Lors de cette 28eme journée, l’OM affronte l’AS Saint Etienne dans son antre de Geoffroi Guichard. Les marseillais peuvent aborder ce match sous un ciel couleur Mazure après la défaites des Gones en terre normande, c’est l’occasion de leur recoller aux basques et de revenir à 5 petits points. Un match sous des conditions atmosphériques très difficiles puisqu’il neige énormément, malgré tout la rencontre est maintenu avec un retard 15 minutes. Canal + est sans doute pour beaucoup dans le maintien du match et il sera sans doute très difficile de pouvoir pratiquer du jeu. Troussier a misé sur un 5-2-1-2, pour tenter de maîtriser les attaquants de couloir stéphanois et pour pouvoir contrer rapidement. Les clés du jeu marseillais sont confiées à Nasri qui évoluera au poste de meneur de jeu derrière Luyindula et Marlet. A noter au niveau de la composition d’équipe, que Barthez est absent après avoir reçu un boulon sur le crâne, premier geste d’une soirée qui sera placé sous le signe du burlesque et de la fantaisie. Enfin dernière touche exotique à noter, c’est la présence dans le couloir gauche du japonais, Koji Nakata titularisé pour la première fois sous les couleurs olympiennes.
L’équipe :
Gavanon- N’Diaye- Beye, Déhu, Meité – Nakata –Pedrett, Costa – Nasri – Luyindula -Marlet
Compte rendu :
A la 5eme minute, coup franc de Sablé, le ballon passe quelques mètres à gauche des cages de Gavanon.
Durant les 15 premières minutes, les Marseillais cherchent à construire et ont une bonne maîtrise du ballon.
A la 23eme minute, sur une percée de Nasri, il délivre une passe en profondeur pour Luyindula. Ce dernier réalise une belle talonnade pour Marlet mais la défense stéphanoise s’empare du ballon.
Durant les 30 premières minutes, on observe que l’axe central est le moteur du jeu marseillais. Déhu est impérial dans le jeu de tête, Pedretti est très combatif et récupère beaucoup de ballons, quand à Nasri, il sert de pied d’appui et de rampe de lancement.
A la 34eme minute, penalty pour Saint Etienne, Gavanon était en retard sur Piquionne qui jouait une balle qu’on lui avait transmis en profondeur. C’est un penalty plus que litigieux, il est malgré tout transformé par Feindouno. 1-0
A la 45eme minute, Piquionne déborde coté gauche et rentre dans la surface pour délivrer une frappe décroisée du droit. Ca passe à quelques millimètres des cages de Gavanon. Occasion énorme des stéphanois !
A la 54eme minute, Pedretti réalise une belle frappe des 20 mètres mais cette dernière est trop axiale pour tromper Janot qui détourne en corner. Sur le corner qui suit, Déhu reprend le centre de demi volée et sa frappe passe de peu à coté des cages stéphanoises.
A la 64eme minute, Mendy s’infiltre coté gauche dans la défense marseillaise, il délivre un centre qui est contré. Piquionne en hérite et tente de tromper Gavanon qui a mal joué le coup, ça passe au dessus des cages phocéennes.
Durant le début de cette seconde mi temps, on a pu voir le désir des Marseillais pour réduire le score mais il est plus que difficile de jouer. Chaque action est saccadée de par et d’autres, les déchets techniques se multiplient. Néanmoins on observe une belle activité de Nakata et N’Diaye qui tente d’apporter quelque chose offensivement, malheureusement ça laisse des espaces derrière et les contres stéphanois sont de plus en plus dangereux.
A la 66eme minute, Garribian est au sommet de son art, celui du ridicule. Non content d’avoir sifflé un penalty imaginaire en première mi temps, il refuse de siffler une faute sur un Luyindula littéralement accrocher par un Hognon incapable de l’arrêter en pleine surface de réparation. On a du mal à comprendre comment on peut passer à coté d’une telle faute, mais on va mettre ça sur le compte de la neige et de la faible visibilité.
A la 78eme minute, belle occasion pour Koji Nakata, lancé par Pedretti lors d’un bel appel de balle, il se retrouve seul face à Janot mais ce dernier est plus prompt à se saisir du ballon. Le gardien stéphanois s’énervant ensuite de manière idiote car le joueur japonais l’a touché involontairement en voulant jouer le ballon. On croit rêver…
A la 84eme minute, sur une balle de Piquionne, Hellebuyck se débarrasse facilement d’une défense marseillaise rendu impotente par la neige et crucifie Gavanon du pied gauche. 2-0
A la 86eme minute, Zokora est enfin expulsé par l’arbitre, après avoir multiplié les fautes en première mi temps, après avoir taclé violemment Pedretti, il est enfin renvoyé du terrain. Il était apparemment plus facile pour Monsieur Garribian de distribuer les cartons coté marseillais, la couleur noir ressortant sans doute mieux de ce terrain de jeu d’une blancheur immaculée.
A la 89eme minute, Batlles frappe au but mais c’est bien capté par Janot.
Analyse :
Les marseillais ont dominé leurs adversaires du soir, qui se sont contentés de la naïveté de l’arbitre pour l’emporter. On a vu de belles séquences, le désir de jouer ensemble, malgré que le coté gauche ait été très peu utilisé. La défense a bien tenu le choc globalement et on a pu noter une très belle performance de Frederic Déhu. Il y a très peu de choses à retenir sur le jeu car on en a pas vu ou si peu… Enfin à l’instar des journalistes nippons présents ce soir à Geoffroi Guichard, on a pu analysé le nouveau venu du soir, le japonais Koji Nakata, outre la première mi-temps où il s’est pas montré à son avantage, très peu servi malgré ses incessants appels, il a fait preuve d’une belle qualité technique en seconde période. Il a délivré de bons centres, il s’est montré à son avantage notamment lorsqu’il fut servi par Pedretti pour une belle occasion et enfin il a paru assez vif et tenace.
Pour une bonne parodie de football, il faut plusieurs ingrédient et ô joie, lors de ce match ils étaient tous au grand rendez vous. Tout d’abord il y a le Garribian des grands soirs, celui capable de vous faire changer le cour d’un match lors d’un excès d’humeur. S’ajoute à cela, la pression de Canal + dont on est coutumier, nous les habitués des matchs différés pour cause de diffusion, qu’importe les conditions de jeu, qu’importe la qualité qui en ressort, on veut notre prime time du dimanche soir, on veut voir le match de l’OM. On passera aux oubliettes les commentaires lamentables de la doublette de commentateurs de cette même chaîne, plus occupés à tailler un short sur un mauvais contrôle de Nakata qu’à réagir sur le contexte pitoyable du match. Marlet ne s’y est pas trompé en fin de match, en remerciant ironiquement monsieur Garribian, pour son arbitrage hors pair et sur sa décision de faire jouer le match alors que les deux staffs étaient unanimement d’accord pour le reporter. Ce soir l’Om s’est fait floué, le titre est perdu ou quasiment. De bout en bout, on ressort choqué de ce piètre spectacle qui s’est déroulé sous nos yeux incrédules de manière on ne peut plus grotesque.
Dav_
L’équipe :
Gavanon- N’Diaye- Beye, Déhu, Meité – Nakata –Pedrett, Costa – Nasri – Luyindula -Marlet
Compte rendu :
A la 5eme minute, coup franc de Sablé, le ballon passe quelques mètres à gauche des cages de Gavanon.
Durant les 15 premières minutes, les Marseillais cherchent à construire et ont une bonne maîtrise du ballon.
A la 23eme minute, sur une percée de Nasri, il délivre une passe en profondeur pour Luyindula. Ce dernier réalise une belle talonnade pour Marlet mais la défense stéphanoise s’empare du ballon.
Durant les 30 premières minutes, on observe que l’axe central est le moteur du jeu marseillais. Déhu est impérial dans le jeu de tête, Pedretti est très combatif et récupère beaucoup de ballons, quand à Nasri, il sert de pied d’appui et de rampe de lancement.
A la 34eme minute, penalty pour Saint Etienne, Gavanon était en retard sur Piquionne qui jouait une balle qu’on lui avait transmis en profondeur. C’est un penalty plus que litigieux, il est malgré tout transformé par Feindouno. 1-0
A la 45eme minute, Piquionne déborde coté gauche et rentre dans la surface pour délivrer une frappe décroisée du droit. Ca passe à quelques millimètres des cages de Gavanon. Occasion énorme des stéphanois !
A la 54eme minute, Pedretti réalise une belle frappe des 20 mètres mais cette dernière est trop axiale pour tromper Janot qui détourne en corner. Sur le corner qui suit, Déhu reprend le centre de demi volée et sa frappe passe de peu à coté des cages stéphanoises.
A la 64eme minute, Mendy s’infiltre coté gauche dans la défense marseillaise, il délivre un centre qui est contré. Piquionne en hérite et tente de tromper Gavanon qui a mal joué le coup, ça passe au dessus des cages phocéennes.
Durant le début de cette seconde mi temps, on a pu voir le désir des Marseillais pour réduire le score mais il est plus que difficile de jouer. Chaque action est saccadée de par et d’autres, les déchets techniques se multiplient. Néanmoins on observe une belle activité de Nakata et N’Diaye qui tente d’apporter quelque chose offensivement, malheureusement ça laisse des espaces derrière et les contres stéphanois sont de plus en plus dangereux.
A la 66eme minute, Garribian est au sommet de son art, celui du ridicule. Non content d’avoir sifflé un penalty imaginaire en première mi temps, il refuse de siffler une faute sur un Luyindula littéralement accrocher par un Hognon incapable de l’arrêter en pleine surface de réparation. On a du mal à comprendre comment on peut passer à coté d’une telle faute, mais on va mettre ça sur le compte de la neige et de la faible visibilité.
A la 78eme minute, belle occasion pour Koji Nakata, lancé par Pedretti lors d’un bel appel de balle, il se retrouve seul face à Janot mais ce dernier est plus prompt à se saisir du ballon. Le gardien stéphanois s’énervant ensuite de manière idiote car le joueur japonais l’a touché involontairement en voulant jouer le ballon. On croit rêver…
A la 84eme minute, sur une balle de Piquionne, Hellebuyck se débarrasse facilement d’une défense marseillaise rendu impotente par la neige et crucifie Gavanon du pied gauche. 2-0
A la 86eme minute, Zokora est enfin expulsé par l’arbitre, après avoir multiplié les fautes en première mi temps, après avoir taclé violemment Pedretti, il est enfin renvoyé du terrain. Il était apparemment plus facile pour Monsieur Garribian de distribuer les cartons coté marseillais, la couleur noir ressortant sans doute mieux de ce terrain de jeu d’une blancheur immaculée.
A la 89eme minute, Batlles frappe au but mais c’est bien capté par Janot.
Analyse :
Les marseillais ont dominé leurs adversaires du soir, qui se sont contentés de la naïveté de l’arbitre pour l’emporter. On a vu de belles séquences, le désir de jouer ensemble, malgré que le coté gauche ait été très peu utilisé. La défense a bien tenu le choc globalement et on a pu noter une très belle performance de Frederic Déhu. Il y a très peu de choses à retenir sur le jeu car on en a pas vu ou si peu… Enfin à l’instar des journalistes nippons présents ce soir à Geoffroi Guichard, on a pu analysé le nouveau venu du soir, le japonais Koji Nakata, outre la première mi-temps où il s’est pas montré à son avantage, très peu servi malgré ses incessants appels, il a fait preuve d’une belle qualité technique en seconde période. Il a délivré de bons centres, il s’est montré à son avantage notamment lorsqu’il fut servi par Pedretti pour une belle occasion et enfin il a paru assez vif et tenace.
Pour une bonne parodie de football, il faut plusieurs ingrédient et ô joie, lors de ce match ils étaient tous au grand rendez vous. Tout d’abord il y a le Garribian des grands soirs, celui capable de vous faire changer le cour d’un match lors d’un excès d’humeur. S’ajoute à cela, la pression de Canal + dont on est coutumier, nous les habitués des matchs différés pour cause de diffusion, qu’importe les conditions de jeu, qu’importe la qualité qui en ressort, on veut notre prime time du dimanche soir, on veut voir le match de l’OM. On passera aux oubliettes les commentaires lamentables de la doublette de commentateurs de cette même chaîne, plus occupés à tailler un short sur un mauvais contrôle de Nakata qu’à réagir sur le contexte pitoyable du match. Marlet ne s’y est pas trompé en fin de match, en remerciant ironiquement monsieur Garribian, pour son arbitrage hors pair et sur sa décision de faire jouer le match alors que les deux staffs étaient unanimement d’accord pour le reporter. Ce soir l’Om s’est fait floué, le titre est perdu ou quasiment. De bout en bout, on ressort choqué de ce piètre spectacle qui s’est déroulé sous nos yeux incrédules de manière on ne peut plus grotesque.
Dav_