(18-05-2013, 15:54)Gamba a écrit : Riddick !
Dommage que ce soit pas la suite du précédent. Y'a des airs du premier quand même
Il devient pas roi des necros machin chouette à la fin du 2? Vu le trailer, c'est clair que ça se rapproche plus de Pitch Black. Ce qui n'est pas une mauvaise chose.
« Quand j'étais petit, j'avais des copains qui jouaient au basket-ball, et d'autres qui jouaient au baloncesto. » @ Sergio Ramos
Oh punaise Die Hard 5
Ils ont mis tout le budget dans les voitures cassées. Du coup, plus rien pour le scenar' et même pas de quoi payer la voix française de Bruce Willis.
(02-06-2013, 23:40)Rabbi a écrit : Oh punaise Die Hard 5
Ils ont mis tout le budget dans les voitures cassées. Du coup, plus rien pour le scenar' et même pas de quoi payer la voix française de Bruce Willis.
J'ai arrêté au bout de 30 minutes.
T'es sûr que t'as pas hadopisé la version québécoise ?
(02-06-2013, 23:40)Rabbi a écrit : Oh punaise Die Hard 5
Ils ont mis tout le budget dans les voitures cassées. Du coup, plus rien pour le scenar' et même pas de quoi payer la voix française de Bruce Willis.
J'ai arrêté au bout de 30 minutes.
T'es sûr que t'as pas hadopisé la version québécoise ?
Ah oui, effectivement
Il avait une de ses voix de papy le John McLane
Vous inquietez pas, la veritable voix de B. Willis est aussi toute pourrie.... Vu l'enthousiasme qu'il met a jouer dans ce navet...
" Il y a, si vous le permettez, quelque chose de malsain chez un homme qui fuit le vin, le jeu, la compagnie des femmes charmantes et les conversations d'apres-diner. De telles gens, ou bien sont gravement malades, ou bien haissent en secret leur entourage."
06-06-2013, 11:08 (Modification du message : 06-06-2013, 11:53 par usual.)
Only God Forgives ...
Winding Refn aux manettes, avec Ryan Gosling (totalement Drive) et Kristin Scott Thomas (totalement splendide).
Esthétisation à son comble, violence magnifiée, un scénario léger mais ce n'est pas le plus important, avec des thèmes soulevés comme Oedipe, l'inceste, la violence calculée, et le cercle ininterrompu de la Loi du Talion.
Des scènes épurées, totalement Lynch, des personnages volontairement lissés qui se déplacent d'une lenteur décalée par rapport à la Thaïlande, des interludes kitsch mais lourds de sens, des plans fixes de plusieurs minutes qui nous laissent le temps de prendre notre temps, de savourer la technique de mise en scène, le perfectionnisme poussé à l'extrême jusqu'à la gestion des ombres, le tout enveloppé dans des nappes musicales éprouvantes et stressantes ...
Une claque monumentale avec pourtant une pelletée de spectateurs qui sont sortis de la salle en cours de séance, j'ai été hypnotisé pendant 1h30.
Le film est dédié à Jodorowsky et Gaspard Noé est remercié
(06-06-2013, 11:08)Usual a écrit : avec Ryan Gosling (totalement Drive)
C'est à dire? Avec une seule expression faciale pendant tout le film?
Je ne comprends pas l'engouement pour ce type. Le monde aurait-il oublié ce qu'est un grand acteur?
En fait Ryan Gosling c'est le pendant masculin de Scarlett Johannson.
C'est que j'expliquais : son jeu d'acteur n'a pas d'importance, il est filmé comme un pantin, jusque dans la démarche, et c'est fait exprès. Il n'a pas beaucoup d'expressions, et ça ne gêne en rien le film. Vraiment.
06-06-2013, 12:52 (Modification du message : 06-06-2013, 13:01 par Olorin.)
(06-06-2013, 11:59)Godfather a écrit : En gros, c'est Drive sans la voiture et l'ascenseur?
Avec Goslin et Refn ça à l'air d'être ça. En fait la description de Usual tu pourrais la transposer sur Drive (à pars les thèmes abordés).
Le genre de film qu'hypnotise aussi Zzz
Même si bon, tant qu'on n'a pas vu on sait pas, ça a quand même l'air bien chiant. Pis on est bien placé ici pour savoir que God ne pardonne pas et qu'il est impitoyable
Et question jeu le gamin dans Mud il donne une bonne leçon à pas mal de comédiens.
Franchement je vois pas comment on peut aller voir autre chose que ce film en ce moment.
(06-06-2013, 11:08)Usual a écrit : Le film est dédié à Jodorowsky et Gaspard Noé est remercié
Jodorowsky va sortir un film, autobiographique, qui a été projeté à Cannes. "La danse de la réalité" je crois. Même nom que son bouqin autobiographique absolument passionnant.