28-01-2008, 14:47
Les raisons de la Koller
"Jan ne dérange pas mais lui proposer trois ans de contrat, comme l'a proposé Nuremberg, n'était pas la meilleure solution pour Monaco. » Ainsi parlait Raymundo Ricardo Gomes à la trêve hivernale et à propos de son joueur de tête. Pour le moins désobligeant pour sézigue, de quoi piquer une grosse Koller ! Ni une, ni deux, le géant chauve prenait illico presto son baluchon pour Nuremberg sans autre forme de procès. Là-bas, ne l’attendait point d’accusation de crime contre l’humanité mais une sérieuse réputation de serial buteur à redorer. Ses avocats pourraient toujours plaider que le milieu monégasque ne l’alimentait pas assez en passes décisives, n’empêche qu’un tchèque sans provision au pays des casinos, ça ne faisait pas très sérieux…
Facture du crâne et talon d’argile
Une force de frappe en moins, c’est toujours ça de gagner pour notre arrière garde malade (mettre le tiret où on veut). On n’aura plus à surveiller comme le lait sur le feu, le large front du déménageur slave sur coups de pieds arrêtés, un de nos talons d’argile… comme dirait en substance Papou « fax »Diouf, l’orateur en ébène de l’église phocéenne. Courir après le score sans jamais le rattraper, est un sport qu’on aimerait bien voir rayer de la liste noire de nos olympiades locales. Tenter de réduire en vain la facture du crane assassin, ça use le ciboulot…
Allo Papou, Bobo ?
M’enfin, il reste sur la principauté d’autres quidams susceptibles de nous faire du Bobo (Ne pas traduire en turc dans le texte par imiter le brazilou du Besitkas, ndlr) . En premier lieu, se méfier du susnommé Piquionne. Car même si le fait de passer du chaudron aux p’tits fours a fait baisser son rendement, pas besoin d’être Colombo pour soupçonner que, de son réveil, on peut faire les frais, Derrick ! Pas la peine non plus de fouiller dans les poubelles du gotha marmoréen pour s’apercevoir que derrière la griffe de Freddy, le trio Gapké, Menez, Bakar sait lui aussi générer de la misère…
Le pari Bakar ?
Tonnerre de Brest au tour précédent, il a qualifié la team de chez Grimaldi à lui tout seul et par un hat-trick, excusez du pneu ! Un bolide tout terrain qui dès son entame au plus haut niveau, n’a pas coupé les cheveux en 4X4. Il va peut être falloir limiter la vitesse au Vel afin que le Djamel n’affole pas nos deux bouses sur les boulevards laissés par l’axe central. Nul doute qu’en sus, le récent retour au pays de Délio"223 buts " Onnis l’aide à trouver ses marques et sa ligne de conduite.
Un Ricardo sinon rien
Bon, l’arrivée de l’apôtre du verrou défensif en guise de missionnaire du beau jeu a d’abord jeté un froid sur le fringant caillou. Le bleu de chauffe passe mal au Bal de la Rose. Principes ôtés, on joue désormais contre nature chez Ricardo. Faut savoir contenter la cour. Pis, le gars Bébert II, il s’impatiente, il trépigne, ça fait un sacré bail qu’il n’a pas vu passer un titre. Y’a urgence-là, car même s’il n’a pas encore l’âge du shah d’Iran, force est de constater qu’il perd ses peaux lisses. Le bobsleigh a beau être un sport de glace, ça ne conserve pas autant que le congélo….
Boire ou séduire
Gageons qu’au pays du p’tit jaune, ce Monaco Pastorisé n’écoeure point Don Rodriguez et les siens. Mais pour gagner le droit de tremper les lèvres dans le calice de la vieille dame, il ne suffira pas de lever le coude. Il faudra savoir aussi mettre la semelle avec ou sans Sabo puis servir en apéro à nos convives princiers le tout nouveau cocktail maison : 1/3 Samir, 1/3 Valbu, 1/3 Djibril, un pot-belge explosif capable de défoncer même le plus aguerri des aristos jet-setteurs…
"Jan ne dérange pas mais lui proposer trois ans de contrat, comme l'a proposé Nuremberg, n'était pas la meilleure solution pour Monaco. » Ainsi parlait Raymundo Ricardo Gomes à la trêve hivernale et à propos de son joueur de tête. Pour le moins désobligeant pour sézigue, de quoi piquer une grosse Koller ! Ni une, ni deux, le géant chauve prenait illico presto son baluchon pour Nuremberg sans autre forme de procès. Là-bas, ne l’attendait point d’accusation de crime contre l’humanité mais une sérieuse réputation de serial buteur à redorer. Ses avocats pourraient toujours plaider que le milieu monégasque ne l’alimentait pas assez en passes décisives, n’empêche qu’un tchèque sans provision au pays des casinos, ça ne faisait pas très sérieux…
Facture du crâne et talon d’argile
Une force de frappe en moins, c’est toujours ça de gagner pour notre arrière garde malade (mettre le tiret où on veut). On n’aura plus à surveiller comme le lait sur le feu, le large front du déménageur slave sur coups de pieds arrêtés, un de nos talons d’argile… comme dirait en substance Papou « fax »Diouf, l’orateur en ébène de l’église phocéenne. Courir après le score sans jamais le rattraper, est un sport qu’on aimerait bien voir rayer de la liste noire de nos olympiades locales. Tenter de réduire en vain la facture du crane assassin, ça use le ciboulot…
Allo Papou, Bobo ?
M’enfin, il reste sur la principauté d’autres quidams susceptibles de nous faire du Bobo (Ne pas traduire en turc dans le texte par imiter le brazilou du Besitkas, ndlr) . En premier lieu, se méfier du susnommé Piquionne. Car même si le fait de passer du chaudron aux p’tits fours a fait baisser son rendement, pas besoin d’être Colombo pour soupçonner que, de son réveil, on peut faire les frais, Derrick ! Pas la peine non plus de fouiller dans les poubelles du gotha marmoréen pour s’apercevoir que derrière la griffe de Freddy, le trio Gapké, Menez, Bakar sait lui aussi générer de la misère…
Le pari Bakar ?
Tonnerre de Brest au tour précédent, il a qualifié la team de chez Grimaldi à lui tout seul et par un hat-trick, excusez du pneu ! Un bolide tout terrain qui dès son entame au plus haut niveau, n’a pas coupé les cheveux en 4X4. Il va peut être falloir limiter la vitesse au Vel afin que le Djamel n’affole pas nos deux bouses sur les boulevards laissés par l’axe central. Nul doute qu’en sus, le récent retour au pays de Délio"223 buts " Onnis l’aide à trouver ses marques et sa ligne de conduite.
Un Ricardo sinon rien
Bon, l’arrivée de l’apôtre du verrou défensif en guise de missionnaire du beau jeu a d’abord jeté un froid sur le fringant caillou. Le bleu de chauffe passe mal au Bal de la Rose. Principes ôtés, on joue désormais contre nature chez Ricardo. Faut savoir contenter la cour. Pis, le gars Bébert II, il s’impatiente, il trépigne, ça fait un sacré bail qu’il n’a pas vu passer un titre. Y’a urgence-là, car même s’il n’a pas encore l’âge du shah d’Iran, force est de constater qu’il perd ses peaux lisses. Le bobsleigh a beau être un sport de glace, ça ne conserve pas autant que le congélo….
Boire ou séduire
Gageons qu’au pays du p’tit jaune, ce Monaco Pastorisé n’écoeure point Don Rodriguez et les siens. Mais pour gagner le droit de tremper les lèvres dans le calice de la vieille dame, il ne suffira pas de lever le coude. Il faudra savoir aussi mettre la semelle avec ou sans Sabo puis servir en apéro à nos convives princiers le tout nouveau cocktail maison : 1/3 Samir, 1/3 Valbu, 1/3 Djibril, un pot-belge explosif capable de défoncer même le plus aguerri des aristos jet-setteurs…