OM-Metz : Un tricard sinon rien
28-04-2004, 15:52
(Modification du message : 29-04-2004, 08:16 par boeuf mode.)
Un tricard sinon rien
Tricards de la Ligue 1, les lorrains ne le sont pas encore… mais faut bien avouer qu'il n'existe pas actuellement une grosse marge de man½uvre entre l'éventualité de leur maintien au paradis des nantis et celle de leur descente au purgatoire de seconde zone. Molinari, l'antédiluvien du jeu en shorts, le sait bien et il n'a pas envie de repasser comme en 2002 par la case départ. Recevoir 20 000 balles au Monopoly du gazon vert, il en a rien à caguer, le chauve. Ça lui paye même pas le repas d'un stagiaire de son centre de formation…
Alors ça s'accroche au portillon, le grand âge. L'ascenseur, ça l'amuse plus comme un minot. Au jour d'aujourd'hui, lui ce qu'il veut, c'est continuer à squatter la cour des Grands et avoir son strapontin dans l'élite hexagonale. On a les ambitions qu'on pneu dirait le Bibendum Michelin. Remarque bien, l'élevage de Graoully, ça conserve dans le Grand-Est. Ça va bientôt faire quarante ans qu'il est à la présidence des Grenats, tonton Charles ! Le Carlo de ces dames et de ces intimes…
Bon, le Football Club de Metz, c'est sa chose, sa p'tite folie. Son p'tit grain de fantaisie ajouterait Line en levant la cuisse. Mais là, on est pas au casino de Paname même si le club mosellan, c'est bel et bien sa danseuse à Charles. Dame, ça coûte plus cher que ça rapporte, des gugusses qui courent derrière une balle en simili-cuir. Attends, remonter dans le top 20 et être obligé d'entrée de décapiter ses deux figures de proue, y'a de quoi se la prendre et se la mordre. Ainsi Adebayor est allé se faire reluire chez les Princes tandis que Niang a mis les adjas chez les croqueurs de bretzel.
Résultats of course, une saison de cauchemar avec le spectre de la relégation flottant en permanence au dessus de la nuque des joueurs et une attaque plus famélique qu'un vieux lion de chez Pinder. Bizarrement, depuis six matchs, y a un léger mieux. Fernandez, le natif de Mostaganem pas celui de Tarifa, a mis à pied quelques vieux grognards tels Rodriguez ou Morisot et fait appel aux pensionnaires de la classe biberon.
Ainsi les Renouard, Beria, Obraniak, Gueye et autre Djiba évoluent désormais au plus haut niveau et retrouvent dans les cages messines Butelle, vingt ans toutes ses dents mais déjà convoité par le prestigieux FC Valence. Point d'orgue de cette cure de jouvence, le carton face au Mans. Ce jour-là, les accrocs à Saint-Symphorien ont quasiment vu autant de buts de leur équipe chérie que pendant le reste de la saison...
Bref, cerise sur le gâteau, y'avait eu en sus un triplé de Maoulida, l'élément offensif le plus dangereux du team. Le Toifilou, il flambe en ce moment mais bon on a quand même pas affaire à un épouvantail à gabians, si ? Souvenons-nous qu'en avril, l'arrière-garde de notre drôle d'oiseau déplumé avait réussi à ne pas se découvrir d'un fil, ou presque… jusqu'à ce dernier maudit dimanche à rayer définitivement du calendrier phocéen.
Quoiqu'il en soit l'la caution Marseillaise reste prudent : "Metz lutte pour ne pas descendre avec toutes ses armes, un collectif, une grosse volonté, une grosse organisation. Faut faire face à tout ça et c'est dangereux parce que l'équipe est sérieuse à l’image de Fernandez .Elle est bien organisée. Il est compétent, c’est un bon entraîneur. Je ne m’attends pas à un match facile d'autant que Metz est meilleur hors de ses bases. Je vais voir comment on va réagir. J’espère qu’on aura pas la tête à Newcastle, en se disant qu’on ne veut pas se blesser ou autre chose pour être à 100% jeudi."
Question infirmerie, Mido, Marlet et Hemdani se sont déjà faits porter pâles. Espérons que le reste de l'aréopage saura se faire violence contre les hommes de l'Est. Pour notre OM, le charme de la coupe à Toto est aussi attractif qu'un séjour au couvent. Quoique ? Qui connaît les dessous des nonnes ? Le Pape peut-être, il vient enfin d'être intronisé en dirlo sportif. On attend de lui au moins des miracles…
Ou alors Flamini mais en rouge grenat, les flottants : "Metz, je regarde les cassettes avant le match et je le joue à fond comme si c’était une grosse équipe." Décidément à l'image du divin chauve qui vient d'en reprendre pour deux annuités, ce minot n'a pas d'états d'âme. Garçon, un tricard sinon rien et l'addition ! La plus lourde possible…
:drapeau_c
Tricards de la Ligue 1, les lorrains ne le sont pas encore… mais faut bien avouer qu'il n'existe pas actuellement une grosse marge de man½uvre entre l'éventualité de leur maintien au paradis des nantis et celle de leur descente au purgatoire de seconde zone. Molinari, l'antédiluvien du jeu en shorts, le sait bien et il n'a pas envie de repasser comme en 2002 par la case départ. Recevoir 20 000 balles au Monopoly du gazon vert, il en a rien à caguer, le chauve. Ça lui paye même pas le repas d'un stagiaire de son centre de formation…
Alors ça s'accroche au portillon, le grand âge. L'ascenseur, ça l'amuse plus comme un minot. Au jour d'aujourd'hui, lui ce qu'il veut, c'est continuer à squatter la cour des Grands et avoir son strapontin dans l'élite hexagonale. On a les ambitions qu'on pneu dirait le Bibendum Michelin. Remarque bien, l'élevage de Graoully, ça conserve dans le Grand-Est. Ça va bientôt faire quarante ans qu'il est à la présidence des Grenats, tonton Charles ! Le Carlo de ces dames et de ces intimes…
Bon, le Football Club de Metz, c'est sa chose, sa p'tite folie. Son p'tit grain de fantaisie ajouterait Line en levant la cuisse. Mais là, on est pas au casino de Paname même si le club mosellan, c'est bel et bien sa danseuse à Charles. Dame, ça coûte plus cher que ça rapporte, des gugusses qui courent derrière une balle en simili-cuir. Attends, remonter dans le top 20 et être obligé d'entrée de décapiter ses deux figures de proue, y'a de quoi se la prendre et se la mordre. Ainsi Adebayor est allé se faire reluire chez les Princes tandis que Niang a mis les adjas chez les croqueurs de bretzel.
Résultats of course, une saison de cauchemar avec le spectre de la relégation flottant en permanence au dessus de la nuque des joueurs et une attaque plus famélique qu'un vieux lion de chez Pinder. Bizarrement, depuis six matchs, y a un léger mieux. Fernandez, le natif de Mostaganem pas celui de Tarifa, a mis à pied quelques vieux grognards tels Rodriguez ou Morisot et fait appel aux pensionnaires de la classe biberon.
Ainsi les Renouard, Beria, Obraniak, Gueye et autre Djiba évoluent désormais au plus haut niveau et retrouvent dans les cages messines Butelle, vingt ans toutes ses dents mais déjà convoité par le prestigieux FC Valence. Point d'orgue de cette cure de jouvence, le carton face au Mans. Ce jour-là, les accrocs à Saint-Symphorien ont quasiment vu autant de buts de leur équipe chérie que pendant le reste de la saison...
Bref, cerise sur le gâteau, y'avait eu en sus un triplé de Maoulida, l'élément offensif le plus dangereux du team. Le Toifilou, il flambe en ce moment mais bon on a quand même pas affaire à un épouvantail à gabians, si ? Souvenons-nous qu'en avril, l'arrière-garde de notre drôle d'oiseau déplumé avait réussi à ne pas se découvrir d'un fil, ou presque… jusqu'à ce dernier maudit dimanche à rayer définitivement du calendrier phocéen.
Quoiqu'il en soit l'la caution Marseillaise reste prudent : "Metz lutte pour ne pas descendre avec toutes ses armes, un collectif, une grosse volonté, une grosse organisation. Faut faire face à tout ça et c'est dangereux parce que l'équipe est sérieuse à l’image de Fernandez .Elle est bien organisée. Il est compétent, c’est un bon entraîneur. Je ne m’attends pas à un match facile d'autant que Metz est meilleur hors de ses bases. Je vais voir comment on va réagir. J’espère qu’on aura pas la tête à Newcastle, en se disant qu’on ne veut pas se blesser ou autre chose pour être à 100% jeudi."
Question infirmerie, Mido, Marlet et Hemdani se sont déjà faits porter pâles. Espérons que le reste de l'aréopage saura se faire violence contre les hommes de l'Est. Pour notre OM, le charme de la coupe à Toto est aussi attractif qu'un séjour au couvent. Quoique ? Qui connaît les dessous des nonnes ? Le Pape peut-être, il vient enfin d'être intronisé en dirlo sportif. On attend de lui au moins des miracles…
Ou alors Flamini mais en rouge grenat, les flottants : "Metz, je regarde les cassettes avant le match et je le joue à fond comme si c’était une grosse équipe." Décidément à l'image du divin chauve qui vient d'en reprendre pour deux annuités, ce minot n'a pas d'états d'âme. Garçon, un tricard sinon rien et l'addition ! La plus lourde possible…
:drapeau_c
) était ménagé en vue de l'UEFA.
[/Off]
fatiguée ? épuisée ? 
Ici le match est à 14h30... je ne pense pas que je pourrai le matter
