11-11-2004, 00:44
Dans l ‘imaginaire du supporter marseillais de ces 15 dernières années, il n’aurait jamais pu se dessiner un scénario aussi cauchemardesque que celui de sept déroutes de rang face au PSG ! Pourtant, à l’orée du bois, ce soir en coupe de la Ligue, c’est bien après cette série de revers inadmissibles que l’Olympique de Marseille retrouve l’ennemi héréditaire au Vélodrome.
Hasard du calendrier (et du tirage au sort ?), la dernière piètre prestation des uns ne remonte qu’à dimanche dernier (Ligue 1) et la satisfaction des autres s’est affichée un peu partout durant 3 jours. Le match a été heurté (une quarantaine de fautes) voire passionné autour de la pelouse (CRS pour les corners tirés par Fiorèse, sécurité ultra renforcée, injures envers certains joueurs, propos homophobes sur certaines banderoles). Enième ombre au tableau, la menace de violences autour des parisiens après le guet-apens orchestré par des pseudos supporters franciliens avant la rencontre de championnat (double vitrage du bus marseillais brisé sur son côté gauche).
Les joueurs du PSG vont ils arriver au Stade Vélodrome sans dommage ce qui, dans le cas contraire, pourrait valoir cher à l’OM ? Les phocéens peuvent ils laver l’affront du week-end dernier grâce à une victoire nette et sans bavure ? Quel visage pour un PSG qui ne cache pas son désintérêt pour la Coupe de la Ligue ? L’OM va-t-il atteindre un meilleur niveau de jeu et vaincre enfin le signe indien ?
Les compositions des deux équipes constituent une première réponse. Elles sont sans surprise par rapport à ce qui était attendu…
OM : 4-4-2 : Barthez – Ferreira, Meïte, Dehu, Lizarazu – Costa, Pedretti, Koke, Batlles – Luyindula, Bamogo
Entraîneur : José la caution Marseillaise
PSG : 4-4-2 : Alonzo – Pichot, Pierre Fanfan, Helder, Badiane – Cissé, Ateba, Boskovic, Mendy, Benachour, – Ljuboja,
Entraîneur : Vahid HALILODZIC
C’est dans un Stade Vélodrome très bien garni (environ 58000 spectateurs) que la rencontre se joue. Le temps est nuageux mais sans pluie et la température est de 10°. La tension est palpable avant le coup d’envoi donné par M. Bré pour ce 16ème de finale de Coupe de la Ligue crucial pour l’avenir au sein du club olympien…
I/ La pression de l’OM paye, mais le PSG réplique !
Les premières minutes sont marquées par un gros pressing marseillais ! Après deux minutes de jeu, un jeu en triangle sur le flanc gauche permet à Lizarazu de se démarquer et de centrer vers Koke qui est devancé au point de pénalty ! La pression phocéenne s’accentue en ce début de rencontre : Costa se frotte à Mendy avec agressivité et obtient un coup franc. Sur ce dernier, Koke remet sur Dehu qui reprend bien, mais au-dessus.
A la 5ème minute, Pedretti et Benachour écopent des premiers cartons jaunes du match après s’être frictionnés. Quelques instants plus tard, après un bon échange avec Luyindula sur le côté gauche de l’attaque, à 20 mètres des buts d’Alonzo, Bamogo tente sa chance mais son tir est bien dévié par le portier de la capitale. 10ème : Benachour frappe de la droite vers la gauche. Sa balle est repoussée du bout des gants par Fabien Barthez.
La 11ème minute est marquée par un carton jaune pour Lizarazu après une deuxième faute consécutive sur Mendy, mais également par une belle action de Ljuboja. Après avoir bien récupéré un ballon mal dégagé par la défense phocéenne, l’attaquant parisien efface deux joueurs avant de shooter. Sa frappe contrée revient dans les pieds de Boskovic dans la surface, mais il ne cadre pas.
Il faut attendre la 23ème minute pour voir un corner de Batlles sur la tête de Dehu qui la place juste à côté du montant droit de Jérôme Alonzo. Deux minutes après, Helder prend lui aussi un carton jaune pour une vilaine faute sur Bamogo. Sur le coup franc à une vingtaine de mètres des buts, Batlles cherche la lucarne gauche d'Alonzo, mais ce dernier lit parfaitement la trajectoire haute du ballon.
Trois minutes passent, un corner de Pedretti de la droite vers la gauche est repris de la tête par Bamogo mais beaucoup trop au dessus de la transversale. Boskovic hérite d’un bon ballon à la 30ème minute, il se joue de deux défenseurs avant de frapper dans le virage nord. Une minute après, c’est Meïté qui est averti pour avoir déséquilibré Ljuboja.
37ème minute : Coup franc bien placé à l’entrée de la surface parisienne, obtenu par Luyindula sur une bonne feinte. Le ballon, légèrement placé sur la droite est posé par Pedretti. Ferreira, à ses côtés, s’élance pour faire mine de shooter en force, mais c’est bel et bien le milieu de l’équipe de France qui loge le cuir dans la lucarne gauche d’Alonzo qui ne peut qu’accompagner la balle au fond de ses filets.
Trois minutes s’écoulent avant qu'un long centre de la gauche vers la droite ne parvienne au niveau des 6 mètres parisiens. Bamogo est retenu par le maillot par Helder et M.Bré n’hésite pas un moment avant de désigner le point de pénalty ! Bamogo se fait justice lui-même en prenant Alonzo à contre-pied (sur la droite du portier francilien).
46ème : sur un coup franc à 30 mètres environ des buts marseillais, Cissé recherche et trouve Ljuboja d’une louche astucieuse. L’attaquant de la capitale parvient à faire un tir croisé repoussé par Barthez avec autorité. Sur le corner, Boskovic profite d’un cafouillage pour fusiller les filets phocéens et réduire l’écart juste avant le repos, puisqu’ aucun marseillais ne peut s’interposer…
II/ L’art de se faire remonter au score puis de se faire battre ou quand le cauchemar continue…
Ateba relance le bal des cartons jaunes à la 48ème minute pour un tacle appuyé sur Koke. A la 55ème, Mendy récupère un ballon au milieu de terrain et ouvre sur Boskovic qui, des 20 mètres, prend sa chance en demi-volée. Son ballon s’élève bien avant de replonger dans la cage de Barthez largement battu ! 2-2.
60ème : Pierre-Fanfan prend un carton jaune pour un tacle en retard sur Luyindula. A la 80ème, sur un coup franc de Pedretti, personne ne dégage le ballon qui est repris de la tête aux 6 m par Bamogo : dans les bras d’Alonzo.
Quelques instants plus tard, un bon échange Lizarazu-Batlles se conclut par un centre du second mais la tête de Marlet est contrée par le gardien du PSG.
91ème : Grossière erreur de Lizarazu qui tente de remettre un ballon en retrait sur Barthez qui ne sort pas à temps. Mendy devance le portier de l’équipe de France et glisse la balle tranquillement dans le but vide.
Analyse
Pas grand chose à reprocher à l’entame de match décidée et agressive de la part de phocéens que l’on sentait revanchards ! Toutefois, au fil des minutes, encore une fois, cet élan s’est brisé ! Que dire sinon qu’il s’est désagrégé après le pénalty victorieux de Bamogo. Vous lisez juste : curieusement, c’est après ce deuxième but synonyme de qualification et d’aisance pour jouer au ballon, que l’OM est retombé dans ses travers et a sombré, une fois de plus, une fois de trop ?
Que dire, sinon que les carences offensives de cette équipe sont désastreuses depuis déjà plusieurs matches et que la frilosité du jeu, son ridicule par moments, font que les défaites sont plus que méritées ! Le Paris Saint Germain était venu défendre ce qu’il avait comme chance ! Sans paniquer, sans désespérer à 0-2, il a contré l’OM tranquillement et il a réussi à repartir du Vélodrome avec une troisième victoire consécutive, grâce à trois contres assassins (l’un d’eux ayant abouti au corner du 1er but).
A vouloir trop pousser, l’OM s’est découvert naïvement alors que les débutants étaient de l’autre côté. A vouloir faire plaisir au public, l’équipe a oublié ses faiblesses et a omis de préserver l’arrière garde de toute mauvaise surprise. On peut légitimement s’inquiéter quant au pauvre niveau technique observé : déchet dans les passes, mauvais tirs, centres complètement manqués, têtes dans les bras d’Alonzo… Le « top » de la soirée restant bien évidemment cette passe en retrait ou plutôt cette passe décisive de Lizarazu à la 91ème minute, pour un Mendy qui n’en demandait pas tant.
Il est incompréhensible qu’à ce niveau de compétition, ces joueurs donnent finalement une si piètre image du professionnalisme. Ceci aurait pu se comprendre sur un ou deux matches, mais vu la répétition de ce spectacle affligeant pour tout supporter, le mal est bien plus profond et les mois qui viennent ne seront certainement pas de tout repos pour l’Olympique de Marseille.
Maintenant, à l’heure des comptes, le Président Bouchet, Pape Diouf, José la caution Marseillaise ainsi que tout le staff et les joueurs, se retrouvent devant leurs responsabilités face aux supporters olympiens, face à la cité phocéenne et face aux médias qui vont raffoler de cette crise dans laquelle s’est fourré le club. Car il s’agit bien là du début de la crise, en espérant que ce n’est pas le début de la fin. A quoi bon avoir des ambitions européennes quand on n’a pas les moyens de bien faire dans les compétitions hexagonales ?
L’OM ne gagnera pas la Coupe de la Ligue 2004, c’est une évidence aujourd’hui. D’ailleurs, depuis quelques semaines, conjuguer « gagner » en mettant l’OM en sujet de verbe devient une bien cruelle chimère. Il serait temps que cela cesse messieurs les marseillais…
Mathildien75
Hasard du calendrier (et du tirage au sort ?), la dernière piètre prestation des uns ne remonte qu’à dimanche dernier (Ligue 1) et la satisfaction des autres s’est affichée un peu partout durant 3 jours. Le match a été heurté (une quarantaine de fautes) voire passionné autour de la pelouse (CRS pour les corners tirés par Fiorèse, sécurité ultra renforcée, injures envers certains joueurs, propos homophobes sur certaines banderoles). Enième ombre au tableau, la menace de violences autour des parisiens après le guet-apens orchestré par des pseudos supporters franciliens avant la rencontre de championnat (double vitrage du bus marseillais brisé sur son côté gauche).
Les joueurs du PSG vont ils arriver au Stade Vélodrome sans dommage ce qui, dans le cas contraire, pourrait valoir cher à l’OM ? Les phocéens peuvent ils laver l’affront du week-end dernier grâce à une victoire nette et sans bavure ? Quel visage pour un PSG qui ne cache pas son désintérêt pour la Coupe de la Ligue ? L’OM va-t-il atteindre un meilleur niveau de jeu et vaincre enfin le signe indien ?
Les compositions des deux équipes constituent une première réponse. Elles sont sans surprise par rapport à ce qui était attendu…
OM : 4-4-2 : Barthez – Ferreira, Meïte, Dehu, Lizarazu – Costa, Pedretti, Koke, Batlles – Luyindula, Bamogo
Entraîneur : José la caution Marseillaise
PSG : 4-4-2 : Alonzo – Pichot, Pierre Fanfan, Helder, Badiane – Cissé, Ateba, Boskovic, Mendy, Benachour, – Ljuboja,
Entraîneur : Vahid HALILODZIC
C’est dans un Stade Vélodrome très bien garni (environ 58000 spectateurs) que la rencontre se joue. Le temps est nuageux mais sans pluie et la température est de 10°. La tension est palpable avant le coup d’envoi donné par M. Bré pour ce 16ème de finale de Coupe de la Ligue crucial pour l’avenir au sein du club olympien…
I/ La pression de l’OM paye, mais le PSG réplique !
Les premières minutes sont marquées par un gros pressing marseillais ! Après deux minutes de jeu, un jeu en triangle sur le flanc gauche permet à Lizarazu de se démarquer et de centrer vers Koke qui est devancé au point de pénalty ! La pression phocéenne s’accentue en ce début de rencontre : Costa se frotte à Mendy avec agressivité et obtient un coup franc. Sur ce dernier, Koke remet sur Dehu qui reprend bien, mais au-dessus.
A la 5ème minute, Pedretti et Benachour écopent des premiers cartons jaunes du match après s’être frictionnés. Quelques instants plus tard, après un bon échange avec Luyindula sur le côté gauche de l’attaque, à 20 mètres des buts d’Alonzo, Bamogo tente sa chance mais son tir est bien dévié par le portier de la capitale. 10ème : Benachour frappe de la droite vers la gauche. Sa balle est repoussée du bout des gants par Fabien Barthez.
La 11ème minute est marquée par un carton jaune pour Lizarazu après une deuxième faute consécutive sur Mendy, mais également par une belle action de Ljuboja. Après avoir bien récupéré un ballon mal dégagé par la défense phocéenne, l’attaquant parisien efface deux joueurs avant de shooter. Sa frappe contrée revient dans les pieds de Boskovic dans la surface, mais il ne cadre pas.
Il faut attendre la 23ème minute pour voir un corner de Batlles sur la tête de Dehu qui la place juste à côté du montant droit de Jérôme Alonzo. Deux minutes après, Helder prend lui aussi un carton jaune pour une vilaine faute sur Bamogo. Sur le coup franc à une vingtaine de mètres des buts, Batlles cherche la lucarne gauche d'Alonzo, mais ce dernier lit parfaitement la trajectoire haute du ballon.
Trois minutes passent, un corner de Pedretti de la droite vers la gauche est repris de la tête par Bamogo mais beaucoup trop au dessus de la transversale. Boskovic hérite d’un bon ballon à la 30ème minute, il se joue de deux défenseurs avant de frapper dans le virage nord. Une minute après, c’est Meïté qui est averti pour avoir déséquilibré Ljuboja.
37ème minute : Coup franc bien placé à l’entrée de la surface parisienne, obtenu par Luyindula sur une bonne feinte. Le ballon, légèrement placé sur la droite est posé par Pedretti. Ferreira, à ses côtés, s’élance pour faire mine de shooter en force, mais c’est bel et bien le milieu de l’équipe de France qui loge le cuir dans la lucarne gauche d’Alonzo qui ne peut qu’accompagner la balle au fond de ses filets.
Trois minutes s’écoulent avant qu'un long centre de la gauche vers la droite ne parvienne au niveau des 6 mètres parisiens. Bamogo est retenu par le maillot par Helder et M.Bré n’hésite pas un moment avant de désigner le point de pénalty ! Bamogo se fait justice lui-même en prenant Alonzo à contre-pied (sur la droite du portier francilien).
46ème : sur un coup franc à 30 mètres environ des buts marseillais, Cissé recherche et trouve Ljuboja d’une louche astucieuse. L’attaquant de la capitale parvient à faire un tir croisé repoussé par Barthez avec autorité. Sur le corner, Boskovic profite d’un cafouillage pour fusiller les filets phocéens et réduire l’écart juste avant le repos, puisqu’ aucun marseillais ne peut s’interposer…
II/ L’art de se faire remonter au score puis de se faire battre ou quand le cauchemar continue…
Ateba relance le bal des cartons jaunes à la 48ème minute pour un tacle appuyé sur Koke. A la 55ème, Mendy récupère un ballon au milieu de terrain et ouvre sur Boskovic qui, des 20 mètres, prend sa chance en demi-volée. Son ballon s’élève bien avant de replonger dans la cage de Barthez largement battu ! 2-2.
60ème : Pierre-Fanfan prend un carton jaune pour un tacle en retard sur Luyindula. A la 80ème, sur un coup franc de Pedretti, personne ne dégage le ballon qui est repris de la tête aux 6 m par Bamogo : dans les bras d’Alonzo.
Quelques instants plus tard, un bon échange Lizarazu-Batlles se conclut par un centre du second mais la tête de Marlet est contrée par le gardien du PSG.
91ème : Grossière erreur de Lizarazu qui tente de remettre un ballon en retrait sur Barthez qui ne sort pas à temps. Mendy devance le portier de l’équipe de France et glisse la balle tranquillement dans le but vide.
Analyse
Pas grand chose à reprocher à l’entame de match décidée et agressive de la part de phocéens que l’on sentait revanchards ! Toutefois, au fil des minutes, encore une fois, cet élan s’est brisé ! Que dire sinon qu’il s’est désagrégé après le pénalty victorieux de Bamogo. Vous lisez juste : curieusement, c’est après ce deuxième but synonyme de qualification et d’aisance pour jouer au ballon, que l’OM est retombé dans ses travers et a sombré, une fois de plus, une fois de trop ?
Que dire, sinon que les carences offensives de cette équipe sont désastreuses depuis déjà plusieurs matches et que la frilosité du jeu, son ridicule par moments, font que les défaites sont plus que méritées ! Le Paris Saint Germain était venu défendre ce qu’il avait comme chance ! Sans paniquer, sans désespérer à 0-2, il a contré l’OM tranquillement et il a réussi à repartir du Vélodrome avec une troisième victoire consécutive, grâce à trois contres assassins (l’un d’eux ayant abouti au corner du 1er but).
A vouloir trop pousser, l’OM s’est découvert naïvement alors que les débutants étaient de l’autre côté. A vouloir faire plaisir au public, l’équipe a oublié ses faiblesses et a omis de préserver l’arrière garde de toute mauvaise surprise. On peut légitimement s’inquiéter quant au pauvre niveau technique observé : déchet dans les passes, mauvais tirs, centres complètement manqués, têtes dans les bras d’Alonzo… Le « top » de la soirée restant bien évidemment cette passe en retrait ou plutôt cette passe décisive de Lizarazu à la 91ème minute, pour un Mendy qui n’en demandait pas tant.
Il est incompréhensible qu’à ce niveau de compétition, ces joueurs donnent finalement une si piètre image du professionnalisme. Ceci aurait pu se comprendre sur un ou deux matches, mais vu la répétition de ce spectacle affligeant pour tout supporter, le mal est bien plus profond et les mois qui viennent ne seront certainement pas de tout repos pour l’Olympique de Marseille.
Maintenant, à l’heure des comptes, le Président Bouchet, Pape Diouf, José la caution Marseillaise ainsi que tout le staff et les joueurs, se retrouvent devant leurs responsabilités face aux supporters olympiens, face à la cité phocéenne et face aux médias qui vont raffoler de cette crise dans laquelle s’est fourré le club. Car il s’agit bien là du début de la crise, en espérant que ce n’est pas le début de la fin. A quoi bon avoir des ambitions européennes quand on n’a pas les moyens de bien faire dans les compétitions hexagonales ?
L’OM ne gagnera pas la Coupe de la Ligue 2004, c’est une évidence aujourd’hui. D’ailleurs, depuis quelques semaines, conjuguer « gagner » en mettant l’OM en sujet de verbe devient une bien cruelle chimère. Il serait temps que cela cesse messieurs les marseillais…
Mathildien75
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor