Apres les deux victoires consécutives enregistrées par l’OM, ce déplacement au Mans pouvait permettre de recoller au peloton de tête. L’OM n’affiche pas un jeu flamboyant, bien au contraire, mais les victoires sont là et on se remet timidement à croire à une fin de saison honorable. L’opération rachat doit se conclure par une victoire au stade Léon-Bollée.
Et la caution Marseillaise ne mâche pas ses mots et clame à qui veut l’entendre « Je veux gagner au Mans » puis quelques phrases après, sentant qu’une victoire au Mans serait quand même de l’ordre de l’exploit, se ravise et dit « un point ça serait quand même bien ». Si on lit à travers les lignes de José, on s’aperçoit que l’important c’est de ne pas perdre. Avec un effectif pour la première fois au grand complet et contre une équipe du Mans qui est au plus mal et qui vient de changer d’entraîneur, on ne voit pas comment ce match peut nous échapper.
la caution Marseillaise table donc sur un 5-3-2 avec une défense composée de deux stoppeurs avec Sommeil et Beye qui revient de la Can, Hemdami le capitaine et libéro, puis deux milieux défensifs occupant les cotés avec Ferreira et Dos Santos qui retrouve enfin sa place dans l’équipe.
Un milieu composé de deux joueurs au centre possédant une tache défensive avec Celestini et Flamini et Meriem en meneur de jeu. Le tandem d’attaque est sans surprises avec Drogba et Mido. A noter qu’la caution Marseillaise qui souhaitait évoluer en 5-4-1 à l’extérieur, a finalement choisi de jouer en 5-3-2 pour ce match contre Le Mans.
Le descriptif :
A la 10eme minute, Daniel Cousin élimine les quilles marseillaises et se retrouvent seul face à Barthez qui bloque le tir, du pied gauche.
A la 25eme minute, Daniel Cousin s’excentre, toujours sur le coté gauche et adresse un centre que Barthez ne peut que repousser. Pancrate récupère le ballon et tire mais le gardien olympien, bien placer, capte sans difficultés le ballon. On croit rêver…
A la 40eme minute, Mido ne peut hériter d’un ballon donné par Drogba, et Poulard qui a intercepté le ballon, remet le ballon en retrait mais ce dernier heurte la transversale et retombe sur la ligne. Le doute plane sur cette occasion, mais l’arbitre n’accorde pas de but.
A la 51eme minute, Cousin héritant d’un bon ballon donné par d’Amico, adresse un tir de volée qui n’est pas cadré.
A la 79eme minute, Drogba réalise un geste magnifique, ayant deux défenseurs sur lui, il réalise un retourné, qui bien que sans danger, prouve toute la qualité du buteur ivoirien.
A la 86eme minute, Drogba dans la surface, hérite d’un ballon, alors qu’il est dos au but. Il réalise un enchaînement et arrive à s’extirper du marquage et adresse une belle frappe mais Pelé réalise l’arrêt du match.
L’analyse :
Analyser le néant, épiloguer sur les déficiences de l’équipe, critiquer les décisions tactiques, sportives et j’en passe, ne servirait malheureusement à rien.
Ce soir, on a vu un jeu digne d’une équipe de bas de tableau, le nouveau coach du Mans dira même qu’il a été surpris par le faible niveau dont on a fait preuve. Il n’y avait pas de combativité, pas d’envie, pas de schéma de jeu. Le combat n’était donc pas sur le terrain mais bel et bien sur le canapé.
Duel fratricide celui là, opposant chaque supporter phocéen, à une Morphée plus puissante que jamais. Et quand bien même, Drogba essayait en vain de nous réveiller, elle savait redoubler de persuasion en montrant les fébrilités défensives dont notre équipe sait faire preuve. Elle, qui peinait à marquer un attaquant tout droit sortit de L2, ce dernier prenant un malin plaisir à balader ce qui nous sert de défense. Et si l’on rajoute à cela un Fabio Celestini qui jouait beaucoup trop bas, une absence totale de soutien au milieu de terrain de la part de Dos Santos et Ferreira, un Meriem toujours aussi translucide et un Mido ayant encore la tête au Caire, ça ne donne pas envie de sortir du beau rêve que l’on avait fait en début de saison. Si si, vous savez, une équipe basant sur le long terme, une stabilité sportive, un pari sur la jeunesse, sur l’avenir….
Surtout que c’est un vrai supplice de Tantale que nous endurons depuis le début de saison, des que nous pouvons rattraper les grosses cylindrées qui font la course en tête, nous loupons le coche et on sombre de nouveau dans le milieu de tableau. Pourtant cette fois-ci, l’occasion était belle et inespérée, Sochaux concédait le nul à Bonnal, Monaco perdait à domicile et Auxerre et Lyon s’affrontait dimanche. Mais il faut croire qu’à l’image du roi de Phrygie, notre souffrance est inextinguible.
Je vous en supplie, n’en rajoutez plus et laissez moi dormir….
Dav_ :canotier:
Et la caution Marseillaise ne mâche pas ses mots et clame à qui veut l’entendre « Je veux gagner au Mans » puis quelques phrases après, sentant qu’une victoire au Mans serait quand même de l’ordre de l’exploit, se ravise et dit « un point ça serait quand même bien ». Si on lit à travers les lignes de José, on s’aperçoit que l’important c’est de ne pas perdre. Avec un effectif pour la première fois au grand complet et contre une équipe du Mans qui est au plus mal et qui vient de changer d’entraîneur, on ne voit pas comment ce match peut nous échapper.
la caution Marseillaise table donc sur un 5-3-2 avec une défense composée de deux stoppeurs avec Sommeil et Beye qui revient de la Can, Hemdami le capitaine et libéro, puis deux milieux défensifs occupant les cotés avec Ferreira et Dos Santos qui retrouve enfin sa place dans l’équipe.
Un milieu composé de deux joueurs au centre possédant une tache défensive avec Celestini et Flamini et Meriem en meneur de jeu. Le tandem d’attaque est sans surprises avec Drogba et Mido. A noter qu’la caution Marseillaise qui souhaitait évoluer en 5-4-1 à l’extérieur, a finalement choisi de jouer en 5-3-2 pour ce match contre Le Mans.
Le descriptif :
A la 10eme minute, Daniel Cousin élimine les quilles marseillaises et se retrouvent seul face à Barthez qui bloque le tir, du pied gauche.
A la 25eme minute, Daniel Cousin s’excentre, toujours sur le coté gauche et adresse un centre que Barthez ne peut que repousser. Pancrate récupère le ballon et tire mais le gardien olympien, bien placer, capte sans difficultés le ballon. On croit rêver…
A la 40eme minute, Mido ne peut hériter d’un ballon donné par Drogba, et Poulard qui a intercepté le ballon, remet le ballon en retrait mais ce dernier heurte la transversale et retombe sur la ligne. Le doute plane sur cette occasion, mais l’arbitre n’accorde pas de but.
A la 51eme minute, Cousin héritant d’un bon ballon donné par d’Amico, adresse un tir de volée qui n’est pas cadré.
A la 79eme minute, Drogba réalise un geste magnifique, ayant deux défenseurs sur lui, il réalise un retourné, qui bien que sans danger, prouve toute la qualité du buteur ivoirien.
A la 86eme minute, Drogba dans la surface, hérite d’un ballon, alors qu’il est dos au but. Il réalise un enchaînement et arrive à s’extirper du marquage et adresse une belle frappe mais Pelé réalise l’arrêt du match.
L’analyse :
Analyser le néant, épiloguer sur les déficiences de l’équipe, critiquer les décisions tactiques, sportives et j’en passe, ne servirait malheureusement à rien.
Ce soir, on a vu un jeu digne d’une équipe de bas de tableau, le nouveau coach du Mans dira même qu’il a été surpris par le faible niveau dont on a fait preuve. Il n’y avait pas de combativité, pas d’envie, pas de schéma de jeu. Le combat n’était donc pas sur le terrain mais bel et bien sur le canapé.
Duel fratricide celui là, opposant chaque supporter phocéen, à une Morphée plus puissante que jamais. Et quand bien même, Drogba essayait en vain de nous réveiller, elle savait redoubler de persuasion en montrant les fébrilités défensives dont notre équipe sait faire preuve. Elle, qui peinait à marquer un attaquant tout droit sortit de L2, ce dernier prenant un malin plaisir à balader ce qui nous sert de défense. Et si l’on rajoute à cela un Fabio Celestini qui jouait beaucoup trop bas, une absence totale de soutien au milieu de terrain de la part de Dos Santos et Ferreira, un Meriem toujours aussi translucide et un Mido ayant encore la tête au Caire, ça ne donne pas envie de sortir du beau rêve que l’on avait fait en début de saison. Si si, vous savez, une équipe basant sur le long terme, une stabilité sportive, un pari sur la jeunesse, sur l’avenir….
Surtout que c’est un vrai supplice de Tantale que nous endurons depuis le début de saison, des que nous pouvons rattraper les grosses cylindrées qui font la course en tête, nous loupons le coche et on sombre de nouveau dans le milieu de tableau. Pourtant cette fois-ci, l’occasion était belle et inespérée, Sochaux concédait le nul à Bonnal, Monaco perdait à domicile et Auxerre et Lyon s’affrontait dimanche. Mais il faut croire qu’à l’image du roi de Phrygie, notre souffrance est inextinguible.
Je vous en supplie, n’en rajoutez plus et laissez moi dormir….
Dav_ :canotier: