05-12-2004, 16:33
Durant la longue saga peu sagace de l’ère RLD, on a eu droit depuis bientôt huit piges à un tango tangage endiablé de coachs façon Carlos Gardel. Vrai, la valse folle initiée par Bob le flambeur a eu raison des c½urs les plus rompus aux danses les plus macabres…
De mémoire, encore gravé sur le cortex de nos illusions, on recensera pêle-mêle un Gili-Gili sous les aisselles, trouvé là par hasard bien que frais rasé, le gros Rolland dont la légitimité n’avait d’égale que sa probité, Nanard Casoni parti depuis swinguer en Arménie, le bel Abel sans Caïn mais avec des cahots, Bébert le cancre las en premier transit intestinal sous Galtier, Cricri de son p’tit nom…
Défilent ensuite sous les sunlights, Javier de vous avoir connu, ne soyons pas clémentes, Tomislav à l’eau bouillante bien que cardiaque chronique, la caution Marseillaise de passage à Cajarc, Marc Lévy, pas celui de Spielberg, associé ni plus ni moins à l’aigle des Dalmates, Emon le retour plus que notre prochain, Tomislav encore, ça va sentir le TOC, Emon troisième passe et manque, Perrin et le pot aux roses, la caution Marseillaise en amigo, l’Emon enfin et encore pour clôturer le show… Respire, c’est pour la bonne cause !
C’est à ce moment-là de la party, que débarque sur la piste un tantinet délaissée par les virages tortueux, un apôtre mondialiste des marches militaires ! Lui le rock’n’roll des vestiaires, c’est pas son verre de saké. Exit les ambiances franche camaraderie du nigaud. La Trousse, il ne veut voir qu’une seule tête. Oui chef ! Chacun, le doigt sur la couture de son survet, se doit de boire les consignes plus que les petits vins. Bye bye le contenu, vive le contenant…
Terminado, la bouillabaisse empirique du prédécesseur. Dorénavant, c’est matin, midi et soir, yaourt 0% à la ciboulette, eau minérale à tous les étages, et huile d’olive première pression effroi. Ça calme ! Mieux ça fait phosphorer les méninges. Paraît même que y’aurait de l’indigestion en haut lieu…
Hasard ou coïncidence, le chant des partisans version sorcier blanc n’a pas l’air de passer par l’Internationale. Lulu, Ben et Liza font désormais banquette. Qu’on se le dise, tant qu’on a Koke en stock, on devra désormais faire Tintin sur les bleus à l’âme…
De mémoire, encore gravé sur le cortex de nos illusions, on recensera pêle-mêle un Gili-Gili sous les aisselles, trouvé là par hasard bien que frais rasé, le gros Rolland dont la légitimité n’avait d’égale que sa probité, Nanard Casoni parti depuis swinguer en Arménie, le bel Abel sans Caïn mais avec des cahots, Bébert le cancre las en premier transit intestinal sous Galtier, Cricri de son p’tit nom…
Défilent ensuite sous les sunlights, Javier de vous avoir connu, ne soyons pas clémentes, Tomislav à l’eau bouillante bien que cardiaque chronique, la caution Marseillaise de passage à Cajarc, Marc Lévy, pas celui de Spielberg, associé ni plus ni moins à l’aigle des Dalmates, Emon le retour plus que notre prochain, Tomislav encore, ça va sentir le TOC, Emon troisième passe et manque, Perrin et le pot aux roses, la caution Marseillaise en amigo, l’Emon enfin et encore pour clôturer le show… Respire, c’est pour la bonne cause !
C’est à ce moment-là de la party, que débarque sur la piste un tantinet délaissée par les virages tortueux, un apôtre mondialiste des marches militaires ! Lui le rock’n’roll des vestiaires, c’est pas son verre de saké. Exit les ambiances franche camaraderie du nigaud. La Trousse, il ne veut voir qu’une seule tête. Oui chef ! Chacun, le doigt sur la couture de son survet, se doit de boire les consignes plus que les petits vins. Bye bye le contenu, vive le contenant…
Terminado, la bouillabaisse empirique du prédécesseur. Dorénavant, c’est matin, midi et soir, yaourt 0% à la ciboulette, eau minérale à tous les étages, et huile d’olive première pression effroi. Ça calme ! Mieux ça fait phosphorer les méninges. Paraît même que y’aurait de l’indigestion en haut lieu…
Hasard ou coïncidence, le chant des partisans version sorcier blanc n’a pas l’air de passer par l’Internationale. Lulu, Ben et Liza font désormais banquette. Qu’on se le dise, tant qu’on a Koke en stock, on devra désormais faire Tintin sur les bleus à l’âme…