimentent la cité
E t un Club, chaque jour, l’anime d’un frisson :
N euf marseillais sur dix, jeunes ou non, filles, garçons
A ncrés dans les quartiers ou lointains exilés
I lluminent leurs rêves, aux confins de l’aurore,
S onges aux notes si douces ; clapotis du Vieux Port…
N os espoirs ont fondu, que dire de l’Europe ?
O mbres de l’ordinaire, vous tissez votre toile :
U ne saison bien terne, désillusions non-stop,
S ilence dans l’isoloir, les voix mettent le voile…
D onc, on ferme à la Une, on ferme, mais on vend :
I gnorons le bilan, place aux abonnements !
R oro, t’es un Cador, t’as compris l’argument :
E xclu du Vélodrome, on survit pas longtemps !
Q uerelles de coulisses, cela fait réchauffé
U nis les Marseillais, par travées, tarifés,
E nsuite ? quelques contrats, et ponts d’or paraphés…
T u sais, finalement, la lettre dans ma poche
U ne fois rédigée, je la trouve bien moche !
T’ inquiète pas petite, notre amour n’est pas mort
E t non, c’est ton proxo, qui salit le décor
N imbus de la finance... et son garde du corps.
V otons oui à l’Europe, celle des luttes en finales
A vec nos garnements, leurs vertus cardinales ;
S ignons-nous au cas où… Que chantent les cigales !
;)
La boucle est bouclée, merci Wiss
et merci à tous les autres éditorialistes
que j'ai un peu squatté dans leurs topics...
à tous . . .
S imple lettre d’adieu, que je t’écris, ce soir :
I l pleut sous mes paupières, mon amour, au revoir…
T u as bercé mon âme et fait vibrer ma ville,
U n mot entraînant l’autre… Salut, ainsi soit-il !
V ingt-six siècles, ici, cimentent la cité
E t un Club, chaque jour, l’anime d’un frisson :
N euf marseillais sur dix, jeunes ou non, filles, garçons
A ncrés dans les quartiers ou lointains exilés
I lluminent leurs rêves, aux confins de l’aurore,
S onges aux notes si douces ; clapotis du Vieux Port…
N os espoirs ont fondu, que dire de l’Europe ?
O mbres de l’ordinaire, vous tissez votre toile :
U ne saison bien terne, désillusions non-stop,
S ilence dans l’isoloir, les voix mettent le voile…
D onc, on ferme à la Une, on ferme, mais on vend :
I gnorons le bilan, place aux abonnements !
R oro, t’es un Cador, t’as compris l’argument :
E xclu du Vélodrome, on survit pas longtemps !
Q uerelles de coulisses, cela fait réchauffé
U nis les Marseillais, par travées, tarifés,
E nsuite ? quelques contrats, et ponts d’or paraphés…
T u sais, finalement, la lettre dans ma poche
U ne fois rédigée, je la trouve bien moche !
T’ inquiète pas petite, notre amour n’est pas mort
E t non, c’est ton proxo, qui salit le décor
N imbus de la finance... et son garde du corps.
V otons oui à l’Europe, celle des luttes en finales
A vec nos garnements, leurs vertus cardinales ;
S ignons-nous au cas où… Que chantent les cigales !
;)
Une vie est constellée de milliards dinstants hétérogènes et de quelques instants qui forment lhomogénéité de lêtre pour un moment. Merci, Basile... :ball: Merci, Bernard... Merci, Robert... Merci, Didier...