05-02-2005, 15:50
Il était une fois un bon nabab qui avait beaucoup mais alors vraiment un max de brouzouf. Du reste, dès qu’il avait pointé sa fiole hors de sa génitrice, les fées du pognon s’étaient penchées sur son berceau en marbre véritable et l’avaient aspergé de millions de biftons verts. Faut dire, ses ancêtres avaient fait fortune dans la graine jusqu’à devenir number one de la céréale au niveau mondial…
Le blé, ça le bottait pas des masses, mon Robert…à part pour le flamber en nocturne. Le maïs et le soja, il laissait ça au reste de la Louis-Dreyfus family. L’avoine, l’orge ou le sarrazin, ça avait jamais été son truc en plume ( pourtant cher à Zizi). Lui, sa p’tite folie, son p’tit grain de fantaisie (comme s’égosillait jadis Line), c’était plutôt le poker. Des nuits entières à taper le carton dans les environs de Paname tandis que ses études le poursuivaient désespérément. Casino royal…
Bon après, aux States, il avait quand même réussi à faire Harvard. Il avait coupé les ponts avec l’empire du grain mais il avait décroché à la fois la timbale et la queue du mickey dans le médical. Cousu de métal jaune, il avait mis les adjas et carrément pris sa retraite à quarante deux balais. A croire qu’il devait s'ennuyer gras biscotte il avait replongé dans les affaires peu après, tâté de la pub british et investi dans la pompe aux trois bandes en reprenant l’affaire à Nanar.
Au jour de maintenant, il surfe sur les vagues de la communication tous azimuts. Quand, dans un coin de l’hexagone, un gus décroche son bigophone ou qu’une frangine tâte de l’ADSL, y’a plus d’une chance sur cinq que ça tombe dans ses fouilles à sézigue. Il possède même les droits tévé de la World Cup 2006. Y’a pas une entreprise qui lui résiste au cigare hero. Tout ce qu’il touche, il le transforme fissa en sonnantes trébuchantes. C’est caïman un alchimiste version troisième millénaire…
Manque de fion, il existe toujours une exception qui confirme la règle. Ça y’en être un vieil adage. Manque de derche, c’est sur notre OM que ça tombe. Là, dans l’investissement, on va pas causer de Bérézina mais on va y penser fortissimo. On va pas évoquer le fiasco mais on va phosphorer à la chose. A la tête de l’aréopage, il en a usé du monde. Pour pas avoir voulu (ou pu) être en première ligne, on peut dire qu’il a délégué dans le varié. Voire dans l’avarié…
Au petit jeu des professions requises pour occuper le poste suprême (de volaille) en lieu et place du susnommé, on peut dire que le boss aura ratissé large depuis son arrivée, du chef d'entreprise à l'expert-comptable, de l'avocaillon général jusqu'à l'ex-ministre de la Ville, j'en passe et des meilleurs. Maintenant, il fait dans l’agent qui ne fait pas (forcément) le bonheur de tout un chacun. La prochaine fois, il lui reste à essayer instit ou charcutier traiteur…
A y réfléchir, tout porte à croire qu’il s’est offert une danseuse, le Bob. Une nana pétillante aux rondeurs aguicheuses mais qu’est décidément pas facile à gouverner. Faut pas lui dire tu à la miss. Sans ça, elle se met illico à brailler et pas simplement aux corneilles. Dans les travées du Vel aussi. Prendre racine sur le vieux port, c’est pas donné à tout le monde et surtout pas à un gars qui pointe trop souvent aux abonnés absents. On peut tout juste lui refiler le Molière de la meilleure mise en scène…
Comme scribouillait récemment un plumitif du Monde à propos du quidam dont auquel on parle, la seule chose qu'on puisse prévoir est que quand il nomme quelqu'un, il prépare en même temps un coup contre lui, ça veut tout dire. Avec l’OM, il a son jeu grandeur nature et il brasse les hommes comme les cartes au poker. Il assemble Roussier-Courbis telle une paire improbable, réunit Tapie-Dubiton à l’aube d’une quinte flop. Il aime à assembler des brêles en guise de brelan d’as. Son carré de rois ressemble plutôt à un pré carré. Dernière pioche, voilà désormais qu’on a droit à un ancien cogneur, un Pape et une brosse à lustrer. Elle est pas belle, la vie ?
Le blé, ça le bottait pas des masses, mon Robert…à part pour le flamber en nocturne. Le maïs et le soja, il laissait ça au reste de la Louis-Dreyfus family. L’avoine, l’orge ou le sarrazin, ça avait jamais été son truc en plume ( pourtant cher à Zizi). Lui, sa p’tite folie, son p’tit grain de fantaisie (comme s’égosillait jadis Line), c’était plutôt le poker. Des nuits entières à taper le carton dans les environs de Paname tandis que ses études le poursuivaient désespérément. Casino royal…
Bon après, aux States, il avait quand même réussi à faire Harvard. Il avait coupé les ponts avec l’empire du grain mais il avait décroché à la fois la timbale et la queue du mickey dans le médical. Cousu de métal jaune, il avait mis les adjas et carrément pris sa retraite à quarante deux balais. A croire qu’il devait s'ennuyer gras biscotte il avait replongé dans les affaires peu après, tâté de la pub british et investi dans la pompe aux trois bandes en reprenant l’affaire à Nanar.
Au jour de maintenant, il surfe sur les vagues de la communication tous azimuts. Quand, dans un coin de l’hexagone, un gus décroche son bigophone ou qu’une frangine tâte de l’ADSL, y’a plus d’une chance sur cinq que ça tombe dans ses fouilles à sézigue. Il possède même les droits tévé de la World Cup 2006. Y’a pas une entreprise qui lui résiste au cigare hero. Tout ce qu’il touche, il le transforme fissa en sonnantes trébuchantes. C’est caïman un alchimiste version troisième millénaire…
Manque de fion, il existe toujours une exception qui confirme la règle. Ça y’en être un vieil adage. Manque de derche, c’est sur notre OM que ça tombe. Là, dans l’investissement, on va pas causer de Bérézina mais on va y penser fortissimo. On va pas évoquer le fiasco mais on va phosphorer à la chose. A la tête de l’aréopage, il en a usé du monde. Pour pas avoir voulu (ou pu) être en première ligne, on peut dire qu’il a délégué dans le varié. Voire dans l’avarié…
Au petit jeu des professions requises pour occuper le poste suprême (de volaille) en lieu et place du susnommé, on peut dire que le boss aura ratissé large depuis son arrivée, du chef d'entreprise à l'expert-comptable, de l'avocaillon général jusqu'à l'ex-ministre de la Ville, j'en passe et des meilleurs. Maintenant, il fait dans l’agent qui ne fait pas (forcément) le bonheur de tout un chacun. La prochaine fois, il lui reste à essayer instit ou charcutier traiteur…
A y réfléchir, tout porte à croire qu’il s’est offert une danseuse, le Bob. Une nana pétillante aux rondeurs aguicheuses mais qu’est décidément pas facile à gouverner. Faut pas lui dire tu à la miss. Sans ça, elle se met illico à brailler et pas simplement aux corneilles. Dans les travées du Vel aussi. Prendre racine sur le vieux port, c’est pas donné à tout le monde et surtout pas à un gars qui pointe trop souvent aux abonnés absents. On peut tout juste lui refiler le Molière de la meilleure mise en scène…
Comme scribouillait récemment un plumitif du Monde à propos du quidam dont auquel on parle, la seule chose qu'on puisse prévoir est que quand il nomme quelqu'un, il prépare en même temps un coup contre lui, ça veut tout dire. Avec l’OM, il a son jeu grandeur nature et il brasse les hommes comme les cartes au poker. Il assemble Roussier-Courbis telle une paire improbable, réunit Tapie-Dubiton à l’aube d’une quinte flop. Il aime à assembler des brêles en guise de brelan d’as. Son carré de rois ressemble plutôt à un pré carré. Dernière pioche, voilà désormais qu’on a droit à un ancien cogneur, un Pape et une brosse à lustrer. Elle est pas belle, la vie ?