21-03-2005, 16:50
Mauvaise soirée ?
En terme comptable oui, en terme d’ambition, non. Ce soir nous sommes 2ème du championnat avec un point d’avance sur le 3ème et deux points sur le 4ème donc nous sommes toujours dans une logique du projet, de l'objectif. Il y a eu un coup d‘arrêt ce soir, ça fait partie du sport. Nous avons raté notre première mi-temps mais nous avons réussi la deuxième. L’équipe de Monaco a été peut-être plus réaliste sur l’ensemble de ce match que nous, alors que nous avions peut être un ensemble d’occasions qui auraient mérité un meilleur sort. Nous sommes déçus par rapport à cette bonne deuxième mi-temps de notre part, qui laissait espérer jusqu’au bout que nous pouvions égaliser et peut-être plus... C’est une demi déception. Je préfère retenir cette deuxième mi temps pour comprendre que nous sommes dans une logique de course, qu’il nous reste encore beaucoup de chemin à faire avant d’obtenir les places d’honneur. Je préfère cette réaction d’orgueil dans la qualité de notre jeu de deuxième mi-temps. Je pense que ça me procure beaucoup de satisfaction.
La sortie de Dehu a déstabilisé ?
Non je ne crois pas. Ce qui nous a déstabilisé c’est que nous avons été en retard sur les duels. Nous n’avons pas été présents sur l’impact physique que nous a imposé l’équipe monégasque. Nous faisons des fautes qui amènent des coups francs, nous ne sommes pas présents ce qui amène ce premier but. Après, bien sûr, la situation est handicapante. Je pense que c’est beaucoup plus notre présence physique dans le match du début de première mi-temps, qui a fait qu’on n’a pas été là. Ensuite lorsqu’on a restauré cet aspect là, on a été plus présent, on a récupéré plus de ballons et on les a mieux exploités. Il y a aussi le regret de ne pas avoir disposé de plus d’attaquants. C’est vrai qu’à l’image de cette mi-temps on a vu que lorsqu’on avait de la profondeur c’était plus facile de jouer. Malheureusement, pour des raisons d’effectif comme on le sait, le déficit d’attaquants a fait qu’on a été obligé de faire un choix. Mon plus grand regret c’est de ne pas être venu ici, à Monaco, avec l’ensemble de l’effectif. Ca nous aurait peut-être permis d’envisager un meilleur sort.
Comment voyez vous l’avenir ?
Ca aurait été trop beau à huit journées de la fin d‘avoir 4 ou 5 points d’avance sur les premiers concurrents, il ne faut pas rêver non plus. Je crois que nous sommes à notre place. On sait que le championnat va être très serré, en tout cas en ce qui concerne les places d’honneur. Nous c’est bien qu’on soit là à 8 journées de la fin. On ne croit pas au père Noël. On est bien placé dans nos objectifs, la route est encore longue, tout peut arriver et à l’image de cette deuxième mi-temps, nous sommes optimistes.
Pas de regrets dans vos choix ?
Si j’avais eu du coaching sur le banc oui, on n’aurait pas hésité. L’équation était là. Si on avait commencé avec deux attaquants, on sait qu’on n’aurait pas pu terminer avec deux attaquants. Le problème se posait à l’envers. On aurait fait une bonne première mi-temps et une mauvaise deuxième mi-temps. C’est vrai que c’était une problématique qu’il fallait soulever. C’est vrai qu’à l’image de la première, on manque de percussion devant. Mais ce n’est pas là-dessus qu’on perd le match. Je pense qu’on manquait d’allant sur l’ensemble des joueurs présents en première mi temps, on manquait d’impact, on n’était pas présent, on était en retard sur tout. C’est ce qui fait qu’on a perdu les duels, c’est ce qui a entraîné les coups francs, qui eux, ont entraîné des situations qui font qu’on a été mené rapidement.
Ce manque d’impact vous gêne ?
Ca nous gêne dans le sens où on a été mené au score ; il ne faut pas oublier non plus la bonne première mi-temps de l’AS Monaco qui a été particulièrement bonne. Elle nous a imposé un rythme, un visage très offensif avec beaucoup de profondeur par la présence d’Adebayor. Il ne faut quand même pas oublier le rôle qu’a joué cet attaquant en première mi-temps dans le jeu direct de Monaco. Il nous a bien sûr fait reculer et leur a permis d’avoir un allant offensif.
En terme comptable oui, en terme d’ambition, non. Ce soir nous sommes 2ème du championnat avec un point d’avance sur le 3ème et deux points sur le 4ème donc nous sommes toujours dans une logique du projet, de l'objectif. Il y a eu un coup d‘arrêt ce soir, ça fait partie du sport. Nous avons raté notre première mi-temps mais nous avons réussi la deuxième. L’équipe de Monaco a été peut-être plus réaliste sur l’ensemble de ce match que nous, alors que nous avions peut être un ensemble d’occasions qui auraient mérité un meilleur sort. Nous sommes déçus par rapport à cette bonne deuxième mi-temps de notre part, qui laissait espérer jusqu’au bout que nous pouvions égaliser et peut-être plus... C’est une demi déception. Je préfère retenir cette deuxième mi temps pour comprendre que nous sommes dans une logique de course, qu’il nous reste encore beaucoup de chemin à faire avant d’obtenir les places d’honneur. Je préfère cette réaction d’orgueil dans la qualité de notre jeu de deuxième mi-temps. Je pense que ça me procure beaucoup de satisfaction.
La sortie de Dehu a déstabilisé ?
Non je ne crois pas. Ce qui nous a déstabilisé c’est que nous avons été en retard sur les duels. Nous n’avons pas été présents sur l’impact physique que nous a imposé l’équipe monégasque. Nous faisons des fautes qui amènent des coups francs, nous ne sommes pas présents ce qui amène ce premier but. Après, bien sûr, la situation est handicapante. Je pense que c’est beaucoup plus notre présence physique dans le match du début de première mi-temps, qui a fait qu’on n’a pas été là. Ensuite lorsqu’on a restauré cet aspect là, on a été plus présent, on a récupéré plus de ballons et on les a mieux exploités. Il y a aussi le regret de ne pas avoir disposé de plus d’attaquants. C’est vrai qu’à l’image de cette mi-temps on a vu que lorsqu’on avait de la profondeur c’était plus facile de jouer. Malheureusement, pour des raisons d’effectif comme on le sait, le déficit d’attaquants a fait qu’on a été obligé de faire un choix. Mon plus grand regret c’est de ne pas être venu ici, à Monaco, avec l’ensemble de l’effectif. Ca nous aurait peut-être permis d’envisager un meilleur sort.
Comment voyez vous l’avenir ?
Ca aurait été trop beau à huit journées de la fin d‘avoir 4 ou 5 points d’avance sur les premiers concurrents, il ne faut pas rêver non plus. Je crois que nous sommes à notre place. On sait que le championnat va être très serré, en tout cas en ce qui concerne les places d’honneur. Nous c’est bien qu’on soit là à 8 journées de la fin. On ne croit pas au père Noël. On est bien placé dans nos objectifs, la route est encore longue, tout peut arriver et à l’image de cette deuxième mi-temps, nous sommes optimistes.
Pas de regrets dans vos choix ?
Si j’avais eu du coaching sur le banc oui, on n’aurait pas hésité. L’équation était là. Si on avait commencé avec deux attaquants, on sait qu’on n’aurait pas pu terminer avec deux attaquants. Le problème se posait à l’envers. On aurait fait une bonne première mi-temps et une mauvaise deuxième mi-temps. C’est vrai que c’était une problématique qu’il fallait soulever. C’est vrai qu’à l’image de la première, on manque de percussion devant. Mais ce n’est pas là-dessus qu’on perd le match. Je pense qu’on manquait d’allant sur l’ensemble des joueurs présents en première mi temps, on manquait d’impact, on n’était pas présent, on était en retard sur tout. C’est ce qui fait qu’on a perdu les duels, c’est ce qui a entraîné les coups francs, qui eux, ont entraîné des situations qui font qu’on a été mené rapidement.
Ce manque d’impact vous gêne ?
Ca nous gêne dans le sens où on a été mené au score ; il ne faut pas oublier non plus la bonne première mi-temps de l’AS Monaco qui a été particulièrement bonne. Elle nous a imposé un rythme, un visage très offensif avec beaucoup de profondeur par la présence d’Adebayor. Il ne faut quand même pas oublier le rôle qu’a joué cet attaquant en première mi-temps dans le jeu direct de Monaco. Il nous a bien sûr fait reculer et leur a permis d’avoir un allant offensif.
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