18-09-2007, 23:24
Mes enfants, ce soir est un grand soir, notre club fétiche a de son empreinte marqué la Figue des oignons 2007-2008 en imprimant un rythme de champion, un impact de leader, un jeu de rêve, un collectif qui nous a ...
Au diable mes varices, point de mauvaise foi en ce soir de célébration, le tocsin sonnera longtemps dans nos esgourdes, Marseille s'est sublimé, a fait vibrer l'ensemble d'un Vélodrome qui jamais (jamais n'est-ce pas ?) n'a douté, encourageant, scandant, poussant, motivant nos petits maillots orange.
Mandanda (6) : Kebab nature, il n'a pas eu besoin de remplir son pain pita, très peu d'occasions lui sont passées dans les gants, concentré et sérieux, ses relances à la main sont dignes d'un divin chauve.
Taiwo (3,5) : Kebab pas cuit, il devait avoir comme instruction de prendre son couloir, il l'a fait. Par contre, on ne lui a pas parlé de son rôle de latéral, absent au four et au moulin, le kebab n'a pas pris, il a laissé des boulevards, comblés par Zenden au début du match puis abandonnés au mistral, ce qui aurait pû nous coûter bien bien cher en fin de rencontre.
Rodriguez (7) : Kebab mayo', un peu faiblard dans les relances dans l'axe, il a assuré de part son expérience, imposant son physique et son art du placement. Le Sieur Rodrigue nous sauve la mise en fin de match, montant sur le corner maradonesque et fouettant le ballon qui fila vers le fond du filet.
Faty (6,5) : Scepticisme pour ce jeune joueur en début de saison, il a étrenné sa carrière pré-étoilée (si si) d'un match sérieux, sans fioriture, solide et technique, les attaquants turcs n'ont pas réussi à le passer. Du bon, du beau, du classieux, il aurait pû prendre cher pour avoir tenté de s'essuyer les crampons sur un adversaire à terre.
Bonnart (6) : Kebab croustillant, le petit manceau a enrhumé son petit monde discrètement sur son côté, tentant quelques remontées et dédoublements qui méritaient mieux, on se demandait pourquoi avoir recruté des capitaines. Voilà, c'est pour ça, jouer un match de ligue des champions, à un poste différent du sien, et assurer la rencontre.
Cana (8) : Kebab complet, ce mÔssieur aura un jour sa statue sur le vieux port, c'est un symbole incroyable de courage, de ténacité, d'efficacité et maintenant de professionnalisme. Une remontée de 60 mètres pour gêner un gardien, ou une tape d'encouragement sur ses acolytes, il a été parfait dans tous les domaines, c'est du kebab 5 étoiles, j'offre le safran pour la couleur.
Nasri (6,5) : Kebab maison, le petit prodige a bien débuté la rencontre lorsque le bloc dominait, avant de s'effacer mystérieusement, puis de réapparaitre pour le plus grand malheur des gars du Bosphore, plein de classe, d'abnégation, il a des éclairs de génie qui laissent sans voix, rien que pour ça, il mérite ma bénédiction. Remplacé par M'Bami, Kebab chevelu, trop court pour être noté.
Zenden (6) : Kebab au gouda, impressionnant dans un rôle de relayeur en début de match, rampe de lancement des attaques olympiennes, il a couvert Taïwo (et il y avait de quoi faire) avant de prendre le pli d'un rythme plus calme. Sa technique et son expérience ont été grandement bénéfiques, l'investissement est déjà rentabilisé. Remplacé par Valbuena (5,5), mini-Kebab sur pattes, qui a donné le tournis à son vis-à-vis jusqu'à la fin.
Ziani (7,5) : Kebab multivitaminé, le voilà enfin, le joueur de talent qu'on attendait, percutant, perforant, feintant, il a même réussi à passer ses adversaires d'un coup de rein que certaines du couvent visualiseront dans leur cellule ce soir. Il a fait un bien fou sur son côté avec une bonne entente avec Nasri, il nous a fait plaisir comme il s'est fait plaisir. Et quand il y a du plaisir ... il y a du désir. On en veut encore.
Niang (6,5) : Kebab indomptable, à sa place, sur son côté gauche, avec de bonnes combinaisons avec les montées de Taïwo, la palette technique de Mamadou était complète, grand pont, feintes de corps, de frappe ou de passe, centres extérieurs, il a mis le feu et aurait très bien pû toucher la prime de but ce soir. Indispensable, indiscutablement. Remplacé par Gragnic, kebab CFA, qui a tenté de consolider une défense fébrile en fin de match.
Cissé (7) : Kebab tatoué, multipliant les accélérations, avec très peu d'hors-jeu pour une fois, remisant comme un attaquant pivot, dos au but, travaillant au corps, c'était un match pour lui, et son but crucificateur a sonné le glas de l'équipe orientale, contrôle poitrine, faute discrète, accélération, frappe écrasée, but. Jouissif.
Public (8) : De la voix, de l'envie, des supporters qui supportent. Ma foi, c'est comme ça qu'on l'aime le Vél' ...
Emon (6) : Système novateur, et pari gagnant pour notre futur ex-entraineur, ça a fonctionné, tant mieux pour nous, tant pis pour lui, ça ne le sauvera apparemment pas. Au grand désarroi de ses joueurs. Ce soir, l'OM est leader. Demain, peut-être sans entraineur.
graooooouuuuuuu[SIZE=7]u[/SIZE] !
Au diable mes varices, point de mauvaise foi en ce soir de célébration, le tocsin sonnera longtemps dans nos esgourdes, Marseille s'est sublimé, a fait vibrer l'ensemble d'un Vélodrome qui jamais (jamais n'est-ce pas ?) n'a douté, encourageant, scandant, poussant, motivant nos petits maillots orange.
Mandanda (6) : Kebab nature, il n'a pas eu besoin de remplir son pain pita, très peu d'occasions lui sont passées dans les gants, concentré et sérieux, ses relances à la main sont dignes d'un divin chauve.
Taiwo (3,5) : Kebab pas cuit, il devait avoir comme instruction de prendre son couloir, il l'a fait. Par contre, on ne lui a pas parlé de son rôle de latéral, absent au four et au moulin, le kebab n'a pas pris, il a laissé des boulevards, comblés par Zenden au début du match puis abandonnés au mistral, ce qui aurait pû nous coûter bien bien cher en fin de rencontre.
Rodriguez (7) : Kebab mayo', un peu faiblard dans les relances dans l'axe, il a assuré de part son expérience, imposant son physique et son art du placement. Le Sieur Rodrigue nous sauve la mise en fin de match, montant sur le corner maradonesque et fouettant le ballon qui fila vers le fond du filet.
Faty (6,5) : Scepticisme pour ce jeune joueur en début de saison, il a étrenné sa carrière pré-étoilée (si si) d'un match sérieux, sans fioriture, solide et technique, les attaquants turcs n'ont pas réussi à le passer. Du bon, du beau, du classieux, il aurait pû prendre cher pour avoir tenté de s'essuyer les crampons sur un adversaire à terre.
Bonnart (6) : Kebab croustillant, le petit manceau a enrhumé son petit monde discrètement sur son côté, tentant quelques remontées et dédoublements qui méritaient mieux, on se demandait pourquoi avoir recruté des capitaines. Voilà, c'est pour ça, jouer un match de ligue des champions, à un poste différent du sien, et assurer la rencontre.
Cana (8) : Kebab complet, ce mÔssieur aura un jour sa statue sur le vieux port, c'est un symbole incroyable de courage, de ténacité, d'efficacité et maintenant de professionnalisme. Une remontée de 60 mètres pour gêner un gardien, ou une tape d'encouragement sur ses acolytes, il a été parfait dans tous les domaines, c'est du kebab 5 étoiles, j'offre le safran pour la couleur.
Nasri (6,5) : Kebab maison, le petit prodige a bien débuté la rencontre lorsque le bloc dominait, avant de s'effacer mystérieusement, puis de réapparaitre pour le plus grand malheur des gars du Bosphore, plein de classe, d'abnégation, il a des éclairs de génie qui laissent sans voix, rien que pour ça, il mérite ma bénédiction. Remplacé par M'Bami, Kebab chevelu, trop court pour être noté.
Zenden (6) : Kebab au gouda, impressionnant dans un rôle de relayeur en début de match, rampe de lancement des attaques olympiennes, il a couvert Taïwo (et il y avait de quoi faire) avant de prendre le pli d'un rythme plus calme. Sa technique et son expérience ont été grandement bénéfiques, l'investissement est déjà rentabilisé. Remplacé par Valbuena (5,5), mini-Kebab sur pattes, qui a donné le tournis à son vis-à-vis jusqu'à la fin.
Ziani (7,5) : Kebab multivitaminé, le voilà enfin, le joueur de talent qu'on attendait, percutant, perforant, feintant, il a même réussi à passer ses adversaires d'un coup de rein que certaines du couvent visualiseront dans leur cellule ce soir. Il a fait un bien fou sur son côté avec une bonne entente avec Nasri, il nous a fait plaisir comme il s'est fait plaisir. Et quand il y a du plaisir ... il y a du désir. On en veut encore.
Niang (6,5) : Kebab indomptable, à sa place, sur son côté gauche, avec de bonnes combinaisons avec les montées de Taïwo, la palette technique de Mamadou était complète, grand pont, feintes de corps, de frappe ou de passe, centres extérieurs, il a mis le feu et aurait très bien pû toucher la prime de but ce soir. Indispensable, indiscutablement. Remplacé par Gragnic, kebab CFA, qui a tenté de consolider une défense fébrile en fin de match.
Cissé (7) : Kebab tatoué, multipliant les accélérations, avec très peu d'hors-jeu pour une fois, remisant comme un attaquant pivot, dos au but, travaillant au corps, c'était un match pour lui, et son but crucificateur a sonné le glas de l'équipe orientale, contrôle poitrine, faute discrète, accélération, frappe écrasée, but. Jouissif.
Public (8) : De la voix, de l'envie, des supporters qui supportent. Ma foi, c'est comme ça qu'on l'aime le Vél' ...
Emon (6) : Système novateur, et pari gagnant pour notre futur ex-entraineur, ça a fonctionné, tant mieux pour nous, tant pis pour lui, ça ne le sauvera apparemment pas. Au grand désarroi de ses joueurs. Ce soir, l'OM est leader. Demain, peut-être sans entraineur.