10-12-2006, 00:40
J'ai beau brailler sur des dizaines de comptes-rendus,
je peux rien te dire d'original qu'un autre supporter t'ait jamais dit,
parce que finalement nos plaintes sont les mêmes,
on décrit la même réalité, on dénonce les mêmes problèmes,
match après match, saison après saison,
au point que j'ai le sentiment que tout ça n'est qu'un éternel recommencement
Mais si tu me lis en ce soir de victoire,
coûte que coûte, je ferai tout pour faire plaisir à mon lectorat,
Et même si ce texte, c'est pas encore l'extase
Tu auras compris le contexte, ce soir je suis une chercheuse de phases..
OM : Carrasso Beye Civelli Zubar Taiwo Cana MBami Oruma Niang Pagis Maoulida
ASM : Roma Modesto Bolivar Givet Cufre Bernardi Leko Touré Gakpe Plasil Menez
38ème : OM-ASM 1-0
Centre de Taiwo pour Pagis qui décroise sa tete et trompe Roma
57ème : OM-ASM 1-1
Centre de Touré que Taiwo sapprête à dégager mais Oruma le dévie sur Di Vaio seul au second poteau qui trompe Carrasso
77ème : OM-ASM 2-1
Une deux Niang Cissé à la sortie duquel le sénégalais lancé dans la surface donne un avantage définitif à lOM
LES JOUEURS :
Carrasso : 6
Le gardien meurt mais ne se rend pas,
Meurt mais ne se rend pas.
je plie pas, ne casse pas,
Meurt mais ne se rend pas
Beye : 6 Civelli : 6 Zubar : 5 Taiwo : 5
Mauvais temps et jours ensoleillés pour nous se suivent
On tient le choc on tient le coup mais suffit dun rien et on balise,
Tenir bon la barre c'est ça qui nous rendra plus fort
Donne nous un peu de temps et cette la défense on la redore.
Cana : 6 MBami : 6
Lun est blanc, lautre est noir
La différence ne se voit que dans les yeux de Pascal Sevran ?
Oruma : 4
tu parles dun numéro 10 pour ma team
Maoulida : 5 Pagis : 6 Niang : 6
Une seule chose à faire, regarder droit devant,
Poussés à bout, on sest foutu debout,
Même quand on sest foutu de nous
Cissé :
Dis leur que le missile est lancé
dis leur que cest trop tard pour le désamorcer,
dis leur, que Djibril connaît sa cible,
sa trajectoire, fédérateur, donc pas là pour que les gens restent assis
Jean Carmet :
« je connais bien lamour paternel, et je connais les 400 coups.
Un jour je connaîtrais le tunnel du Vel, celui qui me mène au terrain...
La société dans laquelle nous vivons, cest « Papa, papa ! »
comme un mouton face aux lions... »
« Steevy est un peu à la société ce que Jean Carmet est au football » Yankee.
Olembe :
« Je ne suis pas venu traîner
Juste le temps de me présenter,
L'entité à l'existence réfutée, prété, puis recuperé
Trêve de plaisanterie, je suis Salomon Olembé »
Conclusion :
Parmi les joueurs,
y'a ceux qui bossent dur et ceux qui bossent pas et t'en connais
Autour du club,
ceux qui trafiquent, les petits caïds et puis les gros bonnets,
dans les tribunes,
y'a ceux qui le vive mais qui au bonheur ne sont plus abonnés (seulement au Vel')
Et pour diriger tout ça,
y'a les contents suisses après les braqueurs de Crédit Lyonnais
J'ai beau brailler sur des dizaines de comptes-rendus,
je peux rien te dire d'original qu'un autre supporter t'ait jamais dit,
parce que finalement nos plaintes sont les mêmes,
on décrit la même réalité, on dénonce les mêmes problèmes,
match après match, saison après saison,
au point que j'ai le sentiment que tout ça n'est qu'un éternel recommencement
je peux rien te dire d'original qu'un autre supporter t'ait jamais dit,
parce que finalement nos plaintes sont les mêmes,
on décrit la même réalité, on dénonce les mêmes problèmes,
match après match, saison après saison,
au point que j'ai le sentiment que tout ça n'est qu'un éternel recommencement
Mais si tu me lis en ce soir de victoire,
coûte que coûte, je ferai tout pour faire plaisir à mon lectorat,
Et même si ce texte, c'est pas encore l'extase
Tu auras compris le contexte, ce soir je suis une chercheuse de phases..
OM : Carrasso Beye Civelli Zubar Taiwo Cana MBami Oruma Niang Pagis Maoulida
ASM : Roma Modesto Bolivar Givet Cufre Bernardi Leko Touré Gakpe Plasil Menez
38ème : OM-ASM 1-0
Centre de Taiwo pour Pagis qui décroise sa tete et trompe Roma
57ème : OM-ASM 1-1
Centre de Touré que Taiwo sapprête à dégager mais Oruma le dévie sur Di Vaio seul au second poteau qui trompe Carrasso
77ème : OM-ASM 2-1
Une deux Niang Cissé à la sortie duquel le sénégalais lancé dans la surface donne un avantage définitif à lOM
LES JOUEURS :
Carrasso : 6
Le gardien meurt mais ne se rend pas,
Meurt mais ne se rend pas.
je plie pas, ne casse pas,
Meurt mais ne se rend pas
Beye : 6 Civelli : 6 Zubar : 5 Taiwo : 5
Mauvais temps et jours ensoleillés pour nous se suivent
On tient le choc on tient le coup mais suffit dun rien et on balise,
Tenir bon la barre c'est ça qui nous rendra plus fort
Donne nous un peu de temps et cette la défense on la redore.
Cana : 6 MBami : 6
Lun est blanc, lautre est noir
La différence ne se voit que dans les yeux de Pascal Sevran ?
Oruma : 4
tu parles dun numéro 10 pour ma team
Maoulida : 5 Pagis : 6 Niang : 6
Une seule chose à faire, regarder droit devant,
Poussés à bout, on sest foutu debout,
Même quand on sest foutu de nous
Cissé :
Dis leur que le missile est lancé
dis leur que cest trop tard pour le désamorcer,
dis leur, que Djibril connaît sa cible,
sa trajectoire, fédérateur, donc pas là pour que les gens restent assis
Jean Carmet :
« je connais bien lamour paternel, et je connais les 400 coups.
Un jour je connaîtrais le tunnel du Vel, celui qui me mène au terrain...
La société dans laquelle nous vivons, cest « Papa, papa ! »
comme un mouton face aux lions... »
« Steevy est un peu à la société ce que Jean Carmet est au football » Yankee.
Olembe :
« Je ne suis pas venu traîner
Juste le temps de me présenter,
L'entité à l'existence réfutée, prété, puis recuperé
Trêve de plaisanterie, je suis Salomon Olembé »
Conclusion :
Parmi les joueurs,
y'a ceux qui bossent dur et ceux qui bossent pas et t'en connais
Autour du club,
ceux qui trafiquent, les petits caïds et puis les gros bonnets,
dans les tribunes,
y'a ceux qui le vive mais qui au bonheur ne sont plus abonnés (seulement au Vel')
Et pour diriger tout ça,
y'a les contents suisses après les braqueurs de Crédit Lyonnais
J'ai beau brailler sur des dizaines de comptes-rendus,
je peux rien te dire d'original qu'un autre supporter t'ait jamais dit,
parce que finalement nos plaintes sont les mêmes,
on décrit la même réalité, on dénonce les mêmes problèmes,
match après match, saison après saison,
au point que j'ai le sentiment que tout ça n'est qu'un éternel recommencement