05-03-2005, 10:38
Dimanche à Saint-Étienne, ça sera un tout autre match que contre Istres. Même si on a eu le ballon plus de temps que notre adversaire, on n’a pas pu les mettre en difficulté. Ça a été deux points de perdus. Pour rester où on est aujourd’hui, il faut impérativement faire un résultat positif là-bas.
Eux font le jeu ?
Oui jouer dans ce contexte pour eux c’est un plus. On sait à quoi s‘attendre. Il n’y aura pas de surprise.
Le froid, la neige joueront ?
C’est vrai qu’il ne fait pas très bon ces dernières semaines là-bas, maintenant si le match doit avoir lieu, on sera sur la même pelouse, ça sera pareil pour les deux équipes. C’est un élément qui compte mais pas un élément déterminant.
Comme les bouger ?
Il faudra résister au pressing qu’ils vont mettre dès l’entame du match. Après pour les bouger, on va voir certains matchs qu’ils ont pu jouer ces derniers temps à domicile. Pour le moment on n’a que des idées vagues.
Vous pourriez jouer à gauche ?
Je ne pense pas non.
Ça veut dire que vous avez une idée de l’équipe que va aligner Troussier ? Vous allez débuter le match ?
On ne sait pas. On avait pour habitude de faire une mise en place avec des probables et ceux qui ne débuteraient pas le match. Ça n’a pas été le cas cette semaine, donc il n’y a aucune idée sur cette question. Il a changé sa manière de faire, je ne sais pas pourquoi. On verra dimanche. Surtout qu’il y a des incertitudes avec Péguy…
Vous avez repris vos marques dans cette équipe ?
J’ai joué à Bastia. Dire que j’ai retrouvé mes marques, c’est un grand mot.
Mais vous avez apporté en entrant contres Istres…
Oui mais c’était si mal engagé que c’était difficile de faire pire. Ça reste une rentrée. On a réussi à accroché un nul qui était le maximum qu’on pouvait avoir sur cette rencontre. On a joué à domicile, contre le dernier, mais, sur le match, on n’a pas vu qu’Istres était dernier, Marseille deuxième. À partir du moment où le deuxième ne s’impose pas contre le prétendu dernier à domicile, il n’y a rien de plus à dire.
Le fait de jouer le dernier est un avantage sur les autres ?
Avant de se soucier des autres, il faut se soucier de nous-même. Si on avait gagné contre Istres, on aurait un peu creusé l’écart. On n’a pas été capable de le faire, donc savoir ce que les autres ont fait avant, dans notre position, ce n’est pas le plus important. L’important, c’est de gagner ces prochains matchs et regarder après ce qui s’est passé. Peut-être qu’avec ce qui va se passer demain on aura plus de pression avant de jouer à Saint-Etienne.
Thiriez dit qu’il étudie la possibilité de ne plus jouer à 21h le dimanche en cette saison ?
Le fait que ce soit le dimanche n’est pas un problème. Les heures tardives c’est vrai que ce n’est pas la meilleure des solutions pour tout le monde. C’est bien qu’il y réfléchisse pour qu’on puisse jouer à des heures plus raisonnables. Jouer à 15h le dimanche après-midi est une solution qui conviendrait à tout le monde. Les conditions climatiques seraient meilleures pour la pratique du jeu et les supporteurs. Ça se fait en Italie. Le président de la Ligue fera ses choix.
Vous sentez une baisse de régime ?
Certains ont rappelé qu’après le match d’Angers, il y a huit semaines, c’était une catastrophe. Aujourd’hui le fait d’être deuxième après tout ce qui s’est passé ces six premiers mois, c’est plus intéressant pour nous. Le fait que ce soit moins bien passé contre Bastia est Istres, je ne l’explique pas trop. On a réussi à gagner des points à l’extérieur. On en a perdu à domicile tout se compense finalement. Il faut qu’on se concentre sur nos matchs pour avoir des matchs de meilleures qualités.
Le fait de gagner à l’extérieur, vous donnes de certitudes avant d’aller à Saint-Etienne ?
Contrairement à ce qu’on peut penser chaque match est différent. Même si on s’appuie sur une grosse solidité défensive, et que de ce côté-là on s’est amélioré. Chaque match est différent. A Saint-Etienne, le scénario peut être autre que ceux qu’on a connus. Il faut rester vigilent et si on est resté sur une série intéressante à l’extérieur, ça peut toujours s’arrêter.
Vous, vous êtes mis au Japonais ?
Non il se met au Français et pour tout dire c’est assez impressionnant, la vitesse à laquelle il parle français. On a pour habitude de dire que les Japonais sont disciplinés, mais pour Koji c’est impressionnant. Dans un mois, il saura parlé normalement. Il connaît les mots techniques et il se fait comprendre en allant vers les gens. C’est hallucinant la vitesse à laquelle il veut s’intégrer. Il va sûrement jouer ce week-end, j’espère que ça se passera bien pour lui.
Quel est son point fort ?
On ne sait pas… le coach le connaît, nous on le voit à l’entraînement, il fait son boulot, mais en compétition c’est autre chose.
Eux font le jeu ?
Oui jouer dans ce contexte pour eux c’est un plus. On sait à quoi s‘attendre. Il n’y aura pas de surprise.
Le froid, la neige joueront ?
C’est vrai qu’il ne fait pas très bon ces dernières semaines là-bas, maintenant si le match doit avoir lieu, on sera sur la même pelouse, ça sera pareil pour les deux équipes. C’est un élément qui compte mais pas un élément déterminant.
Comme les bouger ?
Il faudra résister au pressing qu’ils vont mettre dès l’entame du match. Après pour les bouger, on va voir certains matchs qu’ils ont pu jouer ces derniers temps à domicile. Pour le moment on n’a que des idées vagues.
Vous pourriez jouer à gauche ?
Je ne pense pas non.
Ça veut dire que vous avez une idée de l’équipe que va aligner Troussier ? Vous allez débuter le match ?
On ne sait pas. On avait pour habitude de faire une mise en place avec des probables et ceux qui ne débuteraient pas le match. Ça n’a pas été le cas cette semaine, donc il n’y a aucune idée sur cette question. Il a changé sa manière de faire, je ne sais pas pourquoi. On verra dimanche. Surtout qu’il y a des incertitudes avec Péguy…
Vous avez repris vos marques dans cette équipe ?
J’ai joué à Bastia. Dire que j’ai retrouvé mes marques, c’est un grand mot.
Mais vous avez apporté en entrant contres Istres…
Oui mais c’était si mal engagé que c’était difficile de faire pire. Ça reste une rentrée. On a réussi à accroché un nul qui était le maximum qu’on pouvait avoir sur cette rencontre. On a joué à domicile, contre le dernier, mais, sur le match, on n’a pas vu qu’Istres était dernier, Marseille deuxième. À partir du moment où le deuxième ne s’impose pas contre le prétendu dernier à domicile, il n’y a rien de plus à dire.
Le fait de jouer le dernier est un avantage sur les autres ?
Avant de se soucier des autres, il faut se soucier de nous-même. Si on avait gagné contre Istres, on aurait un peu creusé l’écart. On n’a pas été capable de le faire, donc savoir ce que les autres ont fait avant, dans notre position, ce n’est pas le plus important. L’important, c’est de gagner ces prochains matchs et regarder après ce qui s’est passé. Peut-être qu’avec ce qui va se passer demain on aura plus de pression avant de jouer à Saint-Etienne.
Thiriez dit qu’il étudie la possibilité de ne plus jouer à 21h le dimanche en cette saison ?
Le fait que ce soit le dimanche n’est pas un problème. Les heures tardives c’est vrai que ce n’est pas la meilleure des solutions pour tout le monde. C’est bien qu’il y réfléchisse pour qu’on puisse jouer à des heures plus raisonnables. Jouer à 15h le dimanche après-midi est une solution qui conviendrait à tout le monde. Les conditions climatiques seraient meilleures pour la pratique du jeu et les supporteurs. Ça se fait en Italie. Le président de la Ligue fera ses choix.
Vous sentez une baisse de régime ?
Certains ont rappelé qu’après le match d’Angers, il y a huit semaines, c’était une catastrophe. Aujourd’hui le fait d’être deuxième après tout ce qui s’est passé ces six premiers mois, c’est plus intéressant pour nous. Le fait que ce soit moins bien passé contre Bastia est Istres, je ne l’explique pas trop. On a réussi à gagner des points à l’extérieur. On en a perdu à domicile tout se compense finalement. Il faut qu’on se concentre sur nos matchs pour avoir des matchs de meilleures qualités.
Le fait de gagner à l’extérieur, vous donnes de certitudes avant d’aller à Saint-Etienne ?
Contrairement à ce qu’on peut penser chaque match est différent. Même si on s’appuie sur une grosse solidité défensive, et que de ce côté-là on s’est amélioré. Chaque match est différent. A Saint-Etienne, le scénario peut être autre que ceux qu’on a connus. Il faut rester vigilent et si on est resté sur une série intéressante à l’extérieur, ça peut toujours s’arrêter.
Vous, vous êtes mis au Japonais ?
Non il se met au Français et pour tout dire c’est assez impressionnant, la vitesse à laquelle il parle français. On a pour habitude de dire que les Japonais sont disciplinés, mais pour Koji c’est impressionnant. Dans un mois, il saura parlé normalement. Il connaît les mots techniques et il se fait comprendre en allant vers les gens. C’est hallucinant la vitesse à laquelle il veut s’intégrer. Il va sûrement jouer ce week-end, j’espère que ça se passera bien pour lui.
Quel est son point fort ?
On ne sait pas… le coach le connaît, nous on le voit à l’entraînement, il fait son boulot, mais en compétition c’est autre chose.
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