Ce soir on m'a proposé de me plonger dans une oeuvre inconnue qu'est la symphonie n°24 en LA mineur et onze majeurs...
Très intrigué, je me suis rencardé sur ladite composition, et là, j'en ai appris de belles.
Y'a une affaire Louis trio qui semble t-il a fait main basse sur la ville et qui tape sur des bambous même s'il n'y comprend rien.
Bon le Bobby Pérou en ce moment s'excite le piston à coulisse, il claironne à Acariès de tout écouter et d'en faire la synthèse pour que la partition et la répartition soient définitivement couchées sur du papier à musique.
Oui mais voilà, le petit Bouchet revient dans l'arène, ou plutôt dans la fosse puisqu'il semble avoir un appetit débordant concernant les bijoux de la caste à fort potentiel.
En admettant que ce soliste ne perturbe pas trop les divas, il n'en reste pas moins que son compère d'infortune, qui lui a succédé, se garde au chaud un certain droit d'inventaire et d'ayant-droit.
Pour lui c'est ma petite entreprise connait pas la crise, même s'il chante le contraire en affirmant qu'il psaume de l'argent...
Ce gars, c'est un mélodrame plus qu'un mélomane, il se fait appeler le Pape et supervise tout le sportif.
Il en a tellement rêvé que même les draps s'en souviennent, mais il est libre Pape, y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler...pas dans la caisse j'espère, sinon le juge Landou va nous faire une nouvelle fois la cour, la cour, la maladie d'amour...
Moi qui pensais tout d'abord à une sorte de mélodie du bonheur, finalement c'est surtout de la mélodie en sous-sol et de la petite musique qui chambre.
Alors jetons nous plutôt sur les chants Grégoriniens de ces Nice people et voyons quelles sonorités on va bien pouvoir en sortir.
En écoutant les dernières maquettes, je Meité dit, ça y est, on a atteint quelque chose qui ressemble à un ensemble, pas un Philharmonique mais un Philippe Troussier.
Mérite doit bien lui être reconnu, il a su imprimer sa partoche, parfois sans bémol ni demi dièse, mais avec désaccords plaqués et bavard roi réexpédié !!
Le style plus proche de "quoi ma gueule , qu'est ce qu'elle a ma gueule !!" que de "viens poupoule viens poupoule viens" a su calmer certaines ardeurs et certains hardeurs.
Pourtant, malgrè les victoires en chantant au pays de la Martine, face à Nissa puis en allant déposer fissa notre mire à Belle, on se voyait déjà en haut de l'affiche entonnant plaine ô ma plaine.
Ouaip mais voilà, on a eu droit à peine ô ma peine tant les fausses notes ont été légions.
Une complainte sur des Sochaliens qui sont venus, qui ont gagné et qui s'en sont allés.
Triste constat alors qu'on pensait que le plus dur était fait et surtout que le mal récurrent qui nous frappait était résolu, mais non, on a toujours la rate qui s'dilate, le foie qu'est pas droit et le ventre qui se rentre...tiens maintenant que j'y pense, Félicie aussi !!
Faut dire que l'orchestre n'était pas au complet, manquait des premiers violons et pas des moindres, Méité , Pédretti et comme si ça ne suffisait pas on fait déchanter notre meneur de revue, celui qui se rend indispensable rencontre après rencontre, notre bombe humaine, notre arme de demain, le petit Samir.
Faudrait aussi lui lâcher la Grappelli au garçon, il n'a que 17 piges comme conteur, il sort tout juste de son radiO Minots crochet, ne pas le surexposer médiatiquement afin de ne pas le voir finir sa vie comme Cendrillon dans un sommeil infini...
En allégro sans allégresse, je pourrais aussi vous dire que l'apport d'Ecker est aléatoire, au diapason du rendement de l'équipe de sauvages qui parfois refait surface, sa conduite étant difficilement prévisible, le Johnny n'a pas répété ses gammes depuis bien longtemps et contre Sochaux cela nous a été fatal, tout comme le style dépouillé des nos deux divas des couloirs, ceux -là sont deux fantômes de l'opéra, on les devine plus qu'on ne les voit.
Nos duettistes Salomon et Dimitrius sont le maillon faible d'une envolée lyrique qui ne peut se passer de latéraux dignes de ce nom, leur jeu se reduit à la plus simple expression, des accords mineurs pour une cacophonie d'une indigence assourdissante.
Quant aux ténors de l'avant scène, il s'avère que c'est pas tous les jours que y'a d'la joie, ça nous a souri par trois fois, mais dès qu'on est incapables de créer et de mener le jeu, on se fait asphyxier et on n'entend plus chanter Lulu ni Steve, quoique Steve répète depuis le début que ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens, et t'as toutes ses groupies qui lui répondent en choeur comme une chanson populaire "Qu'est ce qu'il fait , qu'est ce qu'il a, qui c'est celui-là ?, complétement toqué ce mec-là, complétement gaga "...
M'enfin, on va pas se refaire le vaisseau fantôme, samedi c'est à Toulouse qu'il va falloir reprendre les répétitions, chanter juste et ensemble, parce qu'en face y'a un petit orchestre qui se monte et qui nous talonne dans la hiérarchie.
Le TFC mené à la baguette par Mombaerts, envoie la sauce même si en terres ajacciennes, les jeunes Occitans n'ont pas pu faire déchanter les Corses, ils se sont inclinés sans produire une énorme prestation, tout comme nous.
Les ambitions ne sont pas les mêmes, l'effectif non plus, mais finalement quelle est la troupe qui fait la plus forte impression ?
Bien sûr que les Toulousains n'ont pas de vedettes dont ils doivent assurer la promo, Giresse prend la suite du papa que l'on a bien connu au Vel et ailleurs, Emana dont on a parlé comme recrue potentielle, Revault qui est toujours un gardien du temple sur lequel ils peuvent s'appuyer, Eduardo pas Costa mais del sol de temps en temps pour le plus grand bonheur des aficionados.
Alors place aux notes, en espérant que l'addition ne soit pas trop salée parce que devoir payer la note une nouvelle fois serait véritablement synonyme de décrochage définitif des ondes pour le titre de meilleur groupe musical de l'année.
Bon, on n'en est pas reduits à expérimenter la loi de Murphy, mais si possible se refaire la cerise sur les terres de la ville rose semble Capitole juste pour entretenir la grande espérance ou la grande illusion, c'est selon...
Maestro, musique....
Très intrigué, je me suis rencardé sur ladite composition, et là, j'en ai appris de belles.
Y'a une affaire Louis trio qui semble t-il a fait main basse sur la ville et qui tape sur des bambous même s'il n'y comprend rien.
Bon le Bobby Pérou en ce moment s'excite le piston à coulisse, il claironne à Acariès de tout écouter et d'en faire la synthèse pour que la partition et la répartition soient définitivement couchées sur du papier à musique.
Oui mais voilà, le petit Bouchet revient dans l'arène, ou plutôt dans la fosse puisqu'il semble avoir un appetit débordant concernant les bijoux de la caste à fort potentiel.
En admettant que ce soliste ne perturbe pas trop les divas, il n'en reste pas moins que son compère d'infortune, qui lui a succédé, se garde au chaud un certain droit d'inventaire et d'ayant-droit.
Pour lui c'est ma petite entreprise connait pas la crise, même s'il chante le contraire en affirmant qu'il psaume de l'argent...
Ce gars, c'est un mélodrame plus qu'un mélomane, il se fait appeler le Pape et supervise tout le sportif.
Il en a tellement rêvé que même les draps s'en souviennent, mais il est libre Pape, y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler...pas dans la caisse j'espère, sinon le juge Landou va nous faire une nouvelle fois la cour, la cour, la maladie d'amour...
Moi qui pensais tout d'abord à une sorte de mélodie du bonheur, finalement c'est surtout de la mélodie en sous-sol et de la petite musique qui chambre.
Alors jetons nous plutôt sur les chants Grégoriniens de ces Nice people et voyons quelles sonorités on va bien pouvoir en sortir.
En écoutant les dernières maquettes, je Meité dit, ça y est, on a atteint quelque chose qui ressemble à un ensemble, pas un Philharmonique mais un Philippe Troussier.
Mérite doit bien lui être reconnu, il a su imprimer sa partoche, parfois sans bémol ni demi dièse, mais avec désaccords plaqués et bavard roi réexpédié !!
Le style plus proche de "quoi ma gueule , qu'est ce qu'elle a ma gueule !!" que de "viens poupoule viens poupoule viens" a su calmer certaines ardeurs et certains hardeurs.
Pourtant, malgrè les victoires en chantant au pays de la Martine, face à Nissa puis en allant déposer fissa notre mire à Belle, on se voyait déjà en haut de l'affiche entonnant plaine ô ma plaine.
Ouaip mais voilà, on a eu droit à peine ô ma peine tant les fausses notes ont été légions.
Une complainte sur des Sochaliens qui sont venus, qui ont gagné et qui s'en sont allés.
Triste constat alors qu'on pensait que le plus dur était fait et surtout que le mal récurrent qui nous frappait était résolu, mais non, on a toujours la rate qui s'dilate, le foie qu'est pas droit et le ventre qui se rentre...tiens maintenant que j'y pense, Félicie aussi !!
Faut dire que l'orchestre n'était pas au complet, manquait des premiers violons et pas des moindres, Méité , Pédretti et comme si ça ne suffisait pas on fait déchanter notre meneur de revue, celui qui se rend indispensable rencontre après rencontre, notre bombe humaine, notre arme de demain, le petit Samir.
Faudrait aussi lui lâcher la Grappelli au garçon, il n'a que 17 piges comme conteur, il sort tout juste de son radiO Minots crochet, ne pas le surexposer médiatiquement afin de ne pas le voir finir sa vie comme Cendrillon dans un sommeil infini...
En allégro sans allégresse, je pourrais aussi vous dire que l'apport d'Ecker est aléatoire, au diapason du rendement de l'équipe de sauvages qui parfois refait surface, sa conduite étant difficilement prévisible, le Johnny n'a pas répété ses gammes depuis bien longtemps et contre Sochaux cela nous a été fatal, tout comme le style dépouillé des nos deux divas des couloirs, ceux -là sont deux fantômes de l'opéra, on les devine plus qu'on ne les voit.
Nos duettistes Salomon et Dimitrius sont le maillon faible d'une envolée lyrique qui ne peut se passer de latéraux dignes de ce nom, leur jeu se reduit à la plus simple expression, des accords mineurs pour une cacophonie d'une indigence assourdissante.
Quant aux ténors de l'avant scène, il s'avère que c'est pas tous les jours que y'a d'la joie, ça nous a souri par trois fois, mais dès qu'on est incapables de créer et de mener le jeu, on se fait asphyxier et on n'entend plus chanter Lulu ni Steve, quoique Steve répète depuis le début que ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens, et t'as toutes ses groupies qui lui répondent en choeur comme une chanson populaire "Qu'est ce qu'il fait , qu'est ce qu'il a, qui c'est celui-là ?, complétement toqué ce mec-là, complétement gaga "...
M'enfin, on va pas se refaire le vaisseau fantôme, samedi c'est à Toulouse qu'il va falloir reprendre les répétitions, chanter juste et ensemble, parce qu'en face y'a un petit orchestre qui se monte et qui nous talonne dans la hiérarchie.
Le TFC mené à la baguette par Mombaerts, envoie la sauce même si en terres ajacciennes, les jeunes Occitans n'ont pas pu faire déchanter les Corses, ils se sont inclinés sans produire une énorme prestation, tout comme nous.
Les ambitions ne sont pas les mêmes, l'effectif non plus, mais finalement quelle est la troupe qui fait la plus forte impression ?
Bien sûr que les Toulousains n'ont pas de vedettes dont ils doivent assurer la promo, Giresse prend la suite du papa que l'on a bien connu au Vel et ailleurs, Emana dont on a parlé comme recrue potentielle, Revault qui est toujours un gardien du temple sur lequel ils peuvent s'appuyer, Eduardo pas Costa mais del sol de temps en temps pour le plus grand bonheur des aficionados.
Alors place aux notes, en espérant que l'addition ne soit pas trop salée parce que devoir payer la note une nouvelle fois serait véritablement synonyme de décrochage définitif des ondes pour le titre de meilleur groupe musical de l'année.
Bon, on n'en est pas reduits à expérimenter la loi de Murphy, mais si possible se refaire la cerise sur les terres de la ville rose semble Capitole juste pour entretenir la grande espérance ou la grande illusion, c'est selon...
Maestro, musique....