22-09-2006, 02:58
Oyez oyez bonnes gens, ce soir on brade un fleuron du ballon à pieds frenchie. Un bastion de la baballe sphérique. Une ancienne citadelle du beau jeu. C’est moche un club, la nuit quand il meurt à petit feu ! Faut dire, la traversée du désert entamée sur les bords de Loire par le FCNA sniffe plus le chemin de croix ou l’enfer du rail que la quête du St Graille, même s’il s’appelle Francis…
Enchères et damnation
Mise à prix. Pas grand chose. Qui veut d’un cadavre ? Berson à vrai dire vu l’état de décomposition de l’équipe. Les zombies, ça a jamais fait recette sauf au cinoche. La couleur verte, on l’aime sur les shorts des joueurs pas sur leurs faciès. Quand au jaune, on le kiffe sur les maillots des volatiles plus que sur les tronches des suppos cocufiés…
Indien t’endort vaut mieux que deux visages pâles
A propos de mines déconfites, z’avez qu’à zieuter la fiole au Serge ! Comme Le Dizet ma grand-mère, faut planquer la boite de médocs si d’aventure, il rôde dans les parages. Lui, si y tombe dessus, il est capable de les avaler d’un coup, les tablettes de Prozac. Voire même de se finir au Tranxen pour solde de tout compte. Histoire d’arrêter enfin de phosphorer sur lui-même et sur sa piètre vista baby. Faut avouer qu’il a autant de charisme qu’un Paul-Loup Sultizer à ouelpé sur une plage naturiste de St Trop. Un vrai mental de winner, sézigue ! Remarque bien, on l’a viré comme un malpropre après la déroute en Ligue à moustache contre les mangeurs de cassoulet-fayots. Ça dilate les sphincters…
Langue toc, Roussillon
Lui, c’est, le grand communicant de la maison Dassault. Un parcours sans faute jusque là chez le marchand de canons modern style, missile, mi-raisin. Et là patatras, l’accident industriel. Il est en train de découvrir la vraie vie. Le plantage en trois dimensions. Les grandes largeurs. Le costume trois pièces élimé. Et taille patron en sus. La réussite en deux coulées gros pour se foutre à dos de concert :
- la presse (interdiction dorée-navrant aux journalistes de faire leur métier à le Jone).
- les supporters ( annonce d’une ambition euro avec des seconds couteaux dans l’escarcelle et des troisièmes mains dans la besace en guise de recrutement).
- les éducateurs historiques à force de renier vaille que vaille ce joyau qui produisait le ferment du club…
Arrête ton char, Dassault !
Comment en est-on arrivé si las ? A une époque, le canari valait quelque chose. Même que TF1 voulait le racheter. Par pureté mal placée ou par candeur étrange, Bud et les autres ont jadis refusé cela au titre de l’éthique… Et toc ! On s’est vu trop beau les petits gars. On a laissé des rapaces contrôler du papelard à trois sous, tandis qu’ils héritaient en sus d’un club mythique dont ils n’avaient rien à caguer… Même que Dreyfus, il l’aime le foot et son OM à côté de l’héritier de Marcel !
Eo l’hyène
Et puis y’a le Georges, l’Iznogood de l’estuaire, le Poulidor ligérien, suisse qui cire le banc depuis des générations. Même que sous son fion, on peut voir le désir. Un mélange d’la caution Marseillaise pour la hargne et d’Emon pour la patience. Suisse qui va être enfin calife à la place du calife. Savez bien, l’Eo, il a tout connu même le passage à Marseille. Plus cupide que lui tu meurs du cerveau. Il a toujours rayé le plancher des vaches, et depuis qu’il est adjoint, désiré prendre la place de l’autre. A chaque remaniement voire même avant ceux-ci, l’Eo pose sa candidature en approchant le rôle du simili-traître. Son noir bilan d’éternel second est édifiant. Dommage que son paternel n’ait pas été fossoyeur…
Beaujoire mesdames, Beaujoire mesdemoiselles, Beaujoire messieurs
A la veille d’une rétrogradation quasi-annoncée, le monument jaune reçoit un autre phare du football hexagonal. Un de ceusses qui a souffert autant qu’il a su faire souffrir comme dirait le vieux Jo . Pas profond mais bel et bien Moustaki. Il en a connu, notre OM, des Gripond locaux qui servaient sans vergogne leurs intérêts avant ceux du club. Il en a connu des erreurs de gestion et des malversations individuelles. Pour l’heure, une période d’accalmie semble baigner le vieux port, que la Bonne Mère soit louée…
Lamouchi dans la colle, Emon nous tous ensemble…
Petit bémol dans ce paysage idyllique, le vieux a pété la plomberie. Va falloir recoller dare-dare les morcifs. Un caca nerveux ça fait mauvais genre même quand on s’appelle Lamouchi. Il a la nostalgie, camarade, de Jean de Mostaganem qui voulait l’affubler du brassard. Résultat œuf course, il met les adjas pour le Qatar…Bonjour le grand sot ! Elle est pas belle la vie, en short et crampons ?
boeuf mode:meuh
Enchères et damnation
Mise à prix. Pas grand chose. Qui veut d’un cadavre ? Berson à vrai dire vu l’état de décomposition de l’équipe. Les zombies, ça a jamais fait recette sauf au cinoche. La couleur verte, on l’aime sur les shorts des joueurs pas sur leurs faciès. Quand au jaune, on le kiffe sur les maillots des volatiles plus que sur les tronches des suppos cocufiés…
Indien t’endort vaut mieux que deux visages pâles
A propos de mines déconfites, z’avez qu’à zieuter la fiole au Serge ! Comme Le Dizet ma grand-mère, faut planquer la boite de médocs si d’aventure, il rôde dans les parages. Lui, si y tombe dessus, il est capable de les avaler d’un coup, les tablettes de Prozac. Voire même de se finir au Tranxen pour solde de tout compte. Histoire d’arrêter enfin de phosphorer sur lui-même et sur sa piètre vista baby. Faut avouer qu’il a autant de charisme qu’un Paul-Loup Sultizer à ouelpé sur une plage naturiste de St Trop. Un vrai mental de winner, sézigue ! Remarque bien, on l’a viré comme un malpropre après la déroute en Ligue à moustache contre les mangeurs de cassoulet-fayots. Ça dilate les sphincters…
Langue toc, Roussillon
Lui, c’est, le grand communicant de la maison Dassault. Un parcours sans faute jusque là chez le marchand de canons modern style, missile, mi-raisin. Et là patatras, l’accident industriel. Il est en train de découvrir la vraie vie. Le plantage en trois dimensions. Les grandes largeurs. Le costume trois pièces élimé. Et taille patron en sus. La réussite en deux coulées gros pour se foutre à dos de concert :
- la presse (interdiction dorée-navrant aux journalistes de faire leur métier à le Jone).
- les supporters ( annonce d’une ambition euro avec des seconds couteaux dans l’escarcelle et des troisièmes mains dans la besace en guise de recrutement).
- les éducateurs historiques à force de renier vaille que vaille ce joyau qui produisait le ferment du club…
Arrête ton char, Dassault !
Comment en est-on arrivé si las ? A une époque, le canari valait quelque chose. Même que TF1 voulait le racheter. Par pureté mal placée ou par candeur étrange, Bud et les autres ont jadis refusé cela au titre de l’éthique… Et toc ! On s’est vu trop beau les petits gars. On a laissé des rapaces contrôler du papelard à trois sous, tandis qu’ils héritaient en sus d’un club mythique dont ils n’avaient rien à caguer… Même que Dreyfus, il l’aime le foot et son OM à côté de l’héritier de Marcel !
Eo l’hyène
Et puis y’a le Georges, l’Iznogood de l’estuaire, le Poulidor ligérien, suisse qui cire le banc depuis des générations. Même que sous son fion, on peut voir le désir. Un mélange d’la caution Marseillaise pour la hargne et d’Emon pour la patience. Suisse qui va être enfin calife à la place du calife. Savez bien, l’Eo, il a tout connu même le passage à Marseille. Plus cupide que lui tu meurs du cerveau. Il a toujours rayé le plancher des vaches, et depuis qu’il est adjoint, désiré prendre la place de l’autre. A chaque remaniement voire même avant ceux-ci, l’Eo pose sa candidature en approchant le rôle du simili-traître. Son noir bilan d’éternel second est édifiant. Dommage que son paternel n’ait pas été fossoyeur…
Beaujoire mesdames, Beaujoire mesdemoiselles, Beaujoire messieurs
A la veille d’une rétrogradation quasi-annoncée, le monument jaune reçoit un autre phare du football hexagonal. Un de ceusses qui a souffert autant qu’il a su faire souffrir comme dirait le vieux Jo . Pas profond mais bel et bien Moustaki. Il en a connu, notre OM, des Gripond locaux qui servaient sans vergogne leurs intérêts avant ceux du club. Il en a connu des erreurs de gestion et des malversations individuelles. Pour l’heure, une période d’accalmie semble baigner le vieux port, que la Bonne Mère soit louée…
Lamouchi dans la colle, Emon nous tous ensemble…
Petit bémol dans ce paysage idyllique, le vieux a pété la plomberie. Va falloir recoller dare-dare les morcifs. Un caca nerveux ça fait mauvais genre même quand on s’appelle Lamouchi. Il a la nostalgie, camarade, de Jean de Mostaganem qui voulait l’affubler du brassard. Résultat œuf course, il met les adjas pour le Qatar…Bonjour le grand sot ! Elle est pas belle la vie, en short et crampons ?
boeuf mode:meuh