18-04-2005, 16:28
Taper sur les nuls ne les rendra pas meilleurs!
Tapons sur ceux qui peuvent changer :
"Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'une équipe ciel et blanc,
D'une qualité rare et plus forte que les italiennes
Dans ses meilleurs moments.
Je l'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux stades du monde.
J'y mettrai toute ma rage
En savourant chaque seconde
Jusqu'à ce que mes muscles crient
Tordu de crampes et d'engagement démesuré,
Mais je suis Pedretti et, quand on est Pedretti,
On ne fait pas ces choses-là.
J'aboierai sans relache mes coéquipiers,
Je serai l'exemple par mon rendement,
Afin de créer une vraie unité
Et un esprit de combattant,
Pour que toujours se voit l'envie,
même quand nous serions las,
Mais je suis Pedretti et, quand on est Pedretti,
On ne fait pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé,
De nos jours, seule ressort la faiblesse.
Ces joueurs qui prennent leur responsabilité
On ne les voit plus que sur VHS.
De nos efforts on devient économe,
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
être capable de plus de dignité.
Si nous joueurs n'étions pas si pressés
De partir avec nos indemnités...
Ah ! si j'étais un homme !
Je serais un leader..."
PS :
Benoît, si dans le Doubs mieux vaux s'abstenir
Sache qu'à Marseille c'est l'inverse pour ainsi dire...
Tapons sur ceux qui peuvent changer :
"Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'une équipe ciel et blanc,
D'une qualité rare et plus forte que les italiennes
Dans ses meilleurs moments.
Je l'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux stades du monde.
J'y mettrai toute ma rage
En savourant chaque seconde
Jusqu'à ce que mes muscles crient
Tordu de crampes et d'engagement démesuré,
Mais je suis Pedretti et, quand on est Pedretti,
On ne fait pas ces choses-là.
J'aboierai sans relache mes coéquipiers,
Je serai l'exemple par mon rendement,
Afin de créer une vraie unité
Et un esprit de combattant,
Pour que toujours se voit l'envie,
même quand nous serions las,
Mais je suis Pedretti et, quand on est Pedretti,
On ne fait pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé,
De nos jours, seule ressort la faiblesse.
Ces joueurs qui prennent leur responsabilité
On ne les voit plus que sur VHS.
De nos efforts on devient économe,
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
être capable de plus de dignité.
Si nous joueurs n'étions pas si pressés
De partir avec nos indemnités...
Ah ! si j'étais un homme !
Je serais un leader..."
PS :
Benoît, si dans le Doubs mieux vaux s'abstenir
Sache qu'à Marseille c'est l'inverse pour ainsi dire...
Hosanna, Hosanna, et en route pour la joie!