03-11-2004, 01:42
(Modification du message : 03-11-2004, 01:48 par Georges Profond.)
Les blessés ?
Leyti on aura les résultats dans l’après-midi. On redoute une blessure qui risque de l’éloigner des terrains pendant au moins 6 mois. Liza s’est plein un peu du genou, rien de très grave ou de très méchant il a été ménagé.
Vous avez vu Marlet avec la caution Marseillaise ?
On a préféré différer. Ce n’est pas une affaire d’Etat.
Cheyrou ?
Il est libre de faire les déclarations qu’il a envie de faire. Nous ne sommes pas ici en prison pour interdire aux garçons leurs pensées. Si Cheyrou a envie de dire des choses, il les dit. Il n’y a pas de commentaires particuliers à apporter sur ses déclarations. Ça ne pose aucun problème ni au club ni au staff technique. J’ai lu l’article comme un lecteur, je n’ai rien trouvé d’insultant. Il n’y a pas de problème. Ses déclarations ne remettent pas en cause quelque chose de fondamental dans la vie du groupe. Nous ne sommes pas dans une zone fermée, les joueurs sont libres de dire ce qu’ils ont envie de dire.
Comment gérer les états d’âmes de joueurs qui ne jouent pas ?
Lorsqu’on vient à l’Olympique de Marseille, on sait qu’on va dans une grosse écurie. Il y a entre 20 et 25 joueurs de valeur à peu près égale. Ils le conçoivent en venant qu’il puisse y avoir de la concurrence. Cette concurrence joue en plein aujourd’hui, il revient à l’entraîneur de faire des choix, ce qu’il fait. Forcément il va y avoir des mécontents ponctuellement mais ça c’est la vie d’un club. C’est la vie de l’OM. Où alors il faudra que nous nous limitions à un groupe de 13 joueurs et que nous arrêtions là. Mais je pense qu’il faut être sérieux. Vous pensez qu’à Lyon, il n’y a pas des états d’âmes. Ça fait partie du jeu. Il y a des joueurs qui ne jouent pas et qui ne sont pas contents. Moi ça ne me pose aucun problème. L’entraîneur est suffisamment responsable pour régler ça lui-même.
la caution Marseillaise fait réellement l’équipe ?
Cette question me paraît déplacée par rapport à José lui-même. José a toutes les prérogatives sur le plan technique et tactique. C’est lui qui choisit les hommes, qui organise son équipe selon ses convictions, ses certitudes, il n’y a aucune interférence de ce point de vue-là. Je veux que les choses soient définitivement dites. C’est José le grand responsable de l’aspect technique. Maintenant que lui-même veuille de temps en temps échanger discuter soit avec le Président, soit avec moi-même, soit avec ses assistants, ça aussi ça fait partie de la vie d’un groupe. On le fait très régulièrement. D’ailleurs je salue ici le sens d’ouverture qui le caractérise parce que José aime discuter c’est peut-être même son point d’Achille. C’est justement sa grande ouverture d’esprit qui est la sienne fait que souvent une simple discussion peut être interprétée. Sur ce plan-là, il faut couper le vilain canard qui colporte les idées disant « Oui José a été l’objet d’une pression amicale, d’une pression de telle ou telle part. » Ça n’a jamais existé et ça n’existera pas.
Avant Paris, vous allez vous impliquer plus ?
Je prendrais la même part à la préparation que celle que je prends depuis le début de la saison sur tous les matchs. Pour affronter Paris, c’est vrai qu’en dehors de la réponse qu’il faut apporter au calendrier parce que nous jouons Paris, il y a aussi c’est vrai cet aspect psychologique que ce match-là peut drainer qui ravive les passions, les discussions, ça fait partie aussi de la règle saisonnière. Chaque fois que l’OM joue à Paris ou contre Paris à Marseille, c’est la même chanson. Ça fait parler, ça fait jaser.
Quel est votre sentiment ?
Certainement le même que celui des supporteurs marseillais, c’est-à-dire un grand désir de voir cette série s’arrêter. D’abord c’est ce que nous souhaitons, ce que nous voulons. Il n’y a pas seulement que dix raisons de battre le PSG, il y en a beaucoup plus, ou beaucoup moins mais en tout cas elle sont aussi valables les unes que les autres.
C’est un match où il faut calmer les ardeurs ?
Il y a des matchs, je dirais où il n’y a pas besoin d’en rajouter. Je pense que ce match-là retient suffisamment l’attention, les volontés, les envies pour que nous n’en rajoutions. Aujourd’hui je crois que c’est un match comme les autres, qu’il faut gagner, en tout cas à Paris, obtenir un bon résultat et pour pouvoir continuer de rester collé au groupe de tête. Ensuite le groupe lui-même est suffisamment conscient de l’enjeu. Si on avait joué à Metz ou ailleurs, j’aurais dit au niveau comptable ou au niveau des objectifs fixés, c’est un match qu’il ne faut pas perdre. Aujourd’hui plus que jamais puisqu’il y a cet aspect psychologique qui me paraît important.
Important aussi à cause des tentions avec les supporteurs ?
J’ai dit que de ce point de vue là j’avais le sentiment du supporteur de base. C’est-à-dire qu’après 6 défaites contre le grand rival Parisien il serait bien que nous changions la donne, que l’OM ne perde plus, même que l’OM gagne ce match-là. Mais supporteurs ou pas supporteurs, je crois que les joueurs sont conscients que ce match est d’une importance très grande pour le club et pour les ambitions du club.
Leyti on aura les résultats dans l’après-midi. On redoute une blessure qui risque de l’éloigner des terrains pendant au moins 6 mois. Liza s’est plein un peu du genou, rien de très grave ou de très méchant il a été ménagé.
Vous avez vu Marlet avec la caution Marseillaise ?
On a préféré différer. Ce n’est pas une affaire d’Etat.
Cheyrou ?
Il est libre de faire les déclarations qu’il a envie de faire. Nous ne sommes pas ici en prison pour interdire aux garçons leurs pensées. Si Cheyrou a envie de dire des choses, il les dit. Il n’y a pas de commentaires particuliers à apporter sur ses déclarations. Ça ne pose aucun problème ni au club ni au staff technique. J’ai lu l’article comme un lecteur, je n’ai rien trouvé d’insultant. Il n’y a pas de problème. Ses déclarations ne remettent pas en cause quelque chose de fondamental dans la vie du groupe. Nous ne sommes pas dans une zone fermée, les joueurs sont libres de dire ce qu’ils ont envie de dire.
Comment gérer les états d’âmes de joueurs qui ne jouent pas ?
Lorsqu’on vient à l’Olympique de Marseille, on sait qu’on va dans une grosse écurie. Il y a entre 20 et 25 joueurs de valeur à peu près égale. Ils le conçoivent en venant qu’il puisse y avoir de la concurrence. Cette concurrence joue en plein aujourd’hui, il revient à l’entraîneur de faire des choix, ce qu’il fait. Forcément il va y avoir des mécontents ponctuellement mais ça c’est la vie d’un club. C’est la vie de l’OM. Où alors il faudra que nous nous limitions à un groupe de 13 joueurs et que nous arrêtions là. Mais je pense qu’il faut être sérieux. Vous pensez qu’à Lyon, il n’y a pas des états d’âmes. Ça fait partie du jeu. Il y a des joueurs qui ne jouent pas et qui ne sont pas contents. Moi ça ne me pose aucun problème. L’entraîneur est suffisamment responsable pour régler ça lui-même.
la caution Marseillaise fait réellement l’équipe ?
Cette question me paraît déplacée par rapport à José lui-même. José a toutes les prérogatives sur le plan technique et tactique. C’est lui qui choisit les hommes, qui organise son équipe selon ses convictions, ses certitudes, il n’y a aucune interférence de ce point de vue-là. Je veux que les choses soient définitivement dites. C’est José le grand responsable de l’aspect technique. Maintenant que lui-même veuille de temps en temps échanger discuter soit avec le Président, soit avec moi-même, soit avec ses assistants, ça aussi ça fait partie de la vie d’un groupe. On le fait très régulièrement. D’ailleurs je salue ici le sens d’ouverture qui le caractérise parce que José aime discuter c’est peut-être même son point d’Achille. C’est justement sa grande ouverture d’esprit qui est la sienne fait que souvent une simple discussion peut être interprétée. Sur ce plan-là, il faut couper le vilain canard qui colporte les idées disant « Oui José a été l’objet d’une pression amicale, d’une pression de telle ou telle part. » Ça n’a jamais existé et ça n’existera pas.
Avant Paris, vous allez vous impliquer plus ?
Je prendrais la même part à la préparation que celle que je prends depuis le début de la saison sur tous les matchs. Pour affronter Paris, c’est vrai qu’en dehors de la réponse qu’il faut apporter au calendrier parce que nous jouons Paris, il y a aussi c’est vrai cet aspect psychologique que ce match-là peut drainer qui ravive les passions, les discussions, ça fait partie aussi de la règle saisonnière. Chaque fois que l’OM joue à Paris ou contre Paris à Marseille, c’est la même chanson. Ça fait parler, ça fait jaser.
Quel est votre sentiment ?
Certainement le même que celui des supporteurs marseillais, c’est-à-dire un grand désir de voir cette série s’arrêter. D’abord c’est ce que nous souhaitons, ce que nous voulons. Il n’y a pas seulement que dix raisons de battre le PSG, il y en a beaucoup plus, ou beaucoup moins mais en tout cas elle sont aussi valables les unes que les autres.
C’est un match où il faut calmer les ardeurs ?
Il y a des matchs, je dirais où il n’y a pas besoin d’en rajouter. Je pense que ce match-là retient suffisamment l’attention, les volontés, les envies pour que nous n’en rajoutions. Aujourd’hui je crois que c’est un match comme les autres, qu’il faut gagner, en tout cas à Paris, obtenir un bon résultat et pour pouvoir continuer de rester collé au groupe de tête. Ensuite le groupe lui-même est suffisamment conscient de l’enjeu. Si on avait joué à Metz ou ailleurs, j’aurais dit au niveau comptable ou au niveau des objectifs fixés, c’est un match qu’il ne faut pas perdre. Aujourd’hui plus que jamais puisqu’il y a cet aspect psychologique qui me paraît important.
Important aussi à cause des tentions avec les supporteurs ?
J’ai dit que de ce point de vue là j’avais le sentiment du supporteur de base. C’est-à-dire qu’après 6 défaites contre le grand rival Parisien il serait bien que nous changions la donne, que l’OM ne perde plus, même que l’OM gagne ce match-là. Mais supporteurs ou pas supporteurs, je crois que les joueurs sont conscients que ce match est d’une importance très grande pour le club et pour les ambitions du club.
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