05-11-2008, 00:23
OM 3-0 PSV Eindhoven – Le zéro n'est pas infini, sauf dans certains cas, les notes de Mama Cass
Salut les lutins !
Le monde réel entrant en collusion avec l'imaginaire m'a incité à une forme de pré-méditation perphosphorée dont j'avais perdu l'habitude, tant l'indigence ambiante a prise sur la pensée non conformiste.
Il faut signaler à décharge que la théorie conceptuelle du zéro selon Wayne Pooney, m'a plongé dans un abîme de perplexité et dans un état de jubilation qui compensait les carences de vitamine D pour cause de météo désastreuse. Quel temps de chien, les pioupious !
L'infini faisant partie des fondements de cette formation jadis suivie au couvent, je garde encore quelques vieux restes de curiosité contestataire qui fit le désespoir de ma famille et de mes pauvres parents en particulier.
Cherchant un point de fixation rassurant pour notre équipe bien aimée et pour nous tous, j'envoyais mon intellect barouder dans les limbes des théories sur la physique et découvrais que le zéro absolu se situant à moins 273,15 °C , la marge de manoeuvre en cette Champion's League pour l'OM ayant atteint son niveau plancher, l'évidence coulant de source, il ne restait que la lucidité pour sauver notre dignité. Wayne Pooney avait raison. Quel canaillou, celui-là !
Mais il fallait rompre le sortilège ! Mourir, d'accord, mais ne pas abdiquer ! Même si dans l'absolu, l'idée semblait séduisante, l'Om ne pouvait s'y conformer.
Haut les coeurs !
En fait, le nombre ci-dessus révèle qu'un système THÉORIQUE n'émet plus ni n'absorbe d'énergie. Il s'agit, dit-on, sur un plan purement conceptuel, du moment où plus rien ne bouge, ni atomes, ni aucune particule subatomique (électrons, protons, etc.). Bref, le point d'énergie minimal pour les particules.
L'OM l'emporte 3-0 et prends un rendez-vous temporaire avec l'UEFA.
Mandanda 8
On le trouvait en dedans ces temps derniers. C'est vrai. Mais ce soir il n'a rien lâché. Tout dans les gants, pas de déchets.
Bonnart 6
Afellay lui a fait des misères, mais le gendre idéal a de la ressource. J'ai bien aimé ses combinaisons avec Ziani, ses montées, même si on peut lui reproche la qualité de ses centres. Mais bon, vue la taille de nos attaquants...
Cana 6
Comme souvent, un début hésitant en défense centrale, s'est bien repris et assure l'essentiel. Petits frissons quand même.
Hilton 6
Idem que son compère Çana. Quelques distractions qui auraient pu se payer cash. S'est bien repris, par la suite, avec des relances soignées. Il aime le foot. Beaucoup moins sûr dans le un contre un.
Taïwo 6,5
Très bon match. Solide, physique et presque parfait.
M'Bami 6
Il était là. Malgré une ou deux petites distractions, a fait son boulot.
Ziani 7
Sa complicité avec Bonnart, sa disponibilité, ses crochets courts et déroutants pour l'adversaire, sa discipline, c'est l'homme en forme du moment.
Cheyrou 6
Moins percutant qu'à l'ordinaire. Pas trop à son aise. Comme s'il ne savait pas trop comme se situer, il a fini par faire corps et osé un tire du droit. L'équipe était en confiance déjà.
Ben Arfa 9
Parce qu'il a su surmonter l'épisode parisien sur le terrain. Parce que quand il délivre une passe ou fait une ouverture ça fait mouche ou pas loin. Parce que Ben Arfa, c'est caviar.
Koné 6,5
Monsieur solution. Quand l'équipe a le ballon, son mouvement ouvre des espaces, pour lui et pour les autres. En plus il marque.
Niang 7,5
Pour son courage. On le voit bien, il est crevé, pas trop bien remis de sa pubalgie, égaré, oublié. Il plante deux fois. Au courage, le père Niang !
Arbitrage : Match propre, arbitrage correct.
Eric Gerets : Content, forcément content. 3 goals à 0 !
Les remplaçants : Kaboré 73e, Valbuena 82e, Grandin 85e, pas notés.
Ambiance : Bonne malgré le temps et un stade dégarni (20 000 spectateurs) pour cause d'intempérie. Déluge sur Marseille.
Salut les lutins !
Le monde réel entrant en collusion avec l'imaginaire m'a incité à une forme de pré-méditation perphosphorée dont j'avais perdu l'habitude, tant l'indigence ambiante a prise sur la pensée non conformiste.
Il faut signaler à décharge que la théorie conceptuelle du zéro selon Wayne Pooney, m'a plongé dans un abîme de perplexité et dans un état de jubilation qui compensait les carences de vitamine D pour cause de météo désastreuse. Quel temps de chien, les pioupious !
L'infini faisant partie des fondements de cette formation jadis suivie au couvent, je garde encore quelques vieux restes de curiosité contestataire qui fit le désespoir de ma famille et de mes pauvres parents en particulier.
Cherchant un point de fixation rassurant pour notre équipe bien aimée et pour nous tous, j'envoyais mon intellect barouder dans les limbes des théories sur la physique et découvrais que le zéro absolu se situant à moins 273,15 °C , la marge de manoeuvre en cette Champion's League pour l'OM ayant atteint son niveau plancher, l'évidence coulant de source, il ne restait que la lucidité pour sauver notre dignité. Wayne Pooney avait raison. Quel canaillou, celui-là !
Mais il fallait rompre le sortilège ! Mourir, d'accord, mais ne pas abdiquer ! Même si dans l'absolu, l'idée semblait séduisante, l'Om ne pouvait s'y conformer.
Haut les coeurs !
En fait, le nombre ci-dessus révèle qu'un système THÉORIQUE n'émet plus ni n'absorbe d'énergie. Il s'agit, dit-on, sur un plan purement conceptuel, du moment où plus rien ne bouge, ni atomes, ni aucune particule subatomique (électrons, protons, etc.). Bref, le point d'énergie minimal pour les particules.
L'OM l'emporte 3-0 et prends un rendez-vous temporaire avec l'UEFA.
Mandanda 8
On le trouvait en dedans ces temps derniers. C'est vrai. Mais ce soir il n'a rien lâché. Tout dans les gants, pas de déchets.
Bonnart 6
Afellay lui a fait des misères, mais le gendre idéal a de la ressource. J'ai bien aimé ses combinaisons avec Ziani, ses montées, même si on peut lui reproche la qualité de ses centres. Mais bon, vue la taille de nos attaquants...
Cana 6
Comme souvent, un début hésitant en défense centrale, s'est bien repris et assure l'essentiel. Petits frissons quand même.
Hilton 6
Idem que son compère Çana. Quelques distractions qui auraient pu se payer cash. S'est bien repris, par la suite, avec des relances soignées. Il aime le foot. Beaucoup moins sûr dans le un contre un.
Taïwo 6,5
Très bon match. Solide, physique et presque parfait.
M'Bami 6
Il était là. Malgré une ou deux petites distractions, a fait son boulot.
Ziani 7
Sa complicité avec Bonnart, sa disponibilité, ses crochets courts et déroutants pour l'adversaire, sa discipline, c'est l'homme en forme du moment.
Cheyrou 6
Moins percutant qu'à l'ordinaire. Pas trop à son aise. Comme s'il ne savait pas trop comme se situer, il a fini par faire corps et osé un tire du droit. L'équipe était en confiance déjà.
Ben Arfa 9
Parce qu'il a su surmonter l'épisode parisien sur le terrain. Parce que quand il délivre une passe ou fait une ouverture ça fait mouche ou pas loin. Parce que Ben Arfa, c'est caviar.
Koné 6,5
Monsieur solution. Quand l'équipe a le ballon, son mouvement ouvre des espaces, pour lui et pour les autres. En plus il marque.
Niang 7,5
Pour son courage. On le voit bien, il est crevé, pas trop bien remis de sa pubalgie, égaré, oublié. Il plante deux fois. Au courage, le père Niang !
Arbitrage : Match propre, arbitrage correct.
Eric Gerets : Content, forcément content. 3 goals à 0 !
Les remplaçants : Kaboré 73e, Valbuena 82e, Grandin 85e, pas notés.
Ambiance : Bonne malgré le temps et un stade dégarni (20 000 spectateurs) pour cause d'intempérie. Déluge sur Marseille.