04-02-2005, 06:19
Bruno c'est un match important contre Rennes parce que le public attend une victoire de votre part à domicile ?
C'est clair ! De toute façon après une victoire à l'extérieur, pour qu'elle soit vraiment effective, il faut toujours la faire fructifier à domicile par trois points. C'est ce qu'on va essayer de faire.
Comment expliquez-vous cette différence entre vos prestations à domicile et à l'extérieur ?
Elles s'expliquent par des scénarios de matchs qui sont complètement différents. Je crois que les équipes qui viennent au vélodrome ont un plan de jeu, c'est d'essayer de défendre. Plus elles tiennent et plus elles savent que ça va être difficile pour nous, que les événements ne vont pas forcément s'enchaîner pour nous. Les équipes qui sont venues étaient bien organisées, notamment Sochaux qui a très bien joué le coup. Maintenant quand on arrive à marquer rapidement, comme contre Nice, après il y a plus vraiment de match.
Pedretti a été agacé tout à l'heure pense qu'on a parlé de syndrome du vélodrome. Vous aussi ?
C'est un constat que vous faites. On a perdu au vélodrome on ne peut pas faire grand-chose d'autre contre çà. Maintenant on travaille pour essayer d'y remédier, essayer d'être meilleur à domicile, dans la circulation du ballon, de se procurer beaucoup plus d'occasion que sur ces derniers matchs parce que je crois que c'est surtout ça qui a été problématique. On ne s'était pas vraiment créé beaucoup d'occasion et dans ces cas là, c'est difficile de marquer des buts.
Vous avez du mal à jouer à domicile ?
Franchement c'est difficile à dire. Je pense que contre Sochaux nous avons fait une bonne première mi-temps malgré tout mais après, lorsqu'on arrive pas à marquer assez rapidement, l'équipe adverse prend de plus en plus confiance, reste tout le temps derrière et balance un ou deux ballons. Nous, comme on essaye de créer des décalages, on se désorganisait peut-être un petit peu et il y a peut-être quelques brèches dans notre défense. Mais on est obligé d'attaquer, on est chez nous, il faut qu'on gagne. Alors malheureusement on est bien obligé de se désorganiser un petit peu pour essayer de créer des décalages.
Parfois le nul est bon à prendre ?
Encore une fois on ne va pas se passer la balle derrière et attendre que le temps tourne pour finir 0 à 0. Je pense que le public serait encore plus mécontent que si on perdait en essayant d'attaquer. Nous on va toujours essayer d'aller vers l'avant, de presser très haut, de récupérer le ballon très haut et dans ces cas là on aura peut-être plus de chance d'avoir des occasions de but et de marquer un but.
Vous personnellement à gauche vous êtes plus à l'aise ?
Encore une fois la vérité du match de Toulouse ne sera peut-être pas celle de demain. Je n'aime pas trop parler de moi. Si vous voulez qu'on parle du match de Rennes dans sa globalité d'accord. Moi je ne vais pas vous dire que je me sens bien parce que si après je suis mauvais contre Rennes, j’aurai l’air d’un con. Je préfère donc me concentrer personnellement sur mon match, si je joue plus parler plutôt au nom du collectif.
Le 4, 4, 2 de Toulouse peut vous relancer ?
Si on avait perdu contre Toulouse on aurait dit il faut passer aux 3, 5,2, Bruno Cheyrou ira finir la saison en CFA et voilà. C'est toujours un petit peu délicat. Je crois que c'est ce qui s'était passé contre Angers, ça avait été ma dernière chance, je n'avais pas été bon, on avait perdu. Voilà s'était réglé. Le foot ça va très vite dans un sens comme dans un autre. Je crois qu'il faut rester très mesuré. On a fait un bon match contre Toulouse, on est tous conscient que le fait d'avoir fait un bon match à Toulouse ne nous fera pas gagner plus facilement contre Rennes. Il faudra faire peut-être encore plus d'efforts pour être encore meilleurs. Le foot c'est un éternel recommencement. Il faut toujours se remettre en question d'un point de vue individuel mais également collectif. On a gagné contre Toulouse, on a été bons, mais malheureusement nous n'avons aucune certitude quant au match de Rennes.
Là vous prenez de la responsabilité parce que vous dites que lorsque Cheyrou est bon l’OM gagne, lorsque Cheyrou est mauvais l'OM perd ?
Je crois que ça été le problème de notre équipe depuis le début de saison. Ce n'était pas un problème collectif. Au départ c'était un problème individuel. Les individualités qui étaient à l’OM n'étaient pas forcément à leur meilleur niveau. Là, il se trouve que contre Toulouse il y a eu un super Péguy, Benoît a été très bon, Costa a été très bon, moi je n'ai pas trop été mauvais. Individuellement si on arrive tous à être à notre niveau, forcément qu’on battra Toulouse et qu'on battra d'autres équipes.
Le coach dit qu'il vous faut du temps de jeu et dit surtout que vous devait faire attention pour ne pas prendre du poids etc… ?
(Sourire) Il est très marrant ce coach ! Franchement je crois qu'il aime bien titiller un petit peu comme ça, faire réagir. Il a raison hein sur le fond, maintenant sur la forme je crois que je suis professionnel, je sais ce que j'ai à faire. Je sais ce que je dois manger, ne pas manger. Je sais si je dois grossir, faire de la musculation, ce sont des détails qui sont entre lui et moi.
Il porte également une grande attention aux déclarations des joueurs !
Alors je crois que je ne vais plus parler. Mais c'est aussi très relatifs. Vous connaissez un joueur qui va vous dire je n'ai pas envie de jouer et j'aimerais qu'on perde demain ? A moi le coach me dit : je veux te voir avec une tête méchante. Mais pourquoi faire ? J'ai été gentil à Toulouse nous avons gagné.
Toi tu préfères le 4,4,2 ?
Disons très honnêtement avec le 4,4, 2 Ça faits 2 postes de milieu offensifs donc j'ai une chance de plus de jouer. C'est aussi simple que ça. Maintenant si on revient au 3,5,2 que nous sommes champions comme ça, je dirais bravo et je ferai en sorte d'être dans l'équipe quand même.
Si on vous avait contacté pour jouer en 4,4, 2. Vous seriez venus à l’OM ?
Lorsque José m'a appelé la première fois, il y avait encore Didier Drogba au club et il m'a annoncé que je jouerais derrière lui, légèrement sur sa gauche.
Tu le cherches ?
(Sourires) Non ce n'est pas que je le cherche mais pour répondre aux questions, pour moi il n'y a jamais eu de problème par rapport au 3,5,2,. Moi au départ jouer derrière Didier Drogba ou légèrement à sa gauche, le deal était clair. Encore une fois lorsqu'un coach veut vous faire confiance, il trouve toujours une place pour vous dans l'équipe. Après c'est à vous à lui rendre la confiance qu'il vous donne.
Le poste que vous occupez aujourd'hui vous convient ?
Contre Toulouse avec Salomon nous avons prouvé une certaine complicité. Lui préfère certainement avoir quelqu'un devant pour s'appuyer, moi je préfère avoir un défenseur latéral qui puisse me dédoubler, apporter également des solutions sur le plan offensif. Il vient très vite, il donne des solutions, ça ne s'est pas trop mal passé contre Toulouse. Ça sera sur la longueur qu'on pourra dire qu'on est bien complémentaire, que ça marche bien.
Comment trouver la faille contre Rennes ?
Je crois que si on arrive à jouer très haut, déjà ils auront du mal à ressortir le ballon. Nous on aura moins de courses à faire, on sera plus proche de leur but. Il faudra aller percuter sans cesse pour qu'au bout d'un moment ils fassent peut-être des fautes. On a vu que sur les derniers matchs on a réussi à débloquer des situations sur des coups de pied arrêtés. Sur la chance de vite marquer, encore une fois le scénario du match sera complètement différent. Ils seront obligés de sortir nous on aura d'autres situations en contre comme contre Toulouse. On a vu qu'on a réussi à bien les gêner.
À domicile vous savez ce qui vous attend mais vous n'arrivez pas à trouver la clef ?
On n’arrive certainement pas avoir suffisamment de fluidité dans le jeu, de main mise sur le match, de presser suffisamment haut. On n’arrive pas à avoir assez d'occasions de but. Contre Sochaux malheureusement nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions de but. Les occasions de but d'une part, ça donne confiance, l'équipe adverse finit par se recroqueviller de plus en plus, faire des fautes etc... contre Sochaux on ne les a pas suffisamment poussés à la faute comme contre Auxerre. Ça c'est un travail de tous les jours, le coach essayait de nous mettre en place des automatismes, des circuits préférentiels pour que ça vienne plus facilement.
Vous avez une bonne frappe pourquoi ne prenez-vous pas plus souvent d'autre chance comme l'a fait Batlles ?
(Sourire) lui n'a pas une frappe de mule, il a été très chanceux. Si une occasion se présente, j'essayerai de ne pas me gêner du pied gauche notamment.
En Angleterre aucune équipe ne joue défensivement comme les équipes qui viennent au vélodrome ?
C'est tout à fait vrai. En Angleterre les équipes sont mieux aux points tactiquement. Il y a de moins en moins de différence entre les équipes. En Angleterre ce n’est pas une culture de venir défendre.
A Toulouse vous étiez sereins même après l’égalisation ?
Oui mais on avait des occasions. C’est vrai que nous avons senti une sérénité, une tranquillité même lorsqu’ils ont égalisés on ne s’est pas affolé, on a continué à jouer. On a marqué avant la mi-temps ce qui nous a forcément été profitable. Après l’expulsion de leur joueur était méritée parce qu’on les a poussés à la faute. Ils étaient en retard.
Angers vous a réveillé ?
C’est difficile de dire ça parce que ça voudrait dire qu’on attendait une défaite pour réagir. Je ne sais pas. Mais c’est vrai que depuis on enchaîne de bonnes perfs, on prend des points. On peut parler d’une prise de conscience individuelle qu’on a mis au service du collectif.
C'est clair ! De toute façon après une victoire à l'extérieur, pour qu'elle soit vraiment effective, il faut toujours la faire fructifier à domicile par trois points. C'est ce qu'on va essayer de faire.
Comment expliquez-vous cette différence entre vos prestations à domicile et à l'extérieur ?
Elles s'expliquent par des scénarios de matchs qui sont complètement différents. Je crois que les équipes qui viennent au vélodrome ont un plan de jeu, c'est d'essayer de défendre. Plus elles tiennent et plus elles savent que ça va être difficile pour nous, que les événements ne vont pas forcément s'enchaîner pour nous. Les équipes qui sont venues étaient bien organisées, notamment Sochaux qui a très bien joué le coup. Maintenant quand on arrive à marquer rapidement, comme contre Nice, après il y a plus vraiment de match.
Pedretti a été agacé tout à l'heure pense qu'on a parlé de syndrome du vélodrome. Vous aussi ?
C'est un constat que vous faites. On a perdu au vélodrome on ne peut pas faire grand-chose d'autre contre çà. Maintenant on travaille pour essayer d'y remédier, essayer d'être meilleur à domicile, dans la circulation du ballon, de se procurer beaucoup plus d'occasion que sur ces derniers matchs parce que je crois que c'est surtout ça qui a été problématique. On ne s'était pas vraiment créé beaucoup d'occasion et dans ces cas là, c'est difficile de marquer des buts.
Vous avez du mal à jouer à domicile ?
Franchement c'est difficile à dire. Je pense que contre Sochaux nous avons fait une bonne première mi-temps malgré tout mais après, lorsqu'on arrive pas à marquer assez rapidement, l'équipe adverse prend de plus en plus confiance, reste tout le temps derrière et balance un ou deux ballons. Nous, comme on essaye de créer des décalages, on se désorganisait peut-être un petit peu et il y a peut-être quelques brèches dans notre défense. Mais on est obligé d'attaquer, on est chez nous, il faut qu'on gagne. Alors malheureusement on est bien obligé de se désorganiser un petit peu pour essayer de créer des décalages.
Parfois le nul est bon à prendre ?
Encore une fois on ne va pas se passer la balle derrière et attendre que le temps tourne pour finir 0 à 0. Je pense que le public serait encore plus mécontent que si on perdait en essayant d'attaquer. Nous on va toujours essayer d'aller vers l'avant, de presser très haut, de récupérer le ballon très haut et dans ces cas là on aura peut-être plus de chance d'avoir des occasions de but et de marquer un but.
Vous personnellement à gauche vous êtes plus à l'aise ?
Encore une fois la vérité du match de Toulouse ne sera peut-être pas celle de demain. Je n'aime pas trop parler de moi. Si vous voulez qu'on parle du match de Rennes dans sa globalité d'accord. Moi je ne vais pas vous dire que je me sens bien parce que si après je suis mauvais contre Rennes, j’aurai l’air d’un con. Je préfère donc me concentrer personnellement sur mon match, si je joue plus parler plutôt au nom du collectif.
Le 4, 4, 2 de Toulouse peut vous relancer ?
Si on avait perdu contre Toulouse on aurait dit il faut passer aux 3, 5,2, Bruno Cheyrou ira finir la saison en CFA et voilà. C'est toujours un petit peu délicat. Je crois que c'est ce qui s'était passé contre Angers, ça avait été ma dernière chance, je n'avais pas été bon, on avait perdu. Voilà s'était réglé. Le foot ça va très vite dans un sens comme dans un autre. Je crois qu'il faut rester très mesuré. On a fait un bon match contre Toulouse, on est tous conscient que le fait d'avoir fait un bon match à Toulouse ne nous fera pas gagner plus facilement contre Rennes. Il faudra faire peut-être encore plus d'efforts pour être encore meilleurs. Le foot c'est un éternel recommencement. Il faut toujours se remettre en question d'un point de vue individuel mais également collectif. On a gagné contre Toulouse, on a été bons, mais malheureusement nous n'avons aucune certitude quant au match de Rennes.
Là vous prenez de la responsabilité parce que vous dites que lorsque Cheyrou est bon l’OM gagne, lorsque Cheyrou est mauvais l'OM perd ?
Je crois que ça été le problème de notre équipe depuis le début de saison. Ce n'était pas un problème collectif. Au départ c'était un problème individuel. Les individualités qui étaient à l’OM n'étaient pas forcément à leur meilleur niveau. Là, il se trouve que contre Toulouse il y a eu un super Péguy, Benoît a été très bon, Costa a été très bon, moi je n'ai pas trop été mauvais. Individuellement si on arrive tous à être à notre niveau, forcément qu’on battra Toulouse et qu'on battra d'autres équipes.
Le coach dit qu'il vous faut du temps de jeu et dit surtout que vous devait faire attention pour ne pas prendre du poids etc… ?
(Sourire) Il est très marrant ce coach ! Franchement je crois qu'il aime bien titiller un petit peu comme ça, faire réagir. Il a raison hein sur le fond, maintenant sur la forme je crois que je suis professionnel, je sais ce que j'ai à faire. Je sais ce que je dois manger, ne pas manger. Je sais si je dois grossir, faire de la musculation, ce sont des détails qui sont entre lui et moi.
Il porte également une grande attention aux déclarations des joueurs !
Alors je crois que je ne vais plus parler. Mais c'est aussi très relatifs. Vous connaissez un joueur qui va vous dire je n'ai pas envie de jouer et j'aimerais qu'on perde demain ? A moi le coach me dit : je veux te voir avec une tête méchante. Mais pourquoi faire ? J'ai été gentil à Toulouse nous avons gagné.
Toi tu préfères le 4,4,2 ?
Disons très honnêtement avec le 4,4, 2 Ça faits 2 postes de milieu offensifs donc j'ai une chance de plus de jouer. C'est aussi simple que ça. Maintenant si on revient au 3,5,2 que nous sommes champions comme ça, je dirais bravo et je ferai en sorte d'être dans l'équipe quand même.
Si on vous avait contacté pour jouer en 4,4, 2. Vous seriez venus à l’OM ?
Lorsque José m'a appelé la première fois, il y avait encore Didier Drogba au club et il m'a annoncé que je jouerais derrière lui, légèrement sur sa gauche.
Tu le cherches ?
(Sourires) Non ce n'est pas que je le cherche mais pour répondre aux questions, pour moi il n'y a jamais eu de problème par rapport au 3,5,2,. Moi au départ jouer derrière Didier Drogba ou légèrement à sa gauche, le deal était clair. Encore une fois lorsqu'un coach veut vous faire confiance, il trouve toujours une place pour vous dans l'équipe. Après c'est à vous à lui rendre la confiance qu'il vous donne.
Le poste que vous occupez aujourd'hui vous convient ?
Contre Toulouse avec Salomon nous avons prouvé une certaine complicité. Lui préfère certainement avoir quelqu'un devant pour s'appuyer, moi je préfère avoir un défenseur latéral qui puisse me dédoubler, apporter également des solutions sur le plan offensif. Il vient très vite, il donne des solutions, ça ne s'est pas trop mal passé contre Toulouse. Ça sera sur la longueur qu'on pourra dire qu'on est bien complémentaire, que ça marche bien.
Comment trouver la faille contre Rennes ?
Je crois que si on arrive à jouer très haut, déjà ils auront du mal à ressortir le ballon. Nous on aura moins de courses à faire, on sera plus proche de leur but. Il faudra aller percuter sans cesse pour qu'au bout d'un moment ils fassent peut-être des fautes. On a vu que sur les derniers matchs on a réussi à débloquer des situations sur des coups de pied arrêtés. Sur la chance de vite marquer, encore une fois le scénario du match sera complètement différent. Ils seront obligés de sortir nous on aura d'autres situations en contre comme contre Toulouse. On a vu qu'on a réussi à bien les gêner.
À domicile vous savez ce qui vous attend mais vous n'arrivez pas à trouver la clef ?
On n’arrive certainement pas avoir suffisamment de fluidité dans le jeu, de main mise sur le match, de presser suffisamment haut. On n’arrive pas à avoir assez d'occasions de but. Contre Sochaux malheureusement nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions de but. Les occasions de but d'une part, ça donne confiance, l'équipe adverse finit par se recroqueviller de plus en plus, faire des fautes etc... contre Sochaux on ne les a pas suffisamment poussés à la faute comme contre Auxerre. Ça c'est un travail de tous les jours, le coach essayait de nous mettre en place des automatismes, des circuits préférentiels pour que ça vienne plus facilement.
Vous avez une bonne frappe pourquoi ne prenez-vous pas plus souvent d'autre chance comme l'a fait Batlles ?
(Sourire) lui n'a pas une frappe de mule, il a été très chanceux. Si une occasion se présente, j'essayerai de ne pas me gêner du pied gauche notamment.
En Angleterre aucune équipe ne joue défensivement comme les équipes qui viennent au vélodrome ?
C'est tout à fait vrai. En Angleterre les équipes sont mieux aux points tactiquement. Il y a de moins en moins de différence entre les équipes. En Angleterre ce n’est pas une culture de venir défendre.
A Toulouse vous étiez sereins même après l’égalisation ?
Oui mais on avait des occasions. C’est vrai que nous avons senti une sérénité, une tranquillité même lorsqu’ils ont égalisés on ne s’est pas affolé, on a continué à jouer. On a marqué avant la mi-temps ce qui nous a forcément été profitable. Après l’expulsion de leur joueur était méritée parce qu’on les a poussés à la faute. Ils étaient en retard.
Angers vous a réveillé ?
C’est difficile de dire ça parce que ça voudrait dire qu’on attendait une défaite pour réagir. Je ne sais pas. Mais c’est vrai que depuis on enchaîne de bonnes perfs, on prend des points. On peut parler d’une prise de conscience individuelle qu’on a mis au service du collectif.
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