28-06-2005, 16:18
(Modification du message : 28-06-2005, 17:13 par Georges Profond.)
Ça ne vous fait pas peur de venir dans un club qui perd ?
Ah quelle question ! Déjà je remercie Dieu d’être à Marseille. Pour moi c’est comme un rêve de jouer à l’OM. Je suis très content d’être là
Les supporters attendent beaucoup de vous. Vous avez la pression ?
Je connais Marseille. Je lis le journal comme tout le monde. J’ai discuté avec des joueurs qui étaient là avant. Mais c’est notre métier. Le métier est dur et passionnant. Je sais qu’à Marseille les supporters ne sont pas patients mais il faut faire avec. Il n’y a rien de facile dans la vie. La pression est toujours là, il faut faire avec. Il faut prier Dieu pour avoir la bonne santé et qu’on puisse bien faire notre boulot.
Pourquoi avez-vous choisi Marseille ?
Depuis l’année dernière Marseille m’avait demandé de venir. Sochaux ne m’avait pas laissé partir. Mes copains, mes amis, ma famille, tout le monde m’a dit que je serais mieux à Marseille. D’autres clubs m’ont fait des propositions mais j’ai choisi Marseille.
Comment pouvez-vous vous préparer alors que l’effectif n’est pas au complet ?
C’est pas mon problème. Mon problème c’est le terrain. Les dirigeants et le coach font tout pour avoir l’effectif complet au plus vite. Moi je m’occupe du terrain, j’essaye de faire de mon mieux, après on verra.
De l’extérieur comment avez-vous vécu les derniers changements à Marseille ?
L’OM c’est l’OM. C’est spécial. Pour moi c’est un challenge et je prends mes responsabilités pour relever ce challenge. C’est un challenge tous les jours. Tout le monde veut progresser tous les jours. On ne sait pas ce qui va se passer mais je suis venu ici pour tenter quelque chose. Il faut toujours tout tenter. Si tu réussis tant mieux si tu ne réussis pas… mais j’espère que je vais réussir.
Mais certains grands joueurs, comme Pédretti, n’ont pas réussi ?
Tu ne peux pas dire ça. Moi je ne suis pas Pedretti, je suis Wilson Oruma. C’est un nouveau challenge pour Wilson Oruma et je suis prêt à relever ce challenge. On verra ce que ça donne. Wilson Oruma va essayer de tenter sa chance. Si ça sourit, tant mieux, si ça ne sourit pas…c’est pas tout le monde qui a réussi à l’OM.
Vous savez ce qu’on va vous demander sur le terrain ?
De bien me familiariser avec mes coéquipiers et de trouver du plaisir. Après le boulot ça passe bien. J’ai confiance au coach et je sais qu’il a confiance en moi.
Tu vas apporter de la vitesse au jeu ?
C’est facile de dire ça aujourd’hui (rires)… mais il faut travailler pour régler ce problème de vitesse. Si ce n’est pas moi. Ce sera quelqu’un d’autre, mais on travaille pour régler ce problème et j’espère qu’il va être réglé.
Mais toi, tu joues toujours vers l’avant ?
Les compliments c’est gentil mais le terrain c’est autre chose. Si c’est pas moi c’est un autre. Le football c’est collectif, c’est l’esprit d’équipe. Avec cet esprit là, ce n’est que du bonheur.
Quelle est ta situation avec l’équipe du Nigeria ?
Je ne m’entendais pas bien avec l’ancien sélectionneur. Il m’a invité deux ou trois fois et j’ai refusé d’y aller. Pour le moment je ne pense qu’à mon championnat, pas à l’équipe nationale. Je suis fier d’être Nigérian mais il y a un choix à faire.
Vous n’irez pas faire la CAN ?
Je ne peux pas dire ça aujourd’hui. On verra après.
Qui connaissiez-vous comme joueurs à Marseille ?
Je connais presque tous les joueurs qui sont à l’OM. Déjà, les joueurs qui sont ici, sont tous de grands joueurs. On les voit la télé et dans les journaux. A Lens, j’ai joué avec Fred Dehu, mais je connais presque tout le monde Péguy, Batlles, Fabien… à force de faire de bonnes choses quand tu joues à l‘OM, tu es connu partout.
Vous vous êtes parfaitement remis de votre opération ?
Je fais tout pour. Après avoir été opéré du ménisque, j’ai joué tous les matchs jusqu’à la fin du championnat. Il n’y a pas de souci. Là, on est rentré de vacances depuis deux jours, et on se prépare pour faire une bonne saison.
Merci. Dieu vous bénisse.
Ah quelle question ! Déjà je remercie Dieu d’être à Marseille. Pour moi c’est comme un rêve de jouer à l’OM. Je suis très content d’être là
Les supporters attendent beaucoup de vous. Vous avez la pression ?
Je connais Marseille. Je lis le journal comme tout le monde. J’ai discuté avec des joueurs qui étaient là avant. Mais c’est notre métier. Le métier est dur et passionnant. Je sais qu’à Marseille les supporters ne sont pas patients mais il faut faire avec. Il n’y a rien de facile dans la vie. La pression est toujours là, il faut faire avec. Il faut prier Dieu pour avoir la bonne santé et qu’on puisse bien faire notre boulot.
Pourquoi avez-vous choisi Marseille ?
Depuis l’année dernière Marseille m’avait demandé de venir. Sochaux ne m’avait pas laissé partir. Mes copains, mes amis, ma famille, tout le monde m’a dit que je serais mieux à Marseille. D’autres clubs m’ont fait des propositions mais j’ai choisi Marseille.
Comment pouvez-vous vous préparer alors que l’effectif n’est pas au complet ?
C’est pas mon problème. Mon problème c’est le terrain. Les dirigeants et le coach font tout pour avoir l’effectif complet au plus vite. Moi je m’occupe du terrain, j’essaye de faire de mon mieux, après on verra.
De l’extérieur comment avez-vous vécu les derniers changements à Marseille ?
L’OM c’est l’OM. C’est spécial. Pour moi c’est un challenge et je prends mes responsabilités pour relever ce challenge. C’est un challenge tous les jours. Tout le monde veut progresser tous les jours. On ne sait pas ce qui va se passer mais je suis venu ici pour tenter quelque chose. Il faut toujours tout tenter. Si tu réussis tant mieux si tu ne réussis pas… mais j’espère que je vais réussir.
Mais certains grands joueurs, comme Pédretti, n’ont pas réussi ?
Tu ne peux pas dire ça. Moi je ne suis pas Pedretti, je suis Wilson Oruma. C’est un nouveau challenge pour Wilson Oruma et je suis prêt à relever ce challenge. On verra ce que ça donne. Wilson Oruma va essayer de tenter sa chance. Si ça sourit, tant mieux, si ça ne sourit pas…c’est pas tout le monde qui a réussi à l’OM.
Vous savez ce qu’on va vous demander sur le terrain ?
De bien me familiariser avec mes coéquipiers et de trouver du plaisir. Après le boulot ça passe bien. J’ai confiance au coach et je sais qu’il a confiance en moi.
Tu vas apporter de la vitesse au jeu ?
C’est facile de dire ça aujourd’hui (rires)… mais il faut travailler pour régler ce problème de vitesse. Si ce n’est pas moi. Ce sera quelqu’un d’autre, mais on travaille pour régler ce problème et j’espère qu’il va être réglé.
Mais toi, tu joues toujours vers l’avant ?
Les compliments c’est gentil mais le terrain c’est autre chose. Si c’est pas moi c’est un autre. Le football c’est collectif, c’est l’esprit d’équipe. Avec cet esprit là, ce n’est que du bonheur.
Quelle est ta situation avec l’équipe du Nigeria ?
Je ne m’entendais pas bien avec l’ancien sélectionneur. Il m’a invité deux ou trois fois et j’ai refusé d’y aller. Pour le moment je ne pense qu’à mon championnat, pas à l’équipe nationale. Je suis fier d’être Nigérian mais il y a un choix à faire.
Vous n’irez pas faire la CAN ?
Je ne peux pas dire ça aujourd’hui. On verra après.
Qui connaissiez-vous comme joueurs à Marseille ?
Je connais presque tous les joueurs qui sont à l’OM. Déjà, les joueurs qui sont ici, sont tous de grands joueurs. On les voit la télé et dans les journaux. A Lens, j’ai joué avec Fred Dehu, mais je connais presque tout le monde Péguy, Batlles, Fabien… à force de faire de bonnes choses quand tu joues à l‘OM, tu es connu partout.
Vous vous êtes parfaitement remis de votre opération ?
Je fais tout pour. Après avoir été opéré du ménisque, j’ai joué tous les matchs jusqu’à la fin du championnat. Il n’y a pas de souci. Là, on est rentré de vacances depuis deux jours, et on se prépare pour faire une bonne saison.
Merci. Dieu vous bénisse.
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