01-02-2010, 17:06
Mourir à petit feu, en lente combustion
Ou parler davenir, en se montrant patient
Devenir avec lâge, mûr des lamentations
Rêver aux lendemains, un brin insouciant
Parmi nos supporters, on trouve pêle-mêle
Des prêts à sembraser, des metteurs de bémol
Des prêts à sarranger, des metteurs de semelle
Loptimiste senflamme, le pessimiste simmole
A chaque intersaison, on guette létincelle
On a tout effacé, on repart en idylle
Des grands marionnettistes, on oublie les ficelles
Et de nouveau crédule, on accepte leur deal
Alors on sréabonne, renouvelant le bail
Comme la Clara Morgane, on est tout plein dardeur
Et comme chaque année, nous voilà en stand by
Tu parles dun film X, la folie des glandeurs
Après dix-sept années, toujours la même braise
Patiemment attisée par tous ses soupirants
Ne cessant de souffler depuis quatre-vingt-treize
Des minots aspirants aux vieillards expirants
Quand les jeunes en virage agitent les flambeaux
Les ainés de la Fédé ne cessent dincendier
Regards réprobateurs, en pardessus corbeau
Il faut tous ces voyous illico radier
Brûler des fumigènes entretient-il la flamme ?
Au feu de la passion on se grille les ailes
Agiter le drapeau, secouer loriflamme
Ce nest plus quun réflexe, un excédent de zèle
On en a vu passer des pompiers de services
Du modeste sapeur, au brillant Red Ader
De bonhommes collègues, aux resserreurs de vis
Mais depuis tout ce temps, jamais le dix de der
On eut la jouissance souvent de bon tirage
Pourtant depuis ce temps, jamais on fut séduit
On a connu lavoine en guise de fourrage
Sempiternellement, ramoné le conduit
Ce club ignifugé, pourrait-il sembraser
Si Lucho lallumette et nos deux feu-follets
Enfin le champignon décidaient décraser
Faisant taire des tribunes ces pathétiques olé
Pour que le SDF retrouve son foyer
Loin de lamer brasier interdit de fumet
Oubliez les flammèches, joueurs enfin oyez
Le cri des supporters, le feu faut allumer
Soyez donc généreux, faites preuve dabnégation
Offrez du dévouement, grands dans le sacrifice
Vous êtes nos héros, espoirs dune nation
Pour quenfin on srégale dun beau feu dartifice
cetace
Ou parler davenir, en se montrant patient
Devenir avec lâge, mûr des lamentations
Rêver aux lendemains, un brin insouciant
Parmi nos supporters, on trouve pêle-mêle
Des prêts à sembraser, des metteurs de bémol
Des prêts à sarranger, des metteurs de semelle
Loptimiste senflamme, le pessimiste simmole
A chaque intersaison, on guette létincelle
On a tout effacé, on repart en idylle
Des grands marionnettistes, on oublie les ficelles
Et de nouveau crédule, on accepte leur deal
Alors on sréabonne, renouvelant le bail
Comme la Clara Morgane, on est tout plein dardeur
Et comme chaque année, nous voilà en stand by
Tu parles dun film X, la folie des glandeurs
Après dix-sept années, toujours la même braise
Patiemment attisée par tous ses soupirants
Ne cessant de souffler depuis quatre-vingt-treize
Des minots aspirants aux vieillards expirants
Quand les jeunes en virage agitent les flambeaux
Les ainés de la Fédé ne cessent dincendier
Regards réprobateurs, en pardessus corbeau
Il faut tous ces voyous illico radier
Brûler des fumigènes entretient-il la flamme ?
Au feu de la passion on se grille les ailes
Agiter le drapeau, secouer loriflamme
Ce nest plus quun réflexe, un excédent de zèle
On en a vu passer des pompiers de services
Du modeste sapeur, au brillant Red Ader
De bonhommes collègues, aux resserreurs de vis
Mais depuis tout ce temps, jamais le dix de der
On eut la jouissance souvent de bon tirage
Pourtant depuis ce temps, jamais on fut séduit
On a connu lavoine en guise de fourrage
Sempiternellement, ramoné le conduit
Ce club ignifugé, pourrait-il sembraser
Si Lucho lallumette et nos deux feu-follets
Enfin le champignon décidaient décraser
Faisant taire des tribunes ces pathétiques olé
Pour que le SDF retrouve son foyer
Loin de lamer brasier interdit de fumet
Oubliez les flammèches, joueurs enfin oyez
Le cri des supporters, le feu faut allumer
Soyez donc généreux, faites preuve dabnégation
Offrez du dévouement, grands dans le sacrifice
Vous êtes nos héros, espoirs dune nation
Pour quenfin on srégale dun beau feu dartifice
cetace