18-12-2004, 18:40
Dans sa Trousse de toilette pour olympiens en mal de lifting, sûr que le sorcier blanc n’a pas amené que des onguents pour jeunes midinettes en rupture de soirée… Le poil à gratter semble faire partie aussi de sa panoplie chérie. Taper là où ça fait bobo, il a l’air d’affectionner la chose, le filou. A ce niveau-là de la party, ça passe (au forceps) ou ça casse (et pas simplement que trois pattes à un palmipède)…
Faut dire que notre effectif a des états d’âmes. Des tas, dame… A l’occasion, on pourrait les collectionner, ça remplirait la bibliothèque François Miteux. Fallait laisser du temps au temps qu’il avait dit, le mage de Solutré. Le problemo est que l’on va bientôt bouffer les pissenlits par la racine sans avoir vraiment zieuté à nouveau du jeu estampillé olympien. Du serein au pressing, pas du canari bis, du droit au but, pas de la finalité gauche…
Clair, de la secousse, on s’accroche à ce qu’on peut. Une miette de velléité offensive, un ersatz de mouvement, une esquisse de construction. Et de tirer illico des plans sur la comète et de rêver fissa à un El Dorado en shorts et crampons. Ainsi va la vie du suppo, ballotté entre les annales des canards à scandales et les trous du cul visionnaires…
Elle est pas belle, l’avis. Chacun livre son poing de vue, soigne son crochet et ses crachats, vit son chaos façon p’tit Louis. Tels sont les aléas du noble art. L’amer constat que l’on ne boxe plus dans la même catégorie que les mi-lourds de mossieur Jean-Michel, ça passe toujours pas le n½ud de la gorge. Pis, ça titille la glotte en Phocée. On s’accroche aux cordes tel un bernique à son rocher. A défaut d’en avoir, on noie son chagrin dans le punch, coco…
Bon là, en ce mercato d’hiver, on va croiser les doigts pour que notre staff bien-aimé ne réitère point les bourdes du passé. La stabilité n’est pas un vain mot, bordel à queue. Garder l’essentiel de l’aréopage doit être au centre des priorités. Faut pas brader Ben et Lulu sur l’autel du tout-jetable. Par le passif, la société de conso éperdue, le commerce triangulaire tous azimuts, le big deal version la gaffe, ça nous a joué des tours pendables.
Faut pas rêver s’égosillait Juvet, notre megastore dreyfusarde n’a plus les moyens d’attirer de mega-stars. Ou plus la volonté. Faut faire avec les moyens du board. Fiscaliser façon Monte-Carlo, on peut pas y prétendre. Alors, y reste plus qu’à ronger son frein et croire comme un forcené aux vertus curatives de la Trousse en colère. Trêve de maquillage, retour au naturel. Chassez-le, il revient au galop. Après tout, passer un savon à Marseille, ça reste une tradition…
Faut dire que notre effectif a des états d’âmes. Des tas, dame… A l’occasion, on pourrait les collectionner, ça remplirait la bibliothèque François Miteux. Fallait laisser du temps au temps qu’il avait dit, le mage de Solutré. Le problemo est que l’on va bientôt bouffer les pissenlits par la racine sans avoir vraiment zieuté à nouveau du jeu estampillé olympien. Du serein au pressing, pas du canari bis, du droit au but, pas de la finalité gauche…
Clair, de la secousse, on s’accroche à ce qu’on peut. Une miette de velléité offensive, un ersatz de mouvement, une esquisse de construction. Et de tirer illico des plans sur la comète et de rêver fissa à un El Dorado en shorts et crampons. Ainsi va la vie du suppo, ballotté entre les annales des canards à scandales et les trous du cul visionnaires…
Elle est pas belle, l’avis. Chacun livre son poing de vue, soigne son crochet et ses crachats, vit son chaos façon p’tit Louis. Tels sont les aléas du noble art. L’amer constat que l’on ne boxe plus dans la même catégorie que les mi-lourds de mossieur Jean-Michel, ça passe toujours pas le n½ud de la gorge. Pis, ça titille la glotte en Phocée. On s’accroche aux cordes tel un bernique à son rocher. A défaut d’en avoir, on noie son chagrin dans le punch, coco…
Bon là, en ce mercato d’hiver, on va croiser les doigts pour que notre staff bien-aimé ne réitère point les bourdes du passé. La stabilité n’est pas un vain mot, bordel à queue. Garder l’essentiel de l’aréopage doit être au centre des priorités. Faut pas brader Ben et Lulu sur l’autel du tout-jetable. Par le passif, la société de conso éperdue, le commerce triangulaire tous azimuts, le big deal version la gaffe, ça nous a joué des tours pendables.
Faut pas rêver s’égosillait Juvet, notre megastore dreyfusarde n’a plus les moyens d’attirer de mega-stars. Ou plus la volonté. Faut faire avec les moyens du board. Fiscaliser façon Monte-Carlo, on peut pas y prétendre. Alors, y reste plus qu’à ronger son frein et croire comme un forcené aux vertus curatives de la Trousse en colère. Trêve de maquillage, retour au naturel. Chassez-le, il revient au galop. Après tout, passer un savon à Marseille, ça reste une tradition…